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2 avril 2012 1 02 /04 /avril /2012 10:29

moudenc 07Le 19 mars dernier, le drame de la tuerie d’Ozar Hatorah a conduit le Maire de Toulouse à armer la police municipale, pour qu’elle puisse travailler en bonne coordination avec la police nationale dans le cadre des mesures de protection prévues au « Plan Vigipirate écarlate ».

Il est une chose que je n’ai pas dite alors - car j’ai observé une retenue politique totale durant toute la rude semaine que nous avons vécue à Toulouse - et que je tiens à exprimer maintenant : si cette décision a pu être prise, c’est parce que j’avais, il y a quelques années, armé et formé pour cela nos policiers communaux.

Sinon, elle aurait été impossible.

A l’époque, les élus de gauche du Conseil municipal m’avaient désapprouvé ; là, on ne les a pas entendus et je m’en réjouis.

Le 26 mars cependant, les policiers municipaux toulousains ont été désarmés, malgré leurs protestations.

C’est là une mauvaise décision, car le temps me semble venu d’avoir dans notre ville une police municipale armée jour et nuit.

A l’époque, j’avais voulu avancer par étape : j’avais décidé l’armement pour la nuit seulement, prévoyant son extension en période diurne plus tard si tout se passait bien.

Nous avons maintenant le recul que procurent plusieurs années : il n’y a eu aucun problème.

Cet armement est opportun en raison  des dangers d’aujourd’hui et pour permettre aux policiers de remplir leur mission de protection du domaine public, en renforçant leur autorité et en accentuant la dissuasion qu’ils produisent envers les délinquants.

En effet, en pratique, l’armement agit comme un préventif à hauteur de quasiment 100 %.

La raison fondamentale de l’armement des policiers municipaux réside dans la nécessité de les protéger pour qu’ils remplissent avec plus d’efficacité et de détermination leur mission ; celle-ci n’est en rien changée dans sa nature ou dans son contenu, et il n’est donc pas pertinent de refuser cet armement aux policiers communaux au prétexte qu’ils ne sont pas des policiers nationaux et font un travail différent.

Par les temps actuels, armer la police municipale toulousaine 24 heures sur 24 enverrait un signe d’autorité bienvenu ; refuser cette mesure, comme vient hélas de le faire mon successeur, produit un effet symbolique contraire et négatif vis-à-vis de la délinquance.

Jean-Luc MOUDENC
Maire de Toulouse de 2004 à 2008
Président du Groupe d’Opposition municipale « Toulouse pour Tous »

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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 10:12

bouchons« La multiplication des travaux complique la circulation. Il ne s’est rien passé pendant 4 ans : le réveil n’en est que plus brutal. Lors de l’alternance municipale, les nouveaux édiles ont décrété que tout ce qu’avaient lancé leurs  prédécesseurs était mauvais et devait être « remis à plat ». Malgré l’ambition verbale affichée, cela a été suivi par 4  années d’endormissement de Toulouse. Mais à 2 ans des prochaines élections, la Municipalité s’est réveillée en  sursaut et a réalisé qu’elle n’avait d’autre choix que de bricoler une ébauche de bilan à la hâte. Résultat : les  chantiers qui auraient pu être étalés tout au long du mandat sont concentrés sur 2 ans. Cette simultanéité des  travaux crée une gêne indescriptible pour le trafic automobile : Fer-à-cheval, allées Jules Guesde, rue Gambetta,  rénovation interminable de la rue Alsace-Lorraine, rue Pargaminières… Saint-Michel : le point noir. Le point d’orgue des perturbations se situe au pied du Palais de Justice, sur les allées  Jules Guesde, en raison des travaux de l’absurde ligne de tramway Garonne. Malheureusement, cette situation n’est  pas temporaire. Ce que subissent les Toulousains aujourd’hui perdurera après les travaux : comblement définitif  du souterrain creusé il y a peu d’années, ce qui obligera 30.000 véhicules par jour à passer de nouveau en surface ;  suppression de la moitié des voies de circulation (plus qu’une voie dans chaque sens entre le Fer-à-cheval et le  Grand-Rond) ; suppression du parking sur les allées sans proposer aucune solution alternative de stationnement. La pagaille créée sur une telle entrée de ville, stratégique pour la fluidité du trafic, va rendre invivable la circulation  sur l’ensemble du secteur. Le crédo dogmatique : circuler moins bien pour mieux chasser la voiture ! L’adjoint en charge des transports  tient des propos… pour le moins surprenants ! Il considère que plus on gène la circulation et plus on diminue le  nombre de voies automobiles, plus le nombre de voitures diminuera… Nous refusons cette écologie par la terreur : on doit laisser le choix à chacun de prendre ou non sa « bagnole » ! C’est en incitant les Toulousains à emprunter des  transports en commun performants que l’on peut les favoriser. Mais certainement pas avec la ruineuse et peu utile  ligne G ! Enfin, ce même adjoint croit devoir se réjouir de la baisse du nombre de voitures sur les allées Jules Guesde  depuis le début des travaux. Il oublie qu’elles ne disparaissent pas mais se reportent ailleurs, notamment sur la  rocade, déjà bien suffisamment embouteillée ! » Jean-Luc Moudenc, Maire de Toulouse de 2004 à 2008, Président du Groupe  d’Opposition municipale « Toulouse pour Tous » et de Toulouse Avenir.


3 minutes pour Toulouse - N°6 - Multiplication... par ToulouseAvecJLM

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 07:41

budget.jpgAu moment où, sous les projecteurs des médias, c’est à dire de l’opinion publique, tous les pays européens, dont le nôtre bien entendu, opèrent de douloureuses remises en question pour assainir leurs finances publiques, les assemblées locales dirigées par le Parti socialiste crient au loup, dénonçant la légère baisse des dotations en provenance de l’Etat.

Ainsi, pour des raisons en fait politiciennes, on tente de faire passer l’idée illusoire que les collectivités locales seraient « un monde à part », comme dans une bulle détachée de tout environnement économique et social. 

Avec la crise, tout le monde – Etats, ménages, entreprises – devrait se « serrer la ceinture » et accomplir des efforts de gestion, sauf les collectivités locales !

C’est oublier que, dans le calcul de la solvabilité publique et des fameuses « dettes souveraines », ces mêmes collectivités pèsent pour 10 % de la dette publique de la France et représentent 20 % de la dépense publique.

L’effort qui leur est demandé dans la conjoncture actuelle est pourtant d’un ordre de grandeur bien plus modeste.

 

Dans le plan d’équilibre présenté au début de cet hiver par François Fillon, d’une ampleur totale de 7 milliards d’euros, la contribution des collectivités a été fixée à 200 millions. Certes, cela fait 200 millions de moins pour les collectivités, mais cela ne représente que 2,8 % du total.

Quelle en est l’incidence ici, à Toulouse ?

Figurez-vous que les maitres du Capitole crient au scandale dans les différents documents budgétaires parce que les dotations et compensations de l’Etat passent de 117, 2 millions à 114, 8, soit un recul qui représente moins de… 0, 3 % du budget total de la Ville, lequel s’élève à 725 millions !

Au Grand Toulouse, de 2011 à 2012, le « manque à gagner » venant de l’Etat s’élève à 3 millions d’euros, ce qui représente également 0,3 % du budget total de la Communauté urbaine, lequel se monte à 960 millions.

Jean-Luc MOUDENC
Maire de Toulouse de 2004 à 2008
Président du Groupe d’Opposition municipale « Toulouse pour Tous »

 

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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 07:08

Retrouvez ci-dessous l’interview que j’ai accordée à TLT à l’occasion du voeu que nous avons déposé au Conseil de communauté, la semaine dernière, en faveur des études sur un grand contournement.

 

Jean-Luc MOUDENC
Maire de Toulouse de 2004 à 2008
Président du Groupe d’Opposition municipale « Toulouse pour Tous »

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11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 14:01

moudenc 02Paradoxe des paradoxes, c’est en cette période où l’opinion mondiale, européenne en particulier, découvre les ravages de l’endettement public excessif, que la Communauté urbaine du Grand Toulouse, présidée par notre Député-Maire, renoue avec une stratégie d’endettement massif.

Or, le Grand Toulouse c’est, pour près des deux tiers, les Toulousains… 

Les tableaux joints ne sont pas connus des Toulousains ; ils ne les trouveront pas sur les supports de communication émanant de la collectivité ou favorables à celle-ci.

Alors, je vous les communique. En cliquant ICI, vous les visualiserez.

Pourtant, l’Opposition municipale n’en est pas l’auteur : ils sont extraits du document budgétaire officiel que nous a adressé Pierre Cohen lui-même il y a peu. Depuis, ils ont été légèrement modifiés à l’occasion du vote du budget primitif de 2012.

L’emprunt s’envole : 14,6 millions d’euros en 2010, 80 à 100 en 2011, 143 cette année, 154,6 en 2013, 109,6 en 2014, soit plus de 550 millions ! Une progression de plus de 600 % !

Logiquement, les intérêts de la dette communautaire suivent la même pente : 7,5 millions d’euros cette année, 8,8 l’an prochain, 17,6 en 2013, 23,1 en 2014. Un saut de 208 % !

Le recours à l’emprunt, en soi, est un moyen de financement normal.

Toutefois, il faut en user avec prudence et modération. C’est vrai d’ordinaire, et encore plus par les temps de crise actuels.

Il en résulte la nécessité de prioriser les dépenses, de les hiérarchiser, en sélectionnant les investissements à faire -- car on ne peut tout faire en même temps – et en comprimant le plus possible les budgets de fonctionnement.

Jean-Luc MOUDENC
Maire de Toulouse de 2004 à 2008
Président du Groupe d’Opposition municipale « Toulouse pour Tous »

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 12:02

moudenc-02.jpgCe matin, lors du Conseil de Communauté, mes amis et moi déposons un voeu en faveur des études de solutions pour désengorger la rocade (vous le trouverez reproduit ci-dessous).

En effet, un échange de courriers que j’ai eu avec les Ministères concernés démontre que les autres grandes villes n’attendent pas pour lancer des projets de contournement. Vous trouverez un extrait de cette correspondance en cliquant ici. Le Grand Toulouse se doit de solutionner au plus vite ces problèmes d’embouteillages chroniques !

 

 

VŒU DU GROUPE « LE GRAND TOULOUSE ENSEMBLE » EN FAVEUR DE LA RELANCE DES ETUDES RELATIVES AUX SOLUTIONS DE DESENGORGEMENT DE LA ROCADE

 

Mesdames, Messieurs,

De toutes les agglomérations françaises, la nôtre est celle qui crée le plus d’emplois et qui connait la plus forte progression de population.

Par ailleurs, l’achèvement de l’autoroute A 20 (entre Montauban et Vierzon), en 2003, a terminé de placer l’agglomération toulousaine au cœur des échanges autoroutiers de l’Europe de l’Ouest : elle se situe au carrefour entre un axe Nord/Sud qui relie l’Europe du Nord à la péninsule ibérique et un axe Est/Ouest entre Atlantique et Méditerranée.

La combinaison de ces deux phénomènes entraîne une hausse constante du trafic routier sur le périphérique toulousain, source d’embouteillages nombreux et de plus en plus fréquents dont pâtissent les usagers.

Deux types de cette fréquentation majeure sont le trafic de transit (origine et destination en dehors de la zone locale) et le trafic d’échange (origine à l’intérieur de la zone locale et destination à l’extérieur de la zone d’échange et réciproquement). En effet, pour les raisons sus-évoquées, on estime que le premier passera de 39.000 véhicules / jour en 2003 à 66.000 véhicules / jour à l’horizon 2020 (+ 69%) et que le second passera de 237.000 véhicules / jour à 360.000 véhicules / jour sur la même période (+ 52 %) !

Des études avaient été lancées dès 2003, dans le cadre d’une concertation publique de grande ampleur, au sujet d’un grand contournement autoroutier. Malheureusement, depuis 2008, ce projet a disparu.

Pourtant, les automobilistes, en particulier ceux de la périphérie toulousaine, continuent de subir ces encombrements d’ampleur.

Face à cette situation, les pouvoir publics locaux, et au premier rang la Communauté Urbaine du Grand Toulouse, ne peuvent rester inactifs.

Chacun sait que le Plan de Déplacements Urbains (P.D.U.), malgré son importance, ne règlera pas le problème. Il faut donc traiter spécifiquement la question de la fluidité du trafic du périphérique en heures de pointe en étudiant :

- l’idée d’un deuxième anneau de rocade qui viendrait soulager le premier anneau existant en captant le trafic de transit ainsi qu’une partie du trafic d’échange et en structurant l’aménagement du territoire périurbain (avec implantation d’activités nouvelles permettant une meilleure répartition des richesses et un rapprochement domicile / emploi) ;

- la possibilité d’adjoindre aux infrastructures routières en question des sites propres pour les transports en commun : bus (BHNS) sur les côtés du périphérique existant, train en parallèle du deuxième anneau à créer.

En conséquence, la Communauté Urbaine du Grand Toulouse propose l’introduction dans le prochain PDU d’un programme d’études en vue du soulagement de l’actuel périphérique, comportant la création d’un deuxième anneau de rocade (total, partiel, ou progressif) et un volet de site(s) propre(s) pour les transports en commun (TCSP).

Jean-Luc MOUDENC
Maire de Toulouse de 2004 à 2008
Président du Groupe d’Opposition municipale « Toulouse pour Tous »

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 11:48

bouchons.jpgLa hantise des Toulousains ? Les bouchons sur le périphérique. Jean-Luc Moudenc l'a bien compris. Pour désengorger la rocade, il remet au goût du jour le projet de deuxième anneau de circulation. Son groupe, Le Grand Toulouse ensemble, souhaite le lancement d'une étude par le Grand Toulouse, dans le cadre du plan de déplacements urbains.

 

« La situation du périphérique engorgé ne s'arrange pas ! Il faut faire quelque chose. » Face aux problèmes de la circulation et aux bouchons à répétition, Jean-Luc Moudenc, candidat UMP aux législatives et président du groupe Le Grand Toulouse Ensemble, réclame une étude par la communauté d'agglomérations. « Pour nous, il y a deux solutions à étudier. Un deuxième anneau de rocade qui capterait le trafic de transit, extérieur à la ville. Et le développement de sites d'accueil des transports en commun, bus et train » décrit-il.

Cet anneau de contournement, placé à 15 ou 20 km de Toulouse permettrait de détourner 30 000 véhicules par jour. Lorsque la question de l'environnement se pose, Jean-Luc Moudenc n'hésite pas car « si le trafic est plus fluide, il est moins polluant. » Une solution avantageuse de tous points de vue, selon l'élu.

 

Immobilisme des politiques locaux

Pour le candidat, le constat est simple. « Depuis 2003, il n'y a eu aucune étude. Sauf qu'en neuf ans, il y a eu 200 000 habitants en plus. La hausse du trafic routier est estimée à 60,5% en 2020. » Il regrette que les institutions locales actuelles ne se saisissent pas du problème. D'autant plus que le Plan de déplacements urbains entre en discussion.

« Cette semaine, les Toulousains sont inquiets. Les travaux débutent à Saint Michel, rue Pargaminière et rue Gambetta. L'accès au centre va être bouché. Donc la rocade sera encore plus encombrée » explique Jean-Luc Moudenc.

Même si son idée de deuxième anneau de périphérique ne fait pas le consensus, il persévère et souhaite « qu'on étudie le problème. Dans 10 villes françaises, comme Lille ou Strasbourg, il y a des plans de détournement de la circulation. Pourquoi Toulouse est à la traine ? »

Toulouse Infos

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2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 11:47

moudenc 07Toulouse Avenir et le Groupe d’Opposition municipale « Toulouse pour Tous » organisent leur 3ème réunion publique-débat le lundi 6 février 2012 à 19h30, salle du Sénéchal.

Elle aura pour sujet les transports.

Notre invité d’honneur sera Claude Terrazzoni, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Toulouse de 2002 à 2010, et Président de l’Union des Aéroports Français de 2005 à 2011.

Seront également présents : 

- Jean-Michel LATTES, Ancien adjoint au Maire, chargé de la Circulation et des Transports

- Raymond de LARTIGUE, Président de la commission Transport-Circulation de Toulouse Avenir

- Jean-Luc MOUDENC, Maire de Toulouse de 2004 à 2008 et Président du Groupe d’Opposition municipale « Toulouse pour Tous » et de Toulouse Avenir.

Salle du Sénéchal : 17 rue de Rémusat à Toulouse (métro Capitole)

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 07:26

moudenc 06J’ai le plaisir de vous présenter le cinquième numéro de « 3 minutes pour Toulouse », initiative conjointe de Toulouse Avenir et du Groupe d’Opposition municipale Toulouse pour Tous.

Je vous en rappelle le concept: mensuellement, nous publions un argumentaire sur un sujet d’actualité municipale. Il prend une forme double : un édito vidéo de 3 minutes accompagné d’un « argu-flash » succinct, le tout disponible sur ce blog et sur Facebook.

En ce mois de janvier, j’ai décidé de vous parler du Plan de Déplacements Urbains (P.D.U.). Voici cet éditorial en vidéo :

 

Quant à l’argu-flash, cliquez ici pour obtenir le PDF imprimable.

Je compte bien évidemment sur vous, mes fidèles lecteurs, pour relayer au maximum ces deux éléments sur internet.

Par ailleurs, pour prolonger ce « 3 minutes », je profite de ce billet pour vous convier d’ores-et-déjà à une nouvelle réunion publique-débat sur le thème des transports qui aura lieu :
lundi 6 février à 19h30
Salle du Sénéchal, 17 rue Rémusat à Toulouse
.

Je vous remercie et vous souhaite un bon visionnage de l’édito vidéo et une bonne lecture de l’argu-flash.

Rendez-vous en février pour un nouveau « 3 minutes » !

Jean-Luc MOUDENC
Maire de Toulouse de 2004 à 2008
Président du Groupe d’Opposition municipale « Toulouse Pour Tous »

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20 décembre 2011 2 20 /12 /décembre /2011 15:38

moudenc 09Jean Luc Moudenc, président du groupe d’’opposition municipale « Toulouse pour Tous » se dit inquiet de l’état des finances de la Ville et de la Communauté Urbaine.

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