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1 décembre 2010 3 01 /12 /décembre /2010 05:55

TGV_384.jpgLe passage d'une ligne TGV peut couper une commune en deux, physiquement mais aussi dans le domaine des relations humaines. Les maires des communes concernées le découvrent et sont bien désarmés pour y faire face.

Pourtant, c'est un projet qui a plus de 10 ans. Mais l'information, à l'époque, ne semblait pas atteindre la cible qu'étaient les futurs impactés par le tracé. Aujourd'hui, et cela est certainement légitime, ils réagissent. Les maires ont donc à gérer tout cela. Une ligne, c'est un tout, elle se situe dans un réseau national, elle est construite avec un ou des objectifs à long terme, tout cela en fait un sujet délicat pour en débattre localement.

C'est pourtant le choix pris par la commune de Castelmayran, de toujours relayer l'information, d'expliquer les avancées du projet, mais aussi les contraintes en cherchant à limiter les défauts et les impacts négatifs.

C'était encore le cas ces derniers jours à l'occasion des deux réunions d'information qui se sont déroulées à Castelmayran.

Réunion du conseil municipal. Aujourd'hui 1er décembre à 20 h 30, réunion du conseil municipal en séance publique dans la salle de la mairie. Ordre du jour. Emprunt d'investissement, emprunt de trésorerie, travaux de voirie et réseau pluvial à l'espace du Levant, reclassement des terres à vocation agricole, mutualisation de la redevance d'occupation du domaine public réseau et installations de télécommunication, classement des chemins ruraux, droit action sociale des agents, dématérialisation des marchés publics, décision modificative n. 8, enquête publique extension de la station d'épuration de Castelsarrasin, délégués commission sociale CCS2G.

La Dépêche du Midi du 011210

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1 décembre 2010 3 01 /12 /décembre /2010 05:48

TGV_383.jpgEn préambule à son assemblée générale, l'association TEG 82 (Tous ensemble pour les gares) avait organisé une rencontre-débat sur le thème: «La LGV Bordeaux-Toulouse, quels impacts en Tarn-et-Garonne?».

Brigitte Ducloz accueillait ses invités et donnait la parole, en premier lieu, à Charles Marziani, vice-président en charge des transports au conseil régional: «Entre la LGV et les autres moyens de transports collectifs, nous considérons qu'il existe une complémentarité. Malgré l'abandon du projet du train pendulaire, nous n'avons pas renoncé à l'idée que la ligne Palito reste à dimension nationale. Sa modernisation ne s'oppose pas à la création d'une ligne à grande vitesse.»

Puis Bernard Faucon-Lambert, président de l'association Alternatives LGV, posait la question de l'utilité d'une telle ligne en rapport à la préservation du service public et au développement durable, en regard du coût d'investissement de la construction d'une gare à Agen et son temps d'ouverture estimé à 2 à 3 heures par jour. Il ajoutait: «Si la ligne LGV est créée, on peut faire une croix sur la mise aux normes des lignes actuelles. La question de la fréquentation reste posée, notamment par rapport aux low-cost d'«Air-France» sur Toulouse-Paris».

Ensuite, Régis Hochart, membre de la Confédération paysanne, évoquait les gaz à effet de serre produits par les avions et l'inopportunité, selon lui, d'un 2e aéroport à Toulouse. Sur l'aspect agricole, il évoquait la politique d'emprise des infrastructures sur des sols fertiles, comparant la vallée de la Garonne à celle du Nil que les anciens avaient su préserver en construisant ailleurs.

Enfin, Henri Célié, membre du conseil scientifique d'Attac, après avoir rappelé que 80% du transport résidait dans le fret maritime, ajoutait: «Le fret est la première motivation de la modernisation des transports. C'est là tout l'enjeu de la relocalisation de nos modes de vie.»

La Dépêche du Midi du 011210

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30 novembre 2010 2 30 /11 /novembre /2010 11:17

TGV_382.jpgSuite à la proposition du Collectif Régional « UNION POUR LA SAUVEGARDE DES VILLAGES », regroupant 25 communes sur 40 km, et à la décision du Ministre de l’Ecologie et du Secrétaire d’Etat aux transports, RFF propose maintenant à l’étude un nouveau fuseau alternatif le long de l’autoroute.

Notre collectif n’est évidemment pas opposé au TGV mais il faut que le tracé se fasse avec le moins d’impacts directs possible. Vous trouverez dans cette brochure quelques extraits de journaux locaux ainsi que 3 plans présentant :

- Le fuseau de 1000 m en rouge proposé par le collectif pour les études d’impacts

- Le tracé en rouge proposé par le collectif : situé pour Saint-Sauveur côté « Ouest » ( côté Hers ) de l’autoroute et jumelé à celle-ci, notre demande pour Saint Sauveur est un mur antibruit côté « Est » de l’autoroute afin de diminuer aussi, pour les habitants du coteau, les nuisances sonores actuelles de l’autoroute

 - Le fuseau de 1000 m de RFF en bleu avec à l’intérieur, en pointillé, la proposition du collectif

Notre force repose sur le fait qu’il s’agit d’un projet collectif élaboré avec toutes les communes impactées et désirant se défendre. Si, vous aussi, vous souhaitez proposer vos idées, apporter vos remarques… contactez-nous : bruno.lecomte.guide@cegetel.net ou thierry.fourcassier@wanadoo.fr ou par téléphone au : 06 09 89 12 57.

Au delà de toute polémique, notre proposition s’appuie, dans le cadre d’une démarche constructive pour le bien public, sur les Conclusions du Débat Public de 2005 indiquant :

7.2.4 En Midi Pyrénées, Haute Garonne et Tarn et Garonne

b) Point de vue sur les modalités techniques du projet.

Le tracé

 Choix d’un tracé au plus prés possible de l’autoroute, pour faciliter les accès des secours en cas de besoin et de concentrer les nuisances.

 La LGV doit être envisagée dans une optique d’intermodalité avec le transport routier.

c) Les impacts attendus

Les associations de protection de l’environnement ont cependant insisté sur la sensibilité des milieux aquatiques dans la vallée de la Garonne, traversée de zones inondables.

Au delà des divergences politiques :

Le Collectif Régional regroupe, sur 40 km, élus et associations de 25 communes. Nous avons le soutien officiel d’élus de tous bords regroupés autour de notre proposition :

tract-usv-sylvia-pinel.jpgLa Députée Sylvia Pinel, du Parti Radical de Gauche, était présente dans nos manifestations et est intervenue pour appuyer notre proposition à l’Assemblée Nationale

 

tract-usv-brigitte-bareges.jpgLa Députée Maire Brigitte Barèges, UMP, élue aussi au Conseil Régional, est intervenue auprès du Ministère de l’Ecologie et du Secrétaire d’Etat aux Transports

 

tract-usv-annie-bonnefond.jpgLa Conseillère Régionale, Annie Bonnefond d’Europe Ecologie, a soutenu notre proposition dans les médias et au Conseil Régional de Midi Pyrénées

 

tract-usv-christine-de-veyrac.jpgLa Députée Européenne Christine de Veyrac, est intervenue au Parlement Européen car en charge de la commission transport

 

tract-usv-yvon-collin.jpgLe Sénateur Tarn et Garonne, Yvon Collin, du Parti Radical de Gauche est intervenu auprès du Ministère des transports

 

 

tract-usv-alain-chatillon.jpg Le Sénateur Haute Garonne Maire, Alain Chatillon Parti Radical Valoisien, est intervenu pour nous soutenir auprès du Ministre de l’Ecologie et du Préfet de Région

 

Communiqués ministériels

 

Jean Louis BORLOO : « Les propositions formulées entre les deux comités de pilotage par le collectif «Union pour la Sauvegarde des Villages», qui reposent pour l'essentiel sur un jumelage plus étroit avec l'A62 et un raccordement à la ligne existante sur le triage de Saint-Jory, méritent d'être approfondies préalablement à toute décision. C'est pourquoi des études comparatives entre la variante dite « D » et celle proposée par le collectif USV seront poursuivies par Réseau ferré de France »

 

Adressé à RFF par Dominique BUSSEREAU et Jean Louis BORLOO : « RFF examinera également, dans le cadre de la nouvelle phase d’études qui va s’engager, la faisabilité d’une variante de tracé reposant sur un jumelage plus étroit avec l’A62 dans le secteur allant du sud de Campsas jusqu’à un raccordement plus au sud vers Toulouse, afin de chercher à diminuer encore l’impact de la ligne nouvelle sur l’environnement et notamment sur le milieu humain »

 

Mr SCHMITT, Préfet Coordonnateur LGV Aquitaine et Midi Pyrénées annonce : « étude d’une variante du tracé à Saint-Jory »

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30 novembre 2010 2 30 /11 /novembre /2010 11:00

TGV_376.jpg

Le nouveau tracé de la LGV pourrait impacter notre commune ... Lire l'article paru dans la Dépêche du Midi et voir le tract

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30 novembre 2010 2 30 /11 /novembre /2010 06:26

TGV_381.jpgVendredi 26 novembre, quelque 200 personnes ont assisté à la réunion publique d'information organisée par la Communauté de communes Sud Pays basque en partenariat avec les associations, à Kiroleta. Le sujet ? Faire le point sur l'avancée du projet de Réseau ferré de France (RFF), promoteur de la LGV, au moment où le dernier arrêté préfectoral daté du 25 octobre autorise de pénétrer dans les propriétés privées « en vue d'exécuter des opérations topographiques et des études hydrologiques et géotechniques ». « Malgré toutes les actions menées jusqu'ici, malgré le refus des élus, le fuseau avance », déclarait Michel Hiriart.

Les élus des communes concernées par le passage de la ligne à grande vitesse mais aussi ceux de communes voisines (1) ont ensuite commenté les cartes projetées sur écran géant. « Nous sommes très inquiets mais on va se battre », déclarait Odile de Coral, après avoir décrit le problème d'Urrugne, ville la plus impactée en nombre de kilomètres et de fuseaux. « Mais c'est aussi tout le Pays basque qui est concerné. D'où l'importance de se mobiliser pour la prochaine manifestation qui aura lieu le 11 décembre », ajoutait-elle, soulignant l'importance du soutien de tous les élus dans cette démarche.

Les présidents des associations (2) opposées à la LGV ont prolongé le constat fait par les élus, soulignant à l'aide de diaporamas l'inutilité du projet, ses impacts sur l'environnement et son financement qui se répercutera sur chaque foyer fiscal du Pays basque.

Pour répondre à la question posée par des habitants du quartier Beherecoborda, dont les maisons sont situées dans l'emprise du fuseau, ils ont conseillé de ne pas donner suite aux courriers adressés la société de sondage Fondasol.

De son côté, Peyuco Duhart leur a proposé de le contacter dès lundi.

(1) Michel Hiriart, président de la CCSPB (Biriatou) ; Jean-Louis Laduche (Ascain) ; Michel Ibarlucia (Ainhoa) ; Guy Poulou (Ciboure) ; Peyuco Duhart (Saint-Jean-de-Luz) ; Jean d'Elbée (Ahetze) ; Odile de Coral (Urrugne) ; Jean-Baptiste Laborde (Sare) ; Richard Beita (Hendaye) ; Marie Bleiker (Arbonne) ; Dominique Idiart (Saint-Pée-sur-Nivelle). (2) Dominique Ozcariz (collectif Ascain LGV ni ici ni ailleurs) ; Pantxo Tellier, Pierre Recarte (association Nivelle-Bidassoa).

Le Sud Ouest du 301110
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30 novembre 2010 2 30 /11 /novembre /2010 06:23

Le 11 décembre prendra place dans une Journée européenne contre les projets inutiles.

Fer de lance de l'opposition à la LGV Sud Europe Atlantique, le Collectif d'associations de défense de l'environnement (Cade) ne se démobilise pas. Avec d'autres associations, il a lancé un appel à manifester à Bayonne le samedi 11 décembre. (1) Elles sont toutes signataires de la Charte d'Hendaye, une déclaration adoptée le 23 janvier dernier dans cette ville, après une manifestation anti-LGV qui avait réuni environ 15 000 personnes.

Pour la première fois, la manifestation du 11 décembre prendra place dans une Journée européenne contre les projets inutiles organisée le même jour par des dizaines d'associations anti-LGV et protectrices de l'environnement dans plusieurs régions françaises, notamment à Limoges et à Langon, en Gironde, ainsi qu'en Allemagne, contre le projet Tuttgart S2, et en Italie, à l'initiative du mouvement No Tav.

« On ne doit pas tirer la couverture à nous. Il y a un durcissement au niveau européen », a fait remarquer Victor Pachon, porte-parole du Cade.

Dans un site internet créé pour l'occasion, un « appel européen » est lancé pour « faire du 11 décembre 2010 une journée de résistance coordonnée dans différentes régions d'Europe autour du thème du transport ferroviaire » et contre des « projets démesurés et inutiles » (www.11-12-2010.eu/home/).

Les agriculteurs en force

Cette manifestation du 11 décembre devrait être également marquée par l'entrée en force des agriculteurs. Un agriculteur d'Urrugne a témoigné à Bayonne de la colère de ceux qui sont menacés d'expropriation. 150 exploitations seraient concernées, 450 hectares étant sur l'emprise de la LG.

« Aucune indemnisation ne remplacera la terre qui est notre outil de travail. » Il a évoqué les sondages de terrains que Fondasol a commencé à entreprendre. « Nous sommes prêts à les arrêter avec des tracteurs et, éventuellement, autre chose au bout des tracteurs. Où qu'ils aillent, ils nous trouveront sur leur chemin. »

Victor Pachon, le porte-parole du Cade, a dénoncé à ces sujets la façon dont Fondasol aurait « harcelé » et soumis à des « pressions » certains riverains, notamment « les plus faibles et les plus âgés ».

(1) Départ à 15 heures de la salle Lauga.

Le Sud Ouest du 301110
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29 novembre 2010 1 29 /11 /novembre /2010 10:19

LGV-bressols - Ma-Tvideo France3Le tracé "survolé" du fuseau, fortement contesté, coupant (difficile de faire mieux !) la commune (déjà multidécoupée..) mais qui devrait-être très peu impactant: c'est évident, puisque officialisé... un (très)grand merci ! voir la vidéo :

 

 

 

Vous pouvez également visiter le site :  

Dire non au tracé de la LGV sans concertation pour défendre un fuseau près de l’autoroute plus respectueux des habitants de BRESSOLS.BRIAL et VERLHAGUET

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29 novembre 2010 1 29 /11 /novembre /2010 06:14

TGV_380.jpgÀ Sainte-Colombe, le double vitrage offert aux Cocuron, après-Grenelle oblige.

La maison des Cocuron. Un pavillon en rase campagne, dans la plaine de Sainte-Colombe-en-Bruilhois. Le couple a fait construire en 1975, à l'ombre des vergers. Les enfants ont grandi, le fils biologiste vit aux États-Unis et Roland a pris sa retraite d'agriculteur il y a dix ans. Lui et Marie-Hélène ne prêtaient plus attention à la complainte de leur voisine, l'A 62. 25 000 véhicules défilent chaque jour sous leurs fenêtres ou presque, c'est-à-dire à 80 mètres. Cet été, les Autoroutes du sud de la France (ASF) leur ont offert le double vitrage intégral de la maison… trente ans tout rond après la mise en service du tronçon reliant Saint-Pierre-de-Buzet à Agen. Le 30 octobre 1980, au lieu dit Richou, l'exploitation familiale se retrouvait coupée en deux et amputée de 2,2 hectares. « Là où passaient les vergers. »

C'est bien simple, Marie-Hélène n'y a pas cru en voyant débarquer un expert muni d'un sonomètre. Encore moins lorsque celui-ci leur a promis l'insonorisation intégrale de la maison. « Je suis méfiante ; il ne fallait pas qu'ils nous posent le double vitrage et qu'on ait ensuite la tartine à payer… » Roland est allé s'en assurer à la mairie : « Je n'y croyais pas tellement. On a téléphoné pour vérifier… Et on nous a posé ça cet été. »

60 logements bénéficiaires

Il y en a eu pour 19 000 euros de travaux. Le couple venait de monter une nouvelle porte d'entrée, ASF leur a offert une deuxième ! « On n'avait jamais rien demandé ! », s'étonne encore Roland. Il faut croire que leur oreille s'y était faite, le trafic allant crescendo : la première année de mise en service, 6 000 véhicules par jour étaient recensés sur ce tronçon. Quatre fois moins de passage qu'aujourd'hui. Attablés dans leur cuisine, les Cocuron redécouvrent les vertus du silence à domicile : « écoutez… On n'entend plus rien. » Dommage collatéral, ils ne distinguent plus le coup de klaxon donné par leur fille qui s'annonce en chemin.

Les ASF entretiendraient-elles ainsi ses relations de bon voisinage ? En Lot-et-Garonne, « 60 logements » seraient autant de « points noirs du bruit » dûment identifiés au bord de l'A 62. Fenêtres fermées, le niveau sonore y atteint 65 décibels (l'équivalent d'un sèche-linge ou d'une conversation normale), condition requise à la pose du double vitrage, la maison devait être antérieure à la construction de l'autoroute.

Un programme qui fait partie intégrante du « Paquet vert autoroutier » promu par le Grenelle de l'environnement, 9 millions d'euros étant investis le long des 80 kilomètres d'autoroute lot-et-garonnaise (lire « Sud Ouest » de samedi).

La LGV dans le dos

« Ça a accéléré les choses », dit Nicolas Briand. Le directeur régional d'ASF assure avoir agi « par anticipation » : « On a projeté nos mesures dans le temps. à terme, ces maisons auront des soucis ».

Pour l'heure, il a signé « une vingtaine » d'accords avec les riverains lot-et-garonnais, l'équipement s'élevant en moyenne à 15 000 euros.

Chez les Cocuron, le passage de la LGV est pressenti à quelques centaines de mètres derrière la maison, et un projet de zone d'activités, qui va de pair avec la gare excentrée qu'espèrent nombre d'élus locaux, lui enlèvera une douzaine d'hectares de terres. D'ailleurs, Roland Cocuron n'exclut pas de s'en aller un jour. Double vitrage ou pas.

Le Sud Ouest du 291110

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28 novembre 2010 7 28 /11 /novembre /2010 06:54

TGV 378...LGV: vigilance de mise. Le Conseil municipal rappelle qu' il a voté à l'unanimité, par délibération du 22 mars 2010 la demande d'étude d'un autre fuseau de LGV que celui proposé par l'Etat et RFF, ce nouveau fuseau étant situé le long de l'autoroute A62.

«En effet cette solution ne sacrifierait pas notre village. Les résultats de cette nouvelle étude seront dévoilés en février 2011 et nous restons très vigilants.»

 

La Dépêche du Midi du 281110

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28 novembre 2010 7 28 /11 /novembre /2010 06:16

TGV_379.jpgCe samedi matin, trois activistes du mouvement altermondialiste basque Bizi ! sont montés sur les toits de la mairie de Bayonne. Ils y ont accroché une immense banderole : "LGV : Toujours plus vite dans le mur "

Ce samedi à 10H00 du matin à Bayonne, des activistes du mouvement  Bizi! (« Vivre ! » en langue basque) sont montés sur les toits de la mairie de Bayonne. Ils ont accroché aux statues surplombant l'Hôtel de Ville une immense banderole de dix-sept mètres sur six appelant à la désobéissance civile contre le projet de LGV « LGV : Toujours plus vite dans le mur ! Desobedientzia zibila ! », indique un communiqué de l'association.

D'autres personnes ont fait circuler des tracts dans le marché de Noël, critiquant notamment le député-maire UMP de Bayonne, Jean Grenet,  pour son soutien à la LGV. Affirmant « Nous n'avons pas de planète B » et évoquant l'urgence
climatique, Bizi ! a voulu ainsi dénoncer l'impact écologique de la LGV et plaider pour la modernisation des voies existantes.

Ils ont appelé à participer  à la manifestation anti-LGV organisée le samedi 11 décembre à 15H00 à Bayonne ainsi qu'au rassemblement pour une transition sociale et écologique prévu le samedi 4 décembre à Cancon dans le Lot-et-Garonne.

 

Le Sud Ouest du 281110

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