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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 05:15

TGV_337.jpg"Et on commence tout de suite ce journal avec cette action contre la lgv menée par un collectif d’association venu du Lot et Garonne, du Tarn et du Tarn et Garonne. Ils se sont réunit devant l’hôtel de région pour demander la réhabilition des voies actuelle en lieu et place du projet de lgv. Michel Martelli, Président de l'association Tous Groupés Vigilants nous parle de son combat." Toulouse Info du 081110

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 05:14

Martin Malvy : « la ligne à grande vitesse est essentielle au développement durable de Midi-Pyrénées »

Dans la perspective de la signature de la convention de financement de la ligne à grande vitesse (LGV) Tours-Bordeaux, l‘Assemblée plénière du Conseil régional Midi-Pyrénées, réunie ce lundi, a adopté une disposition autorisant la Région à verser sa participation à ce chantier, au fur et à mesure qu’elle y sera appelée, à hauteur de 102,38 millions d’euros.

Revenant à cette occasion sur le dossier de la LGV Sud-Ouest, Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées, a notamment déclaré :

« Des contestations s’expriment encore ici ou là sur l’opportunité de la ligne nouvelle. Leur expression est légitime. Mais il est clair que le débat sur la modernisation de la ligne existante a déjà été tranché. Et ce pour deux raisons.
D’abord parce que seule une ligne nouvelle permet d’obtenir des temps de parcours performants. Les gains de temps doivent en effet être évalués sur l’ensemble de la liaison Atlantique-Méditerranée, de Bordeaux à Marseille, Barcelone, Lyon ou Nice, qui en sont les destinations à terme, et pas seulement sur le tronçon Bordeaux-Toulouse.
Ensuite parce que seule la création d’une LGV permettra de mettre en œuvre notre objectif de développement du fret – et notamment des trains longs – objectif également essentiel pour le développement durable de Midi-Pyrénées.
La décision d’aujourd’hui ne porte que sur la partie Tours-Bordeaux de ce chantier », a rappelé Martin Malvy, « mais elle est une étape essentielle dans la concrétisation du TGV Paris-Toulouse-Narbonne qui est une priorité pour notre région ». Toulouse7.com

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 05:13

TGV_336.jpg"A l'issue de la présentation de l'évolution des tracés de la future ligne LGV à la population de Montbeton et Lacourt Saint-Pierre, à laquelle elle participait la semaine dernière, la députée Sylvia Pinel avait été claire : « La réaction des gens ne peut pas laisser indifférent, notamment sur le sort réservé à la partie dite de « tranchée couverte». J'ai ressenti beaucoup d'émotion dans les propos. Il faut impérativement interpeller le ministre sur ce qui est vécu comme une terrible injustice. C'est ce que je vais faire, avec le soutien du président du conseil général.. »

Chose dite et rapidement faite. Et la réponse n'a pas tardé…

Hier soir, Jean-Michel Baylet et Sylvia Pinel ont reçu via un courrier électronique une lettre abritant la réponse de Jean-Louis Borloo, en ces termes :

« Je vous ai indiqué récemmen,t s'agissant du tracé de la future ligne de TGV Bordeaux-Toulouse entre les communes de Montbeton et Lacourt Saint-Pierre : « en tout état de cause, il faut que le tracé soit le moins impactant possible… »

Je souhaite aujourd'hui vous préciser, après de nouvelles réflexions sur ce dossier, que la « variante tranchée couverte » me semble, sous réservez de faisabilité technique, la plus appropriée pour atteindre cet objectif. En conséquence, je donne des instructions en ce sens à Monsieur Hubert Dumesnils, président de Réseau Ferré de France (RFF). » Dont acte." La Dépêche du Midi du 081110

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 05:10

malvy.jpg"Le président du conseil régional Martin Malvy a présenté ce lundi 8 novembre en session plénière les orientations budgétaires pour 2011. Malgré une dotation étatique gelée, la majorité compte « ne pas renoncer à l'essentiel » malgré une baisse des investissements de 20 à 25% et recherche de nouvelles voies de financement.

L’éducation, la formation, l’enseignement supérieur, la recherche, l’économie ou les transports : autant de domaines sur lesquels le Conseil régional n’entend pas raboter. Exercice difficile s’il en est, puisque le rapport rendu par le Conseil régional à l’occasion de la séance plénière sur les orientations budgétaires pour 2011 note que « dans le cadre de la loi de programmation des finances publiques 2011-2013, l’État annonce le gel durant trois années des dotations. La non-prise en compte de l’inflation aura pour conséquence une baisse en euros constants. »

Au cours de la conférence de presse qui a suivi, Martin Malvy a estimé « vraisemblable que nos budgets seront les mêmes ou inférieurs. Nous maintiendrons nos priorités avec des efforts d’économie, en gelant les recrutements et en diminuant les frais de fonctionnement ». Les dépenses d’investissement seront « réduites de 20 à 25 % », même s’il « n’est pas question de toucher à l’essentiel ». Quant à savoir quels investissements seront repoussés, mystère : « Les arbitrages seront faits dans les semaines qui viennent ».

Parmi les pistes privilégiées pour trouver de nouveaux financements, la séance plénière a vu l’adoption d’un réajustement du tarif régional de la TIPP, pour atteindre « 0,80 centimes d’euro par tranche de 100 litres, ce qui permettra à la Région de rembourser un emprunt de 300 millions d’euros » consacrés aux transports collectifs. Mais pour Martin Malvy, ce n’est qu’un début : « Nous demandons très fermement au gouvernement la création d’une recette dédiée pour le financement des transports collectifs régionaux, soit par la généralisation du versement transport, soit par une taxe sur les bénéfices des compagnies autoroutières ou pétrolières ». La TIPP rapporte actuellement 25 millions d’euros à la Région. « Une autre taxe est possible sur la carte grise : la région perçoit 6 % sur les 34 € que la carte grise coûte en Midi-Pyrénées. »

« Où sont vos grandes orientations ? » a pour sa part fustigé Brigitte Barèges, présidente du groupe d'opposition Osons ! Midi-Pyrénées et députée-maire UMP de Montauban. « Force est de constater que ce document, sur cinquante pages, est en fait un réquisitoire contre l’État !, a poursuivi l’élue. Contrairement à ce qu’affirme Martin Malvy, les régions sont les grandes gagnantes de la réforme de la fiscalité locale, avec une cagnotte d’1,2 milliard d’euros, qui vient s’ajouter au matelas fiscal que les régions socialistes se sont assurées en augmentant les impôts, soit 6 milliards d’euros qui pèsent en plus sur les ménages et les entreprises en six ans. »

L’UMP Jacques Thouroude, maire adjoint de Castres, renchérit : « Comme le montrent les dotations versées par l’État, celui-ci n’a jamais oublié les collectivités locales ». Le rapport publié par le Conseil régional met en effet en valeur une « large progression des dotations versées par l’État entre 2004 et 2007 ». La même année, « une dotation exceptionnelle de 27,8 millions d’euros a été versée au titre de la compensation du transfert de compétence relatif à l’AFPA ».

Mais pour les auteurs du rapport, ces augmentations sont dues « au cumul de deux tendances lourdes : le renforcement et le transfert de compétences aux régions compensées en majorité par des dotations jusqu’à une période récente, et la création d’une DGF régionale intégrant la majorité des dotations de compensations pour suppressions d’impôts régionaux (…) dont le volume présente de ce fait un caractère artificiel ». Face aux élus de l’opposition, Martin Malvy sourit et rétorque : « 68 % de nos recettes viennent de l’État, et c’est bien ce qu’on regrette : notre marge de manœuvre est de plus en plus réduite. Quand à cette cagnotte, si vous pouviez me dire où elle est… ». En 2010, le budget du conseil régional était de 1,25 milliards d’euros.

Une surprise, enfin, est venue animer les débats : à la reprise de la séance, Martin Malvy a annoncé la création d'un nouveau groupe d'élus UMP, Républicains et territoires, par scission du groupe UMP Osons ! Midi-Pyrénées emmené par Brigitte Barèges. Sous la conduite de l'ancien président du groupe UMP Gérard Trémège, il comprend Marie Déqué, vice-présidente du groupe, Marie-Pierre Chaumette, Catherine Corrège, Laurent Cuzacq, Monique Martignac, Stéphane Mirc, Christiane Pieters et Jean-Luc Rivière." Objectif News du 081110

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 05:07

TGV_335.jpg"Président du conseil général, Pierre Camania «entendu »les arguments des opposants au projet LGV, mais ne se dit «pas convaincu. »Il accepte l’idée de financer une étude à condition qu’elle compare les deux options, LGV sur ligne nouvelle ou sur les lignes existantes.

Vous avez reçu les opposants au projet de ligne à grande vitesse à plusieurs reprises. Retenez-vous l’un ou l’autre de leurs arguments ?

Pierre Camani: «Je prend acte du fait qu’ils sont porteurs de deux éléments; la souffrance des riverains qu’il faut accompagner et une vision du projet de LGV. J’entend leurs arguments, mais ils

ne m’ont pas convaincu.»

Les associations défendent l’idée d’une LGV sur les lignes existantes. Que leur dîtes-vous ?

«Je reste convaincu de l’intérêt d’une ligne nouvelle, pour le développement économique du département. Le premier critère des entreprises, c’est l’accessibilité. Mais je leur ai dit aussi que j’acceptais de financer une étude, à la condition express qu’elle soit comparative entre le projet de la LGV et leurs propositions concernant les lignes existantes. Ce qui m’intéresse, c’est une étude générale.»

Le conseil général devait voter sa participation pour le tronçon Bordeaux-Tours dans les prochains jours. Ce ne sera pas le cas, pourquoi ?

«Ce n’est pas exact. Nous ne repoussons pas le vote sur cette participation car nous n’avons tout bonnement pas été saisis officiellement. Nos services ont effectivement reçu, de la main à la main, un projet de convention type comme le reçoivent tous les départements concernés. Nous aurons un débat au cours du deuxième trimestre 2011(après les élections cantonales, NDLR). Globalement, il n’est pas dans nos intentions de signer et d’assumer des dérives financières. Nous voulons des précisions sur le financement(...)

Pour Bordeaux-Toulouse,c’est 40 millions d’€, pour Bordeaux-Tours c’est 34. Réactualisée, la somme atteint 90 millionsd’€ pour le seul conseil général. L’impact de la LGV, c’est quatre à cinq

millions d’€ pendant 40 ou 50 ans certes, mais c’est 1% du budget. Je n’ai pas manqué de rappeler aux associations que le désengagement de l’Etat en matière sociale, c’est 40 millions d’€, 10% du budget. Je partage un point avec eux :ce que nous impose l’Etat est scandaleux.

«Au-delà des finances ,la LGV est aussi un enjeu politique avant les cantonales?

«Certains veulent en faire un enjeu électoral. Mais je rappelle que majorité et opposition sont favorables à la ligne à grande vitesse, le dernier vote en atteste. J’ai dit aux associations qu’elles étaient légitimes pour les riverains, la protection de l’environnement. Mais pas question de politiser. C’est un débat de fond. Je ne ferme pas la porte. J’ai des convictions, pas de certitude.»

Alain Rousset, président de la Région a dit son penchant pourune gare LGV en centre-ville d’Agen. Quelle est votre position ?

«La CAA et lacommunauté de Laplume en Bruilhois réflechissent depuis vingt ans à leurs priorités de développement. De quel droit irions-nous à l’encontre des choix de ces élus ? La gare en centre-ville reste toutefois réalisable mais il faut une volonté politique et nous ferons pas n’importe quoi en matière d’aménagements des infrastructures (il cite le 3e pont sur la Garonne, ndlr) et de financements. Les dérives financières, ça suffit.» La Dépêche du 081110

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7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 20:07

Bea-et-ses-2-Filles-8320.JPGVous trouverez ci dessous les photos des travaux effectués chez Béa et ses filles, les fées du pinceau en action ...

 

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6 novembre 2010 6 06 /11 /novembre /2010 20:46

Bea-et-ses-2-Filles-8190.JPGCi dessous les photos des travaux du 06 novembre 2010 : Les fées du pinceau en action .......... Bientôt tous les commentaires de cette journée placée sous le signe du pinceau !

 

 

 

 

 

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5 novembre 2010 5 05 /11 /novembre /2010 09:20

 Petit-Journal-Toulousain-du-05-au-11-novembre-2010.jpg

Vous trouverez aujourd'hui dans la presse locale des articles à lire sans modération :

- France 3 sur le chantier

- Du béton, une chape et une volonté à toute épreuve

- Dans les coulisses de France 3

- Un généreux donateur

- LGV : levée de bouclier du monde agricole ...

- UMP 31 : Projet pour une circonscription actrice ...

- Les adhérents de l'UMP ne veulent pas un retour au passé

- etc

 

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5 novembre 2010 5 05 /11 /novembre /2010 06:05

TGV_333.jpg"L'annonce par RFF des hypothèses de tracés de la LGV en Tarn-et-Garonne irrite les élus concernés qui ne retrouvent pas trace de leurs propositions. Ils le disent haut et fort.

Aprés la diffusion publique par Réseau Ferré de France (RFF) des hypothèses de tracés de la future LGV, et les jugeant «inacceptables» Michel Weill, maire de Montbeton et Denis Lopez, maire de Lacourt Saint Pierre ont organisé une réunion publique pour les présenter à la population des deux communes. Réunion à laquelle s'est jointe la députée Sylvia Pinel, ainsi que les maire de Bressols (Jean-Louis Ibres), et Pompignan (Alain Belloc), ce dernier étant président de l'association des «territoires du Tarn et Garonne traversés par la LGV ».

Devant une nombreuse assistance, Michel Weill et Denis Lopez ont précisé que « ce tracé n'est pas définitif mais qu'il ne sera jamais accepté, en cet état, par les élus et la population des deux communes ». Ils reprochent à ce trace de ne pas représenter la demande évoquée il y a quelques semaines, à savoir un tracé « en tranchée enterrée » plus au sud du fuseau. A contrario, le projet proposé par RFF est un remblai au nord du fuseau impactant, de surcroit, un nombre important d'habitations.

Avec le soutien du conseil général

Dans son intervention, Sylvia Pinel a confirmé le soutien du conseil général, et de son président Jean Michel Baylet qui ont fait appel de cette décision dans la mesure où le tracé présenté ne « respecte pas les décisions ministérielles de Jean Louis Borloo et l'attente des élus», souhaitant une nouvelle étude du projet.

Sylvia Pinel rappela également que le tracé pouvait évoluer jusqu'à l'été prochain. « Il est important que les élus parlent d'une même voix , il reste encore du temps pour se faire entendre et nous devons continuer à défendre les intérêts de tous les habitants de Montbeton, de Lacourt Saint Pierre mais également de tous les habitants du Tarn et Garonne impactés par la LGV ».

Les diverses questions de l'assistance démontrèrent la mobilisation des personnes concernées à ce jour mais aussi de celles qui pourraient l'être à l'occasion d'un nouveau tracé." La Dépêche du Midi du 051110

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4 novembre 2010 4 04 /11 /novembre /2010 10:47

P180610_18.380003.JPGLevée de bouclier du monde agricole contre les tracés proposés dans le fuseau D …

RFF a présenté 2 tracés LGV contenus dans le fuseau D ainsi que le nouveau fuseau alternatif USV actuellement en  début d’étude. Au vu de la présentation des tracés dans le fuseau D, le monde agricole s’est unanimement et totalement  opposé à ces tracés « D ». Diane Germain, directeur commercial des vignes AOC de Château Bellevue La Forêt, est en   « désaccord avec les tracés contenus dans le fuseau D et attend avec impatience les tracés du fuseau alternatif USV ».

TGV 165Pour François Andorno, des Jeunes Agriculteurs, les tracés dans le fuseau D détruisent une des terres les plus fertiles de  la Garonne, c’est la remise en question complète de notre exploitation ». Roger Rey, arboriculteur, s’ « oppose  également aux tracés proposés dans le fuseau D. Il faut longer l’autoroute comme la dans proposition alternative USV ». jean claude labit-01Jean Claude Labit, céréalier, dans le trait d’union paysan, se dit « pour la LGV » et propose « de suivre  l’autoroute pour concentrer les nuisances ». Jean Soumeillan, agriculteur et éleveur, est « scandalisé : avec le fuseau D  de  LGV et la future RD 929, c’est la mort annoncée de l’agriculture dans cette partie pourtant si fertile de notre plaine  de la Garonne ». … et attente des tracés proche de l’autoroute dans le fuseau alternatif USV demandé par Jean  Louis Borloo. Pour la chambre d’agriculture de la Haute Garonne « Il nous semble opportun d’attendre les conclusions  de l’étude du tracé le long de l’autoroute A62 annoncés par le Ministre ». Pour Thierry Fourcassier, porte parole du  Collectif Régional « Union pour la Sauvegarde des Villages » zone sud, « Le monde agricole porte tous ses espoirs sur  la proposition du collectif. Leur attente est insoutenable. Pour eux, c’est la double peine : la LGV dans la proposition D  impacte leur habitation et leur lieu de travail. Il faut maintenant laisser un peu de temps à RFF pour étudier le fuseau  USV.» Pour Yvette Bort-Boucher, du Conseil d’Administration du collectif USV, « D’ici le début de l’année 2011,  RFF sera en capacité de proposer des tracés proches de l’autoroute. Après seulement, les décisions seront prises. Nous  suivrons pas à pas toutes les étapes des études comparatives qui vont être réalisées. »

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