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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 11:00

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Chers Amis,

Les Elus du Groupe Toulouse pour Tous, et l’Association Toulouse Avenir ont le plaisir de vous convier à la  REUNION PUBLIQUE – DEBAT

en présence de Jean-Luc MOUDENC

 

L’Animal dans la Ville

Présenté par

 

Pascal VICTORIA

Educateur et Comportementaliste- Médiateur Canin et Félin

Vendredi 31 Mai 2013 à 19H30

Salle du Sénéchal

17, rue de Rémusat à Toulouse

(métro Capitole)

Vos amis sont les bienvenus, n’hésitez pas à transmettre cette invitation

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16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 18:24

marcel-Cavaille.jpgAujourd’hui, Marcel CAVAILLÉ s’est éteint.

Celui qui fut Secrétaire d’État, Sénateur et Élu municipal à l’époque de Pierre puis de Dominique BAUDIS a été un grand serviteur de Toulouse.

C’était quelqu’un de particulièrement chaleureux, proche des gens, avec de grandes qualités humaines et un sens aigu du service public.

Pour tout cela, nous lui rendons hommage.

Le Groupe « Toulouse pour Tous »
Roger ATSARIAS, Florence BAUDIS, Danièle DAMIN, Djillali LAHIANI, Jean-Luc MOUDENC, Christian RAYNAL, Élisabeth TOUTUT

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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 06:48

moudenc 43Le Maire-Président était récemment l’invité de France Bleu Toulouse.

A la question « Cela vous arrange que l’Opposition soit divisée ? », il a répondu, laconique, « Bien sûr !».

(extrait en écoute ici : https://soundcloud.com/jean-luc-moudenc/cohendivision)

Comme nous le comprenons !

La division conduit à la défaite. Les candidats de gauche l’ont subi les 10 et 17 juin derniers sur la 3ème circonscription de Haute-Garonne lorsqu’ils ont, en partie, contribué par leur division à l’élection de Jean-Luc MOUDENC comme Député.

Alors, maintenant, les divisions de l’Opposition ça suffit !

Nous appelons chacune et chacun à se mettre enfin au travail autour d’un projet commun dans un but partagé : que l’Opposition au Parti socialiste et à la Majorité sortante gagne les municipales de 2014 afin de réveiller Toulouse.

Ceux qui continuent à entretenir la division ne peuvent plus faire semblant de l’ignorer : ils font « bien sûr » le jeu du Maire sortant.

 

Roger ATSARIAS, Florence BAUDIS, Danièle DAMIN, Djillali LAHIANI, Jean-Luc MOUDENC, Christian RAYNAL, Élisabeth TOUTUT
Élus du Groupe d’Opposition municipale « Toulouse pour Tous »

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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 07:00

moudenc-42.jpgLeader d'une des deux branches de l'opposition municipale de droite à Toulouse, Jean-Luc Moudenc (UMP) a lui aussi été attentif à la venue de Jean-Louis Borloo, président de l'UDI, à Toulouse. Et s'il a entendu l'appel au rassemblement - un rassemblement dont il dit être le promoteur depuis toujours-, il adresse à son tour deux «mises en garde. «Que l'UDI ait de l'ambition à Toulouse tant mieux, mais cela ne doit pas conduire à la confusion et à la division», avertit l'ancien maire à l'occasion des vœux à la presse hier. Et «il ne faut pas perdre le sens des réalités : la base électorale de l'UDI, c'est 3 %», tranche-t-il au vu des législatives.

Pour autant, Jean-Luc Moudenc «plaide pour une liste commune. Si on est d'accord sur le projet, on sera d'accord à 90 % sur le rassemblement.» Quant à la tête de liste, il estime qu'elle sera décidée lors d'«un accord sur les grandes villes». Et il rappelle qu'il est d'accord pour une primaire.

Jean-Luc Moudenc a ironisé sur les visites de terrain du maire de Toulouse. Comme il a ironisé sur l'étiquette droite dure qui lui est apposée. «Je suis un homme de centre droit», assure l'élu qui se revendique de «l'école baudisienne». «Aujourd'hui au Capitole, on a un dogmatisme de gauche. Je ne veux pas demain d'un dogmatisme de droite.»

À la veille du conseil municipal, il a enfin trouvé «anormaux» les chiffres du recensement : «651 Toulousains de plus en 2009». La faute, selon lui, à la mairie qui mobilise «des moyens inadéquats avec 65 % de vacataires.» Jean-Luc Moudenc formule deux vœux : que les vestiges du square du Capitole soit visibles. Et que Toulouse célèbre le 800e anniversaire de la bataille de Muret.

La Dépêche du Midi

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18 décembre 2012 2 18 /12 /décembre /2012 07:27

 capitole 001BUDGET PRIMITIF 2013 – VILLE DE TOULOUSE 14 décembre 2012

Résumé de l’intervention de Jean-Luc MOUDENC

1°) Les concours financiers de l’Etat : Les années précédentes, il n’y avait pas de vociférations assez fortes pour critiquer les dotations de l’Etat. Et cette année, aucun cri. Aucune remarque. On n’entend qu’un grand silence. La Ville de Toulouse va perdre 4 M€. C’est la plus forte baisse enregistrée par la Ville de Toulouse depuis 2007.

Rappelons que la Communauté Urbaine va perdre 3 M€.

Au total, l’Etat verse exactement la même somme au niveau national, et nous, à Toulouse, nous allons perdre en une seule année 7 M€ (Ville + CU). Nous ne sommes ni Sevran, ni une région rurale comme la Corrèze. Alors que le candidat François Hollande s’était engagé, c’est l’engagement n°54, à ne pas baisser les dotations aux Collectivités locales, le Gouvernement a déjà annoncé qu’il ne tiendrait pas cet engagement en 2014 et 2015 : il réduira les dotations aux collectivités de 1,5 milliards d’euros sur deux ans.

2°) Les dépenses de fonctionnement : Les dépenses de personnel augmentent de 3,9 %. C’est un chiffre trop important. Le point d’indice évolue pourtant fort peu. Le régime indemnitaire ne varie plus. On n’ouvre pas de grands équipements. Il y a pourtant d’énormes réserves de productivité. Notamment, l’absentéisme a augmenté de 7 jours entre 2007 et 2009. On peut jouer là-dessus et le réduire en mettant en place une gestion des ressources humaines modernes stimulante et efficace. Par ailleurs, dans la délibération, pour 2013, il est indiqué que les dépenses de personnels représentent 57,1% des dépenses de fonctionnement. Dans la délibération de l’an dernier, les dépenses de personnel ne représentaient que 55,5 % des dépenses de fonctionnement.

En une seule année, on assiste à une dérive, puisque l’on passe de 55,5 % à 57,1 %, soit 1,6 points de plus.

Pour les communes de la même strate, les dépenses de personnel ne s’affichent qu’à 53,6 % des dépenses de fonctionnement. 53,6 % dans les autres communes et 57,1 % à Toulouse. BUDGET PRIMITIF 2013 – VILLE DE TOULOUSE 14 décembre 2012

3°) Les réserves, l’autofinancement, les investissements et l’emprunt :

a) les réserves

En 2007 ces réserves se montaient à 154 M€ en euros constants 2012. En 2013, les réserves seront à 78 M€ en 2012 (selon le DOB de novembre dernier). On assiste donc à une chute de 80 M€ environ entre 2007 et 2012, soit une chute de 15 M€ par an en moyenne.

b) l’autofinancement (excédent de fonctionnement) :

Rappelons ce qu’a dit la Chambre Régionale des Comptes dans son rapport (p .15): « la section de fonctionnement a dégagé un excédent brut de fonctionnement positif, mais en diminution de 48,1 % sur la période 2006-2010 ».

« Une inversion de tendance s’opère en 2008 avec une baisse de 33 M€, du fait d’une diminution globale de 6 M€ des produits de gestion et d’une augmentation de 26 M€ des charges de gestion ».

En euros constants de 2012, l’épargne nette passe de 112 M€ en 2007 à 45 M€ en 2012. Ce chiffre est stable pour 2013, mais il faut y regarder de plus près. En effet, en 2013, la Communauté Urbaine va accorder une somme de 10 M€ à la Ville de Toulouse pour participer au rayonnement du territoire Métropolitain. Si cette recette nouvelle de 10 M€ n’était pas arrivée, l’autofinancement aurait à nouveau chuté de 10 M€ ! Ce qui veut dire que le bateau « Mairie de Toulouse » continue à prendre l’eau, qu’aucune mesure corrective n’a été prise, aucune décision pour changer le cours des choses. On continue à s’enfoncer.

Lorsqu’on dit que l’autofinancement est passé de 112 M€ en 2007 à 45 M€ en 2012, Pierre Cohen répond : « ce n’est pas grave, c’est encore supérieur à la moyenne nationale. » Lorsqu’on dit que l’absentéisme a augmenté de 7 jours en moyenne par agent entre 2007 et 2009, Pierre Cohen répond : « ce n’est pas grave, c’est dans la moyenne nationale. » Pour prendre une comparaison avec des voitures, et en prenant un constructeur français, l’ancienne municipalité a remis une Alpine Renault (ou une Mégane III RS !) à la nouvelle municipalité.

La nouvelle municipalité bricole le moteur, trafique la carrosserie et dégrade les performances. Et Pierre Cohen répond « ce n’est pas grave, regardez, elle avance aussi vite que les 4 L des autres. » BUDGET PRIMITIF 2013 – VILLE DE TOULOUSE 14 décembre 2012

c) les investissements

Pour 2013, le budget d’investissement est à 180 M€. En réalité, à 165 M€ en enlevant les 15 M€ de dépenses d’ordre de l’opération Storagetek. 165 M€ en 2013, à comparer aux 156 M€ du budget 2012.

En tenant compte des taux de réalisation habituels, on devrait arriver à 125 M€ au compte Administratif. (En effet, on n’exécute jamais, dans les faits, 100% des crédits votés).

Cela veut dire que, en moyenne, la nouvelle municipalité a investi entre 15 et 20 M€ de moins, tous les ans, que la Municipalité précédente en 2007.

Sur un mandat, ce sont 90 à 120 M€ qui vont manquer aux Toulousains.

d) l’emprunt

 

En 2007, l’autofinancement couvrait 66 % des dépenses d’investissement. En 2012, il ne couvrait plus que 37 % des dépenses d’investissement. Dans ces conditions, il ne faut pas s’étonner que la Ville de Toulouse soit obligée de recourir à l’emprunt. Cela fait 23 ans que la Ville de Toulouse n’a pas recouru à l’emprunt. Elle va devoir le faire en 2013, alors qu’elle investit 15 à 20 M€ de moins, en moyenne, qu’en 2007.

On ne peut pas être opposé à l’emprunt par principe, mais il y a une condition : il faut que ce soit pour faire plus que par le passé. Mais là, on fait exactement l’inverse : on fait moins et on est obligé d’emprunter.

 

En conclusion, on peut dire que le Maire est le capitaine d’un bateau, on ne sait pas s’il s’agit d’un pédalo ou du Titanic, mais ce que l’on sait, c’est que : la coque est percée de toutes parts : l’autofinancement s’écroule année après année : 10 M€ de moins chaque année. Le bateau se traîne: l’investissement est plus faible qu’avant : tous les ans 15 à 20 M€ de moins qu’en 2007. Les passagers partent : selon l’INSEE : 2 200 Toulousains quittent la Ville tous les ans. L’équipage est de plus en plus nombreux : +3,9 % pour les dépenses de personnel qui représentent 57,1 % des dépenses de fonctionnement l’équipage se fait porter pâle : depuis 2007 : 7 jours d’absentéisme supplémentaire pour le personnel municipal. Et la consommation de carburant explose : taxe d’habitation et taxe foncière : + 2,6 % en 2013. Et maintenant pour corser le tout, il faut en plus appeler un remorqueur : 110 M€ d’emprunts inscrits au budget. Voilà le piètre état dans lequel se trouve la Ville de Toulouse en l’espace de 5 ans.

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23 octobre 2012 2 23 /10 /octobre /2012 06:15

capitole-001.jpgLa Chambre régionale des comptes rendra prochainement son rapport d’observations définitives sur la gestion de la Ville pour la période 2006-2010.

 

Nous n’avons eu de cesse, lors des votes sur les délibérations budgétaires, de dénoncer une chute de l’autofinancement et de l’investissement sous la mandature actuelle.

 

Le 6 octobre dernier, l’adjoint aux finances a confirmé dans la presse régionale que la Municipalité avait consommé les importantes réserves de 140 millions d’euros que l’équipe précédente avait laissées et a indiqué que la Ville allait devoir emprunter. Or, depuis 1990, soit près d’un quart de siècle, la Ville n’a plus recouru à l’emprunt. Au bout de 5 années à la tête de la Mairie, la Majorité actuelle va rompre cette gestion vertueuse.

 

Aussi, il nous semble nécessaire de mener une étude très approfondie des comptes de la Ville à la lumière du rapport de la Chambre régionale des comptes, afin d’en tirer des enseignements et de modifier la trajectoire périlleuse que suit la Municipalité.

 

En conséquence, nous demandons au Maire de bien vouloir organiser un Conseil municipal extraordinaire dès qu’il sera en possession du rapport de la Chambre régionale des comptes, qui sera consacré à son étude approfondie.

Les élus du « Groupe Toulouse pour Tous » :
Jean-Luc MOUDENC
Roger ATSARIAS
Florence BAUDIS
Danièle DAMIN
Djillali LAHIANI
Christian RAYNAL
Élisabeth TOUTUT

 

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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 06:16

sanofi« La suppression annoncée d’environ 900 postes d’ici 2015 par des départs volontaires,  chiffre qui exclut le site  toulousain du comptage (!), laisse les salariés dans un flou peu rassurant sur l’avenir réel de SANOFI Toulouse. Nous attendons maintenant de connaître les acteurs et les projets de recherche susceptibles de poursuivre les activités  qui  pérenniseront les emplois sur Toulouse, en particulier à travers la montée en puissance de l’Oncopôle. SANOFI, entreprise aux 5 milliards de bénéfices en 2011, doit rétablir un vrai dialogue social avec les Représentants de son  Personnel pour  avancer sur des solutions réalistes et solides à long terme. Je ne traiterai pas les dirigeants de «patrons  voyous», car l’invective ne solutionne aucun problème et rend impossible, au contraire, la recherche d’un compromis.   J’appelle cependant la Direction de Sanofi à la responsabilité dans ses choix et au respect du travail de ses  employés,  valeurs qui sont à la base des entreprises impliquées dans la réussite collective. Parce que je crois au capitalisme social  et non au capitalisme financier. » Jean-Luc Moudenc, Député de la Haute-Garonne, Maire de Toulouse 2004-2008

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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 06:02

azf-toulouse.jpg« Respectueux de l’indépendance de la Justice et du principe de la séparation des pouvoirs, je n’ai pas à me prononcer  sur le bien-fondé de la décision de la Cour d’Appel de Toulouse dans le procès AZF. Toutefois, je me réjouis de ce que  des responsabilités pénales aient été reconnues. Il aurait en effet était très douloureux pour les familles des victimes que  la décision de première instance soit confirmée : elles y auraient vu un déni de justice. Par ailleurs, je regrette qu’en ce  qui concerne Total et son PDG de l’époque la Cour ne se soit pas prononcée sur leur éventuelle culpabilité pour un  simple motif de procédure. Cela est préjudiciable non seulement pour les parties civiles, qui ne connaîtront ainsi pas  une vérité judiciaire à ce sujet, mais aussi pour la société et Monsieur Desmarest qui ne pourront se prévaloir d’une  décision les innocentant sur le fond. J’espère de tout cœur que cette décision permettra aux victimes de faire leur deuil,  même si la probabilité d’un pourvoi en cassation est grande. C’est néanmoins une première étape vers la  reconnaissance de responsables de la catastrophe qui a été franchie. » Jean-Luc Moudenc, Député de la Haute-Garonne, Maire de Toulouse de 2004 à 2008

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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 05:58

« Lundi 24 septembre, lors d’une conférence de presse, nos collègues du groupe « Toulouse Métropole d’Europe » ont  annoncé leur volonté d’être présents dans le prochain scrutin municipal. Cette volonté est légitime : toutes les  sensibilités et personnalités toulousaines qui se reconnaissent dans l’Opposition municipale actuelle ont vocation à  apporter leur pierre à la démarche d’alternative municipale pour Toulouse en 2014. Parce que nous voulons le  rassemblement le plus large et le plus efficace possible, nous militons pour une liste d’Union dès le premier tour de  l’élection municipale. Nous devons cette unité à notre Ville, aux Toulousains, particulièrement à ceux qui veulent  l’alternance. Pour bâtir cette unité, nous sommes prêts au dialogue, sans exclusive aucune. Pour l’avenir de notre ville  et de notre métropole, élaborons, ensemble, collectivement, un Projet nouveau ! » Les Elus du groupe Toulouse pour  Tous : Roger Atsarias, Florence Baudis, Danièle Damin, Djillali Lahiani, Jean-Luc Moudenc, Christian Raynal,  Elisabeth Toutut

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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 05:29

moudenc 16-copie-1« Mardi 18 septembre 2012, lors d’une conférence de presse, nous avons abordé le recensement à Toulouse. Pour  mémoire, la progression démographique serait passée de 7.000 à moins de 1.000 habitants par an depuis 2008. Cela  engendre un manque à gagner de la Collectivité en subventions de l’État à hauteur de 5 millions d’euros par an. Dans  un article du quotidien régional ce mercredi, un adjoint au Maire tente péniblement de répondre en « noyant le poisson  ». Tout d’abord, nous prenons acte de ce qu’il avoue que le recensement opéré à Toulouse est « irréaliste ». Ensuite,  l’adjoint ne nous donne aucune explication. Enfin, il ne conteste pas le chiffrage du manque à gagner de 5 millions  d’euros par an pour la Ville. En guise de réponse, il ne peut qu’allumer un contre feu totalement hors sujet vis-à-vis de  l’ancienne équipe municipale : en ne passant pas en Communauté urbaine dès 2000, le Grand Toulouse n’avait pas  bénéficié de 20 millions d’euros de subventions étatiques en plus. Cet argument de diversion repose sur une amnésie  feinte de la Municipalité : si le recensement relève de la seule commune de Toulouse, le passage en Communauté  urbaine requérait l’unanimité des communes du Grand Toulouse (dont la plupart était socialistes), laquelle n’existait  pas avant 2008. L’ensemble des Maires avaient planifié cette transformation pour après l’année 2008. Ce n’était donc  pas, contrairement au recensement aberrant, de la seule responsabilité de la collectivité toulousaine de l’époque.  Décidément, la Municipalité répond à côté et avec des arguments qui ne tiennent pas debout…comme les chiffres du  recensement ! » Jean Luc Moudenc, président du Groupe Toulouse pour Tous

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