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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 05:51

TGV_1368.jpgPlus de 5 000 bulbes de cette espèce protégée ont été transplantés sur une parcelle voisine .

Il fallait sauver l’ail rose des bulldozers du chantier de la LGV. Et c’est chose faite. On respire ! Car cette petite plante dont le nom savant est « l’allium roseum » est une espèce rare et protégée en Aquitaine. Pas question donc, même au nom du plus grand chantier ferroviaire d’Europe, que les rails sur une prairie de Cubzac-les-Ponts condamnent cette variété d’ail. Une variété que l’on ne recommande pas au passage de cuisiner. Avis aux amateurs, il ne faut pas la manger, ni en salade, ni en omelette. Et il ne faut pas non plus la confondre avec l’ail rose de Lautrec !

Concrètement, ce sont très exactement 5 592 bulbes qui ont été prélevés et transplantés. « Cette expérimentation est une première », précise Julien Cordier, naturaliste ingénieur écologue du cabinet Biotope.

Orchidées sauvages

À l’origine, ce champ d’ail rose était implanté sur la falaise qui surplombe le marais de la Virvée, à Cubzac-les-Ponts, sur l’emprise même de la future ligne à grande vitesse. Une falaise que les bulldozers ont attaquée depuis cet automne et qui, au final, sera ouverte en deux pour faire circuler le train. Mais avant ces grandes manœuvres, il a fallu procéder à un travail particulièrement minutieux. Au printemps 2012, au moment de la floraison, chaque bulbe d’ail a pu être repéré et précisément géo-référencé avec un GPS.

Puis au mois d’octobre, lors de la période végétative, une vingtaine de personnes ont pendant cinq jours retrouvé ces milliers de bulbes, les ont déterrés à la pelle et à la main puis transplantés sur une parcelle à quelque 200 mètres plus loin. Cette nouvelle parcelle de prairie qui donne sur la rue Broustella a été échangée contre une autre avec un propriétaire qui habite juste à côté. « On a fait des analyses autour du site d’origine pour trouver le terrain avec le milieu qui ressemblait le plus. Et il fallait aussi qu’il ne soit pas trop loin », indique Julien Cordier. Profil pédologique, composition floristique et exposition au soleil ont permis de déterminer cette nouvelle parcelle d’herbes hautes et sauvages où l’on croise en ce moment différentes variétés d’orchidées.

« Et il y a quelques semaines, c’était tout rose », se réjouit Julien Cordier qui montrait lundi quelques plans d’ail rose déjà passés. La faute aux fortes précipitations du printemps qui ont écourté la période de floraison. En temps normal, les petites cloches roses qui sentent vraiment l’ail sont visibles tout le mois de juin.

Un avenir garanti

Les bulbes ont été plantés à différentes profondeurs, entre 5 et 15 centimètres, et avec un nombre différents de bulbes par trou.

« Cette opération à un caractère expérimental. Il s’agit d’observer quelles semences ont réussi et dans quelles configurations cela a marché le mieux », détaille le naturaliste. De la même façon, un fauchage a été réalisé par endroits pour voir les effets sur le développement de la plante.

« L’objectif est d’enrichir la connaissance sur cette plante, savoir si la transplantation est possible, mais aussi de créer un endroit où l’avenir de cette plante est garanti. »

Car l’ail rose, dont la valeur patrimoniale est reconnue, a bien du mal à survivre en Aquitaine. Et l’urbanisation et les grands chantiers type LGV ne sont pas forcément les premiers responsables. Julien Cordier pointe d’abord « l’intensification des pratiques agricoles, la vigne et la culture du blé notamment. »

Une découverte fortuite

D’ailleurs, la parcelle d’origine où a été découverte la présence d’ail rose à Cubzac-les-Ponts était plantée de vignes il y a encore quelques années et la présence de cette plante n’avait été détectée qu’en faible quantité lors de la première campagne d’inventaires de la faune et de la flore sur le tracé de la LGV entre 2004 et 2009. Ce n’est qu’en 2011 que ça présence en quantité a été fortuitement découverte, à la faveur de l’arrêt de la culture de la vigne ici.

À l’avenir, la nouvelle parcelle sera confiée au Conservatoire régional des espaces naturels (Cren) qui assurera un suivi sur dix ans du succès de cette transplantation.

Pauline Jaulin, chargé de l’environnement pour Cosea, maître d’œuvre de la LGV, rappelle que ce projet s’inscrit dans le cadre des mesures de compensation des dégâts causés par le chantier. « Pour une mare détruite, nous en creusons quatre indique la jeune femme. Cela peut aller jusqu’à un coefficient de 12. »

Le Sud Ouest

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11 juin 2013 2 11 /06 /juin /2013 05:54

guillaume brouquieres 02Chers amis,

Dans le cadre du projet des JEUNES POPULAIRES pour les municipales nous organisons un débat le vendredi 14 juin à 19h à la fédération UMP, 6 rue Gabriel Péri à Toulouse, pour aborder deux thèmes en rapport avec la jeunesse : la sécurité et les transports.

Nous vous y attendons nombreux pour faire partager vos opinions et vos idées et n’hésitez pas à convier vos amis portant un intérêt pour l’élection municipale.

Un apéritif convivial suivra ce débat. Une petite participation de 2 euros sera demandée

Le pole débat et événementiel des Jeunes Pop' 31
www.jeunesump31.fr

NOUS CONTACTER :
_______________________

Site : www.jeunesump31.fr
Mail : contact@jeunesump31.fr

Tel : 0617506062
Facebook : www.facebook.com/jpop31
Twitter : @jeunespop31

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11 juin 2013 2 11 /06 /juin /2013 05:34

TGV 150AZS, l’Association Zone Sinistrée se bat pour défendre les habitants de la plaine, riverains de la future LGV. Son président très actif, Thierry Vigroux, a, avec son équipe, trouvé une idée originale pour mener le combat : faire découvrir, à VTT et en famille, les beautés et les richesses de la plaine de Garonne, qui risque d’être détruite ou endommagée si la LGV passe par là. Ce sera le dimanche 16 juin. Deux parcours à faire en binôme, l’un de 10 km, l’autre de 20 avec départ prévu à l’écluse d’Embalens, sur le canal. La rando se promènera du canal à la Garonne, autour des lacs de la plaine, à travers champs, sur de petites routes et des chemins de terre. Pour les 20 km, deux départs : un à 10 h 30 et l’autre à 16 heures Pour le petit circuit départ à 14 heures Parking, aire de déjeuner champêtre, apéritif à 12 heures offert. Tarif journée : 7 euros par binôme. Renseignements et bulletin d’inscription : http://petitlien.fr/randodeslacs  et 21 rue Pierre Paul Riquet 31620 Saint-Rustice.

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9 juin 2013 7 09 /06 /juin /2013 05:40

moudenc-77.jpgEn réunion publique à Castanet ce 8 juin, l’ancien ministre de l’agriculture a évoquer les prochaines élections municipales et le contexte toulousain.

Comme on prend parfois le chemin de Saint-Jacques, dans la réflexion et le questionnement, Bruno Le Maire sillonne la France, département par département.

Samedi 8 juin, il était en Haute-Garonne, 48e département visité depuis le début de son périple « pour écouter les Français», explique l’ancien ministre de l’agriculture.

« Lorsqu’on perd une élection présidentielle, il faut avoir l’humilité d’en comprendre les raisons. Et cela ne se comprend pas enfermé dans un bureau à Paris mais bien au contact de tous les Français», devise le député UMP de l’Eure.

Celui qui a donc discuté avec les Haute-Garonnais, ce 8 juin à Castanet-Tolosan, est par cette démarche sur la même longueur d’ondes que son camarade Jean-Luc Moudenc, député UMP de Haute-Garonne et candidat à la mairie de Toulouse. De son propre aveu: « Lorsqu’il a perdu en 2008, Jean -Luc a eu l’humilité de partir immédiatement à la rencontre des Toulousains».

« Depuis 2008, il a fait le travail nécessaire pour reconquérir cette ville de Toulouse que je regarde avec beaucoup d’attention puisque ma mère est née ici. Aujourd’hui, le seul candidat pour Toulouse, c’est Moudenc et l’ensemble de notre famille politique, au sein de laquelle il est très respecté, est convaincu qu’il peut gagner en mars 2014», poursuit-il.

Castanet en symbole du rassemblement

Tel est le message « franc et massif, pas lancé en passant » que Bruno Le Maire a adressé à une centaine de personne venue l’écouter salle de la Ritourelle à Castanet-Tolosan.

« Une commune pleine de symbole puisqu’ici, sur un territoire très difficile pour nos idées, le centre et la droite réussissent ensemble à gagner. Le maire MoDem Arnaud Lafon et l’UMP ont trouvé la bonne formule« , a commenté Jean-Luc Moudenc.

Formule saluée aussi par l’hôte des lieux, Arnaud Lafon (MoDem), lequel, aux côtés du sénateur UDI Alain Chatillon, a plaidé pour le rassemblement de toutes les forces du centre et de la droite autour de Jean-Luc Moudenc dès le premier tour.

La Voix du Midi

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8 juin 2013 6 08 /06 /juin /2013 18:58
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8 juin 2013 6 08 /06 /juin /2013 05:13

Bruno-Le-Maire-03.jpgBruno Lemaire participe ce samedi aux côtés du sénateur-maire de Revel Alain Chatillon, et de Jean-Luc Moudenc, député de la 3e circonscription, à un déjeuner-débat à la salle de la Ritournelle à Castanet-Tolosan. A l’occasion de son passage à Toulouse, l’ancien ministre de l’Agriculture et de la Pêche appelle à un rassemblement de la droite parlementaire autour du candidat UMP pour les prochaines élections municipales.

Quel est le sens de votre passage à Toulouse ce samedi ?

J’ai engagé un tour de France des fédérations car il m’importe de venir au contact des citoyens, de les écouter sur des problématiques essentielles comme le chômage, le pouvoir d’achat. Je travaille à la construction d’un projet totalement neuf pour la droite. Les solutions que nous devons inventer, c’est avec les Français que nous les trouverons. Et puis je viens également soutenir Jean-Luc Moudenc, un excellent candidat pour Toulouse.

Justement à Toulouse, deux candidats sont en concurrence : Jean-Luc Moudenc à l’UMP et Christine de Veyrac pour l’UDI…

Le rassemblement doit se former autour de Jean-Luc Moudenc C’est la condition nécessaire à la victoire. Mais je reste convaincu que tôt ou tard, l’UDI et l’UMP sauront se retrouver. Il y a comme dans toute campagne électorale un temps pour le débat, puis un temps pour le rassemblement.

La Dépêche du Midi

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 14:09

2013-06-06-Reunion-Publique-Municipales-2014 1713Jean-Luc Moudenc a répondu présent soir hier à la salle des fêtes de Launaguet à l’invitation du candidat local Georges Deneuville.

Devant une centaine de personnes, ce dernier, fraichement investi par l’UMP,  a d’abord pris la parole pour faire un bilan sans concession de la politique municipale actuelle où il a pointé notamment l’absence de concertation sur le BUN, les lacunes des infrastructures municipales comme les crèches et les installations sportives et les problèmes liés à une urbanisation massive.

Il a donné quelques lignes de son projet municipal, en particulier la dynamisation du centre-ville, le refus de l’urbanisation à outrance et la priorité donnée à l’accueil de nouvelles entreprises et de nouveaux commerces de proximité.

Jean-Luc Moudenc a ensuite pris la parole pour parler de la communauté urbaine et de son pouvoir grandissant qui lie encore plus le destin de Toulouse à celui des communes périphériques.

Le candidat à la mairie de Toulouse a dénoncé un développement urbain qui se fait au détriment des citoyens sans consultation suffisante, entrainant une baisse sensible de la qualité de vie.

Au niveau des finances, le député a tiré la sonnette d’alarme : dans un contexte national de hausses des impôts et des prélèvements et de baisse des salaires et des pensions, la communauté urbaine n’a rien trouvé de mieux que d’emprunter plus de 230 millions d’euros au cours du mandat actuel, sans pour autant qu’il y ait de nouveaux investissements majeurs.

Les finances de Toulouse Métropole ne tarderont donc pas à devenir exsangues, et des hausses d’impôt sont à redouter si on continue au rythme actuel.

Enfin, sur le sujet majeur des transports il s’est engagé à rediscuter le BUN et le BHNS en accord avec les habitants concernés si la droite et le centre remportaient les élections l’an prochain.

Le député a conclu son discours en appelant au rassemblement le plus large possible au sein de listes d’union dès le premier tour pour faciliter les chances de victoire en mars 2014.

Launaguet Espoir Avenir

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 10:18

TGV 150Les propos tenus ce mercredi 5 juin par Philippe Duron qui conduit la commission « Mobilités 21″, n’ont pas de quoi rassurer les tenants du projet LGV.

Philippe Duron, le président de l’Agence de Financement des infrastructures de Transport (AFITF) qui doit remettre ces prochains jours un rapport sur les projets de transport prioritaires pour la France, était auditionné à l’Assemblée ce mercredi 5 juin.

Alors que les inquiétudes demeurent quant à l’aboutissement du projet de Ligne à Grande Vitesse (LGV) Bordeaux-Toulouse, l’audition de ce mercredi n’a pas de quoi rassurer les élus…sans tout de même pouvoir tirer de conclusions hâtives quant au choix qui sera opéré pour le tronçon reliant les deux capitales de régions du Sud-Ouest.

Pouvons-nous équiper en TGV tout le territoire? Assurément NON…Nous avons donc regardé ce qu’a instauré l’Allemagne ces deux dernières années avec un réseau de trains intermédiaires roulant à 220 km/h…

Celui qui conduit la commission « Mobilité 21″, crée à l’automne 2012 par le ministre des transports Frédéric Cuvillier, a tout de même précisé la pensée de la commission sur le sujet du ferroviaire…Et ce n’est pas très encourageant pour les projets qui sont en salle d’attente.

« Le ferroviaire est une question majeure et une question  financière très délicate. Malgré 12,5 milliards d’investissements chaque année,il affiche un endettement croissant…

Ce pose également la question de la grande vitesse et de la très grande vitesse. Est-ce la réponse pertinente à toutes les solutions de desserte de notre pays?

Le TGV est devenu un moyen de marqueur de modernité depuis 15 ans car le reste du réseau, notamment le réseau Corail, s’est trop détérioré.

C’est en raison de cette détérioration du reste du réseau que le TGV est devenu synonyme de qualité et de performance pour le public et que celui-ci l’a réclamé partout. Mais est-ce un système soutenable pour la collectivité? Pouvons-nous en équiper tout le territoire? Assurément NON.

C’est pour cela que nous avons réfléchi au système qu’a adopté l’Allemagne il y a deux ans en lançant l’ICX, soit des trains qui roulent à 220 km/h, à côté de son réseau de trains à grande vitesse ».

 

Il a aussi précisé la méthodologie et les quatre critères qui conduiront à classer les différents projets qui seront prioritaires.

1) Le critère de la compétitivité économique, de la réduction des inégalités territoriales et l’intégration européenne.

2) La performance écologique, soit les conséquences du projet sur la réduction des gaz à effet de serre, son impact sur le développement des transports en commun.

3) La réduction des nuisances et l’amélioration de la sécurité et de la santé qu’engendrera le projet.

4) La valeur actualisée nette par euro investi dans le projet, soit quel sera le retour sur investissement du projet et combien de valeur sera-t-il à même de créer sur les territoires qu’il desservira.

Les élus locaux restent ferme pour la LGV Bordeaux-Toulouse

Ce lundi 3 juin, en conclusion d’un comité de pilotage qui se déroulait à Toulouse, les élus locaux ont réaffirmé leur volonté de voir la LGV Bordeaux-Toulouse aboutir.

Pierre Cohen « n’imagine pas que la LGV Bordeaux-Toulouse soit remise en cause », même si du bout des lèvres, il admet que la conduite d’autres projets, Lyon-Turin par exemple, pourrait avoir des incidences sur le calendrier.

« Jamais nous n’aurions financé un projet hors de nos limites territoriales (nos collectivités ont participé au financement de la liaison LGV Tour-Bordeaux, NDLR) si le tronçon Bordeaux-Toulouse n’avait pas été prévu », a quant à lui rappelé le président de la Région Midi-Pyrénées, Martin Malvy.

Le conseil général par la voix de son vice-président, François Péraldi, a clairement réaffirmé que la collectivité haut-garonnaise se retirerait du financement du tronçon Bordeaux-Tours si Bordeaux-Toulouse n’était pas réalisé…

La Voix du Midi

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 05:58

2013-06-06-Reunion-Publique-Municipales-2014 1683Album Photos de la Réunion Publique à Launaguet sur le thème des Municipales de 2014 en compagnie de nos très nombreux amis : Georges Deneuville, Jean-Luc Moudenc, Xavier Spanghero, Jean Marc Valette, Marie-Hélene Mayeux Bouchard, Christophe Alves, Pierre Recobre, Linda Lucien, Thierry Faye, Thierry Fourcassier, Gautier Lopez, et tous ceux que je ne peux pas citer tellement la liste d'amis est longue. Bravo à Georges Deneuville pour cette réunion publique très constructive et réussie.

2013/06/06 : Réunion Publique Municipales 2014 2013/06/06 : Réunion Publique Municipales 2014

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6 juin 2013 4 06 /06 /juin /2013 05:53

TGV_1367.jpgN’en déplaise aux anti-LGV, le projet semble bel et bien sur les rails. C’est en tout cas l’ambition affichée par les partenaires de Toulouse Euro Sud Ouest qui ont lancé lundi 3 juin leur première campagne publique d’information et de participation. Une rencontre entre prudence et détermination.

Sur place, les partenaires du projet Toulouse Euro Sud Ouest sont plus motivés que jamais et prêts à tous les investissements pour que la ville rose se rapproche de Paris. Et pour preuve la campagne d’information publique lancée en même tant que le vernissage d’une exposition consacrée au futur quartier. L’occasion pour tous les acteurs de rappeler que le projet ne se résume pas à une plateforme multimodale mais également à un projet urbain global qui tend à faire du quartier Matabiau la condition sine qua non pour « faire entrer Toulouse dans le clan des grandes métropoles européennes» assure le préfet, Henri-Michel Comet. Exploiter la situation géographique idéale de la gare, en cœur de cité semble une évidence pour permettre à Toulouse de rattraper son retard en matière de transports : autour de la LGV, TER, voiture, métro, tram, bus mais aussi vélo et piétons devraient pouvoir cohabiter. Pour d’autres, le projet a aussi des vertus cachées, comme « l’éloignement de l’idée d’un nouvel aéroport », précise François Péraldi, vice président chargé des transports au Conseil Général.

 www.toulouse-eurosudouest.eu

 

 Le Journal Toulousain

 

-Coût total du projet : 4 millions d’euros

-Surface concernée : 400 ha

 

Les grandes étapes du projet :

-2013-2014 Fin des études techniques

-2015-2018 Lancement des premiers travaux 

-2018-2020 Poursuite des travaux

-2020-2025 Mise en service de la ligne à Grande Vitesse Paris-Bordeaux-Toulouse

-2035 Achèvement du projet Toulouse Euro sud ouest

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