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4 décembre 2011 7 04 /12 /décembre /2011 06:54

toulouse-02.jpg« La Dépêche » a réalisé un sondage exclusif auprès de 629 habitants du Grand Toulouse sur les habitudes de déplacements dans l'agglomération et les vœux des Toulousains.

Alors que le plan de déplacements urbains (PDU) est actuellement en concertation dans l'agglomération toulousaine, « La Dépêche du Midi » a lancé un sondage auprès de 629 personnes habitant la grande agglomération toulousaine du 25 novembre au 1er décembre 2011.

Premier enseignement : 57 % des sondés ont constaté une amélioration des services de transports en commun depuis 2008. Deux tiers des habitants de la ville de Toulouse (62 %) le pensent également. Mais seuls 44 % de ceux qui habitent hors du Grand Toulouse sont de cet avis, 56 % pensant que cette situation s'est détériorée. Ces améliorations ont été constatées surtout au sein de la ville de Toulouse pour ses habitants intra-muros (58 %) et majoritairement à l'échelle de l'agglomération pour l'ensemble des personnes interrogées (45 %).

La voiture d'abord

Concernant le type de moyens de transport, la voiture reste majoritairement plébiscitée : plus de deux sondés sur trois (71 %) l'utilisent régulièrement pour leurs déplacements dans leur commune, et même 86 % d'entre eux pour leurs déplacements de ville en ville en agglomération. Vient ensuite la marche à pied, avec près de deux habitants de l'agglomération sur trois (63 %), puis le métro (34 %) et le vélo (30 %) utilisés par un tiers des sondés. Un quart d'entre eux utilise le bus (24 %).

L'utilisation des moyens de transport varie bien sûr selon qu'on se trouve proche ou non de la ville centre : les Toulousains « intra-muros » utilisent majoritairement le métro (71 %) et les transports en commun d'une manière générale (la voiture recueillant toutefois plus d'un déplacement sur deux dans Toulouse), les plus éloignés du centre utilisant plus régulièrement leur voiture (82 %). À noter que le covoiturage est encore peu pratiqué, seul un sondé sur cinq l'a déjà utilisé (19 % en moyenne), les plus jeunes étant plus adeptes de ce mode de transport partagé.

Si vous décidiez d'une utilisation plus régulière des transports en commun, c'est le métro qui serait privilégié plutôt que le bus (34 %) ou le tramway (28 %) par près de deux sondés sur trois (62 %), et même par 70 % des Toulousains intra-muros et 66 % pour les habitants du Grand Toulouse. Près d'un quart des sondés (22 % d'irréductibles) ne pense pas utiliser davantage de transports en commun.

Quant aux résultats concernant l'amélioration de la circulation, ils sont assez partagés : 28 % prônent la mise en place de parkings de délestage en périphérie du centre des villes, 22 % sont partisans d'accroître les lignes de métro (et se satisferont donc du prolongement annoncé vers Labège), 16 % souhaiteraient plus de routes et rocades, 15 % préféreraient davantage de bus et seulement 10 % de tramway…

En revanche, un centre ville toulousain « 100 % piétons » ne séduit pas : 20 % seulement adhèrent à ce projet. Quatre sondés sur cinq préférant un espace « à priorité piéton », ce qui est pour l'instant le schéma privilégié par la Ville.


Un sondage exclusif

Ce sondage a été réalisé auprès de 629 personnes habitant la grande agglomération toulousaine par l'institut Média Recherches Concepts et Conseils (MRCC), du 25 novembre au 1er décembre 2011. L'ensemble des panélistes de Haute-Garonne a été sollicité, une question filtre sur le code postal de résidence permettant d'affiner les résultats de cette étude selon qu'on habite Toulouse intra muros, le Grand Toulouse ou plus loin.


"Et si on doublait la rocade ?"

La réunion publique sur le Plan de déplacements urbains organisée à Toulouse, mercredi soir, a connu un franc succès. Plus de deux cents personnes se sont pressées dans une salle du Sénéchal. Du coup, une autre réunion a été programmée ce mercredi 7, à 19 h 30, au même endroit, pour ceux qui n'ont pu assister au débat. Président de Tisséo-SMTC, Pierre Cohen a présenté les grands projets de transports en commun pour les dix prochaines années dans l'agglo, c'est-à-dire, en très résumé, un maillage de lignes de bus. L'intérêt de l'assistance s'est manifesté par de nombreuses questions. Une habitante de Tournefeuille, qui travaille à Labège, a mis les pieds dans le plat sur le prolongement du métro jusqu'à l'Innopole. C'était avant l'accord entre Tisséo et le Sicoval (notre édition d'hier). Autre point clé soulevé par cette intervenante : le métro qui se transforme « en boîte à sardines » à l'heure de pointe. Quatre stations de la ligne A, on le sait, sont trop petites et ne peuvent recevoir de rames plus longues. Sur ce point-là, Pierre Cohen n'a pas voulu faire le procès du passé. Le projet d'agrandissement est prévu mais, en raison de son coût, aucune date n'est fixée. Ce chantier, a expliqué le président du SMTC, aurait entravé tout le PDU. Autre interrogation : « Pourquoi pas une ligne circulaire qui doublerait la rocade ? », interroge un habitant des Amidonniers. « Parfois il est utile de prendre la rocade, parfois non. Il n'y a pas de solution unique », a répondu Joël Carreiras, citant l'exemple de la LMSE et du téléporté. Un étudiant a, lui, suggéré la construction de parkings à étages aux Arènes et Ramonville. Pierre Cohen a révélé qu'une « réflexion » était menée.

La Dépêche du Midi

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29 octobre 2011 6 29 /10 /octobre /2011 06:10

urbanisme-01.jpgNous sommes des banlieusards en puissance ! En dix ans, dit l'Insee, le territoire urbain n'a cessé de se densifier et de s'étendre, surtout dans l'aire urbaine de Toulouse qui compte 1,2 million d'habitants. Nous habitons de plus en plus loin et passons de plus en plus de temps dans les transports.

Tous banlieusards ! On parcourt des distances de plus en plus grandes pour aller travailler dans les villes. Midi-Pyrénées la rurale n'échapperait donc plus à la règle, comme le confirme la dernière enquête de l'Insee consacrée à l'aire d'influence des grands pôles urbains. Une étude lourde qui donne la pleine mesure de ce qu'on désigne sous le terme d'étalement urbain, phénomène que personne ne parvient vraiment à enrayer malgré la réglementation des SCOT et autre PLU. Que nous habitions Montauban, Auch, Pamiers ou Gaillac, nous dressons le même constat : c'est le coût du foncier qui fixe la règle. Les prix prohibitifs de l'immobilier à Toulouse nous poussent à résider toujours plus loin, d'autant que nos prétentions n'ont guère changé au fil des dernières décennies : nous privilégions la maison individuelle dans des communes périphériques qui ont construit des lotissements à tour de bras pour accroître leurs rentrées fiscales.

L'aire urbaine de Toulouse, 4e de France

En dix ans, les villes ont gagné plus de 1 200 km2. C'est dix fois l'étendue de Toulouse intra-muros et onze fois celle de Paris et 7 000 de plus que Lyon. Comme le rappelle le géographe Robert Marconis, au-delà des agglomérations, se sont dessinées depuis plus de 30 ans de vastes couronnes périurbaines. Celles-ci imposent à ces nouveaux citadins d'importants déplacements quotidiens pour occuper des emplois majoritairement localisés dans les zones les plus denses.

L'aire urbaine de Toulouse est à ce titre la plus caractéristique. Classée 4e de France, elle concentre un emploi sur deux de Midi-Pyrénées et sa population croît de 13 % par an. C'est plus que Bordeaux ou Nice. Dans ce territoire, plus de 40 % des actifs résidents travaillent dans une autre commune.

Entre 1999 et 2008, les zones urbaines ont gagné 103 000 habitants, dont 49 000 dans la seule commune de Toulouse où la densité est passée de 942 à 1 066 habitants par km². On peut y voir les effets de politiques visant à stopper l'étalement urbain, mais avec des effets pervers que nous supportons tous les jours. Nos difficultés à nous déplacer, les bouchons aux entrées de ville et sur la rocade en sont l'illustration.


Le chiffre : 1 00 000

habitants > Entre 1999 et 2008. L'agglomération de Toulouse a gagné cent mille habitants, répartis pour moitié dans la ville-centre, pour moitié dans la banlieue. L'agglomération de Pamiers compte 17 % d'habitants en plus, Montauban 13 %.

« En 10 ans, le territoire urbain a gagné 1 200 km2, soit deux fois la superficie de Toulouse. »

Robert Marconis, géographe, professeur des universités.


Le business fertile des terres agricoles

Les terres agricoles françaises valent de plus en plus cher. L'Agreste, l'Agence de la statistique du ministère de l'Agriculture en a fait le constat en agrégeant les prix de ces 13 dernières années. Elle a ainsi constaté une hausse moyenne de 66 % des prix entre 1997 et 2010. Midi-Pyrénées, première région agricole de France en ce qui concerne la superficie, n'échappe pas à cette tendance, avec des prix qui ont réellement flambé aux abords de Toulouse.

Car, contrairement à il y a dix ans, les agriculteurs ne sont plus les principaux acheteurs de ces terres à labourer. Les collectivités et les particuliers pèsent désormais pour un bon tiers de la demande, ce qui, logiquement, accompagne les prix à la hausse. Sur Midi-Pyrénées, l'expansion de Toulouse, qui accueille toujours quelque 15 000 nouveaux arrivants chaque année, est consommatrice d'hectares. Après une pause en 2009, la demande est repartie à la hausse. Elle grignote chaque année près d'un millier hectares. Les prix restent donc soutenus, entre 4000 et 5000 euros à l'hectare dans le Grand Sud, et même parfois plus de 10 000 euros l'hectare sur certaines zones du département de la Haute-Garonne, hors terres viticoles.

Cette envolée des prix a des répercussions sur le prix de ventes des terrains aux abords de la sphère toulousaine. Mais elle pénalise surtout l'installation de nouveaux agriculteurs dans le Grand Sud. Ce barrage est renforcé par les mauvaises perspectives du secteur agricole (baisse des aides de la PAC, flambée du prix des matières premières…) et limite les transmissions d'exploitation.

Paradoxe français : le Gers, la Haute-Garonne et les Landes observent une tendance inverse. Selon le bureau d'études des Sociétés d'aménagement foncier et d'établissement rural (Safer), les agriculteurs trustent encore 70 % du marché des terres agricoles.

Étalement urbain : "Sans solutions"

Robert Marconis, géographe, professeur des universités.

Qu'est ce qui a changé fondamentalement en dix ans ?

Depuis 1999, la surface totale occupée par les agglomérations urbaines a progressé de 20 %. Le territoire urbain a gagné 1 200 km2, soit deux fois la superficie de Toulouse. En Midi-Pyrénées, on a assisté à un double mouvement : d'un côté, un phénomène de densification, de l'autre, la poursuite de l'installation de citadins de plus en plus loin. Jusqu'alors, on croyait à tort que c'était les campagnes lointaines qui se repeuplaient. En fait, c'est l'urbain périphérique qui s'étendait.

On se met au diapason des grandes métropoles ?

On est sur la logique de Paris et des grandes métropoles, sauf qu'à Toulouse, la diffusion du phénomène périphérique est plus accrue. Pourquoi ? Sans doute en raison du manque d'obstacles majeurs à cet étalement, à commencer par l'absence de relief. Avec un gain annuel de 20 000 habitants depuis 1999, l'aire urbaine de Toulouse se classe au 4e rang national avec plus de 1,2 million d'habitants.

La problématique de l'étalement urbain était évoquée lors des 6e Assises du Développement durable à Toulouse ?

Tout le monde tente de freiner cet étalement mais sans vraiment y parvenir. Le prix du foncier fixe la règle. La demande reste forte en maisons individuelles et en terrains plutôt bon marché. Tout le monde tente de corriger cet étalement en densifiant, mais l'exercice n'est pas aisé car il faut préserver en même temps une certaine qualité de la vie. Et l'arbitrage sera toujours le temps de transport.

Comme à Paris, l'immobilier toulousain est inabordable ?

Ce n'est pas qu'à Toulouse. Le même phénomène se retrouve en banlieue. Les restrictions apportées à l'urbanisation diffuse font que les stratégies d'urbanisme vont au-delà des zones contraintes. Dans les Scot en cours de préparation, il y a bien la volonté de privilégier la densification. Mais est-ce appliqué ? Les pratiques ne vont-elles pas au-delà des limites ?

La Dépêche du Midi

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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 06:27
toulouse-propre.jpgChaque jour, une centaine d'agents verbalisateurs va traquer crottes de chiens, papiers et mégots.

Merci de laisser Toulouse aussi propre que vous auriez souhaité la trouver en y entrant. Désormais, la municipalité de la ville Rose est à l'affut des papier et des mégots jetés à terre ou des déjections animales ou humaines.

 Vidéo

 

Toutes les vidéos

Les contrevenants, ou leurs propriétaires, s'exposent à une amende de 35 euros, et jusqu'à 450 euros en cas de récidive. Dès le 1er octobre, des agents de voirie sillonneront chaque jour Toulouse à l'affut des incivilités. Le plan propreté de la ville prévoit d'augmenter le nombre d'agents verbalisateurs assermentés qui pourrait passer à 400 en fin d'année, soit la possibilité de déployer une centaine d'agents chaque jour dans les rues de la ville.

France3 Midi Pyrénée
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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 07:07

TGV_607.jpgLa communauté urbaine du Grand Toulouse a mis en place des comités de pilotages dans trois pôles de l'agglomération pour tenter d'appréhender le développement à l'horizon 2 030.Celui du nord est animé par Gérard André, maire d'Aucamville.

Quels sont les enjeux de la réflexion que vous conduisez ?

Nous menons dans le pôle nord une étude plus approfondie qu'ailleurs parce que ce secteur n'a pas une identité bien définie. C'est ce que confirme le premier diagnostic qui a été établi.

Sur quel secteur géographique travaillez-vous ?

Tout ce qui est autour de l'axe Garonne-canal, de Saint-Jory aux quartiers toulousains de Sesquières, Lalande Fondeyre….

Nous allons travailler sur le développement économique autour de la RD 820, la route de Paris, avec la nécessité de revitaliser ce secteur.Nous réfléchissons aussi au développement de l'agriculture périurbaine dans les zones de Saint-Jory, Castelginest, Gratentour. Nos travaux portent encore sur les questions d'équipements, de lien, urbain, de vie sociale.Sans oublier la question fondamentale des déplacements : le futur boulevard urbain nord entre Borderouge et Bruguières ; la LGV et le passage à quatre voies avec des TER cadencés toutes les 15 minutes sur le tronçon où se situent les gares de Saint-Jory et Fenouillet.

Quand la Fabrique rendra-t-elle sa copie ?

Le comité de pilotage que préside Pierre Cohen et auquel participent des élus comme Arlette Sylvestre en est à la première phase de digestion du diagnostic. Il y aura une concertation avec l'AUAT(1), les maires du territoire.Et un bureau d'études devrait être désigné en décembre.

1) Agence d'Urbanisme de l'Agglomération Toulousaine

La Dépêche du Midi du 120311

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6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 10:37

tramway.jpgL'avis favorable de la commission d'enquête sur le projet de tram Garonne suscite une levée de boucliers dans l'opposition municipale. Les trois réserves, importantes, faites au projet, et les commentaires plutôt négatifs de la commission incitent ainsi le groupe des non inscrits (Aradj, Benayoun, Forget, Lagleize, Mendez) à demander que « l'ensemble de ce projet pour le moins très contesté » soit rediscuté, « vu les multiples griefs exposés par les Toulousains sur le tracé et le coût important de cette ligne ». Les non inscrits « déplorent que la municipalité n'ait pas fait le choix plus novateur de la desserte du Cancéropôle par la ligne Garonne qui ne desservira ni le Stadium et ni la future zone verte du Ramier ». Jean-Luc Moudenc (Ump-Toulouse pour tous) enfonce le clou en demandant « l'abandon du projet » et d'« une inauguration avant les municipales de 2014 », réclamant un « nouveau tracé passant par le pont du Stadium avec une dizaine de km, pour attirer plus de voyageurs ». Quant à Stéphane Diébold, candidat de droite sur le canton 3, il évoque « un petit projet devenu minuscule ».

La Dépêche du Midi du 060311

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18 février 2011 5 18 /02 /février /2011 07:36

moudencChacun a en tête le discours en deux points que nous serine depuis deux ans le Parti socialiste à propos des réformes des collectivités locales et de la taxation locale des entreprises : l’Etat aide de moins en moins les collectivités, les collectivités vont donc avoir de moins en moins de moyens pour investir.

Et, comme ces réformes sont techniquement complexes, touchent à des matières auxquelles les Français sont peu familiers et que leur adoption s’est étalée longuement dans le temps, le message de l’incompréhension est le seul à être véritablement passé.

Et quand l’incompréhension s’installe, l’inquiétude n’est jamais loin !

Avec le début de l’année 2011, nous quittons la période transitoire et celle des discours: ces réformes s’appliquent pleinement et, loin des postures politiques qui ont alimenté les débats ayant émaillé leur adoption, nous voici tout à fait dans la réalité de leur mise en œuvre. La Communauté urbaine du Grand Toulouse, collectivité ô combien importante désormais, s’est dotée d’un budget dont je vous invite à connaitre plusieurs chiffres-clé permettant de juger de l’impact réel, ici, chez nous, de ces réformes tant discutées voire décriées par certains.

Ainsi, dans les recettes de ce budget, les compensations financières de l’Etat, loin de reculer, passent de 101,8 à 146,8 millions d’euros, soit une progression de 44%, essentiellement pour que l’allègement de l’impôt sur les entreprises ne vienne pas priver la collectivité des moyens pour mener à bien ses projets. De même, au chapitre des investissements, on constate une progression significative : 254 millions d’euros au lieu des 181 de l’an dernier.

A l’occasion des débats sur les réformes en question, beaucoup d’élus avaient rappelé avec juste raison que les collectivités territoriales finançaient les trois-quarts des investissements de notre pays, véritables moteurs de la croissance économique et de la création d’emplois. Ici, ils ont été entendus.

Bien sûr, la vigilance des élus communautaires toulousains quant à l’application concrète chez nous des réformes récentes ne doit en rien diminuer au cours des années à venir. Mais, pour l’heure, le constat objectif est fait dans notre agglomération : l’Etat ne diminue pas ses aides, le budget d’investissement augmente. Le budget 2011 du Grand Toulouse dément le discours alarmiste, en vérité très politique, que nous ont servi, à la manière d’un disque sans fin, les élus du Parti socialiste.

 

 

 

 

 

Jean-Luc MOUDENC
Maire de Toulouse de 2004 à 2008
Président du Groupe d’Opposition municipale “Toulouse pour Tous”

 

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 11:33

Grand-Toulouse-9112.JPG« Nous soutenons depuis des années la politique de développement des transports en commun de notre agglomération  toulousaine. Pour faire face aux contraintes de financement de cette politique, qui pèsent sur toutes les structures  intercommunales de notre pays, nous avions plaidé pour que l’Etat aide à nouveau les projets des collectivités, par des  subventions spécifiques. Tisséo-SMTC a déposé une demande de subvention pour le projet de Bus à Haut Niveau de  Service (BHNS) sur le secteur nord, dans le cadre du Boulevard Urbain Nord (BUN). Nous sommes intervenus auprès  de la Ministre Nathalie Kosciusko-Morizet en faveur de cette demande. Aujourd’hui, la Ministre annonce sa décision  d’accorder une subvention d’Etat de 9,560 m€ à ce projet. Nous nous réjouissons de cette décision, bonne nouvelle pour le nord toulousain, qui vient alléger le budget du contribuable local à travers Tisséo. »  Grégoire Carneiro et Jean-Luc Moudenc

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 07:45

photo-gregoire-carneiro1.JPGLes Elus de la commune de Castelginest, Grégoire CARNEIRO, Maire, et Béatrice URSULE, adjointe, et de Toulouse, Jean-Luc MOUDENC, Danièle DAMIN, Elisabeth TOUTUT, Christian RAYNAL, Roger ATSARIAS et Djillali LAHIANI, créent aujourd’hui le groupe « Le Grand Toulouse Ensemble » à la Communauté Urbaine du Grand Toulouse.

Notre groupe est présidé par Grégoire CARNEIRO, avec deux vices présidents, Christian RAYNAL, 1er vice-président, et Béatrice URSULE, 2e vice présidente).

En associant des Elus de la ville-centre et de la périphérie, nous portons une vision solidaire de notre agglomération. En réunissant nos compétences et notre expérience, nous entendons participer à la définition des projets et aux débats de la collectivité.

Aujourd’hui, 2 ans après la création de la Communauté Urbaine, le constat est fait que les projets communautaires qui avancent et qui sont les plus importants, ont été lancés dans le mandat précédent : le Cancéropole, le Campus de Montaudran, le déménagement et l’extension du Parc des Expositions, la préparation de l’arrivée du TGV et l’aménagement du quartier Matabiau, la Jonction Est, la Liaison Multimodale Sud-Est, les principales ZAC…

Raison de plus pour aborder dans un esprit positif et avec confiance la deuxième moitié du mandat en cours.

Les Elus du groupe “Le Grand Toulouse ensemble”

 

 

 

 

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