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4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 10:00
carte_risque_innondation.jpg"Malgré les digues qui enchâssent le fleuve, a Haute-Garonne est loin d'être à l'abri d'une nouvelle crue dévastatrice comme celle de 1875.

1 400 maisons détruites, 200 morts. Comme dans le sud de la Vendée et le nord des Charentes Maritimes au cours du week-end dernier, Toulouse a payé un lourd tribut aux inondations lors de la crue qualifiée depuis de centennale de juin 1875. Cette brutale montée des eaux dont tous les spécialistes s'accordent pour affirmer qu'elle se reproduira un jour ou l'autre avec au moins la même intensité, est devenue la référence absolue en matière de prévention des crues dans un département où 467 des 589 communes sont concernées par un risque d'inondation. Mais toutes ces communes ne vivent pas sous la même menace. La carte des plans de prévention des risques (PPR) isole les 251 communes de la vallée de la Garonne, du secteur montagneux et du bassin du Tarn où le risque d'une brutale montée des eaux est majeur, du reste du département où le danger est plus modéré. Axe névralgique, la Garonne lorsqu'elle quitte les Pyrénées devient un faux fleuve tranquille. À mi-chemin entre l'Ouvèze méditerranéenne qui a submergé Vaison-la-Romaine dans le Vaucluse en quelques heures en 1992, et la Seine qui grimpe paresseusement à l'assaut des quais de Paris au rythme de 20 cm par 24 heures, la Garonne, lorsqu'elle est en colère, peut monter de 30 cm par heure. Que se passera-t'il lorsque la folie de juin 1875 se reproduira ?

Risque en amont

A Toulouse, où le fleuve a été endigué, la catastrophe pourrait être atténuée. Mais en amont et en aval de la ville le risque reste entier. « Lorsque nous élaborons un PPR, nous tenons compte des nouveaux aménagements de protection qui ont été mis en place », précise Pascal Sauvagnac, chef du service risques et gestion de crises à la direction départementale des territoires. La Haute-Garonne compte actuellement 102 plans de prévention des risques inondation approuvés. Et 67 autres sont en cours d'élaboration. Ces PPR dits prescrits concernent le Touch aval avec notamment les communes de Plaisance, Tournefeuille et Fonsorbe. La Garonne moyenne autour du Muret, l'Hers amont, dans le secteur de Villefranche de Rouergue, l'Hers moyen avec les communes de Baziège et Castanet, l'Ariège Hers vif à proximité de Auterive et Toulouse. Pour le moment, la Ville rose n'est protégée que par un plan dit de surface submersible qui oblige à consulter le préfet avant toute délivrance d'un permis de construire en zone inondable. Le PPR proprement dit devrait quant à lui être soumis à enquête publique début juin.

À Toulouse, les digues sont en mauvais état

Toulouse est-elle protégée en cas d'inondations ? A cette question, Jean-Pierre Havrin, adjoint au maire en charge de la sécurité civile et des risques majeurs, répond oui sans hésiter. « C'est un souci majeur. Nous avons un ensemble de plans très élaborés », explique ce dernier en faisant référence au plan communal de sauvegarde (PCS), document rendu obligatoire par la loi depuis août 2004 et qui organise les moyens mis en œuvre par la Ville en cas de crise (climatique, sanitaire, technologique, météorologique...).

A Toulouse, le PCS, remis à jour chaque année, s'appuie, pour le volet inondations, sur les données recueillies après la crue historique de la Garonne de 1875. « Rien ne dit que ça n'arrivera plus. Il faut laisser la place au doute et surtout garder la mémoire, celle des anciens et celle, plus technique, de la hauteur des crues », explique-t-on à la Direction de la sécurité civile et des risques majeurs qui travaille actuellement à la mise en place de repères de crue sur les bâtiments toulousains. « Ce repère permettrait d'informer et de faire perdurer la mémoire. L'oubli du passé a peut-être joué son rôle dans les événements dramatiques de Vendée. Ce qui est important, c'est d'informer la population. »

Digues au point mort

Pour compléter ce souci pédagogique, le Dicrim (document d'information communal sur les risques majeurs) doit pouvoir être consulté par tous les Toulousains.

Le PCS, version inondations,intègre un scénario intra digues et extra digues, c'est-à-dire si ces dernières venaient à céder. Or, sur la question de l'entretien et du renforcement éventuel de ces ouvrages, difficile de savoir où on en est. L'année dernière, à la même époque, le conseil municipal avait interpellé l'Etat sur le financement du renforcement des digues. Le préfet, Dominique Bur, avait alors répondu que si les digues qui protègent Toulouse avaient été construites par l'Etat dans les années cinquante et soixante-dix, l'Etat considérait qu'elles relevaient désormais de l'urbanisme communal. Le préfet avait ajouté qu'il y avait urgence à engager des travaux -estimés à sept millions.

Ce dossier, de la compétence du Grand Toulouse, serait toujours à l'état de discussions entre la préfecture et la mairie de Toulouse. Des inventaires sur l'état des constructions et des travaux à y effectuer seraient en cours.

E.R.


« L'eau est montée jusqu'à emporter le lit »

La crue du 4 février 2003 est encore dans les esprits des riverains du Touch à Tournefeuille. Cette nuit-là, le cours d'eau était sorti de son lit pour pénétrer certaines habitations et chasser des habitants déconcertés. Marie-Claude, propriétaire rue des Hêtres se souvient : « Vers 2 heures ou 3 heures du matin, on a vu l'eau monter des deux côtés de la rue. On est vite allé prévenir les voisins. Chez certains, l'eau est montée jusqu'à emporter le lit. Ce n'était pas notre première inondation mais bien la plus impressionnante. » Depuis, elle attend que les digues promises soient enfin construites. « Mais j'ai l'impression que le projet est tombé à l'eau, sourit-elle. On n'en parle plus et rien n'est fait. »

Une première enquête publique avait été lancée en mai 2006 sans aucun résultat, le commissaire enquêteur n'ayant pas rendu d'avis. La seconde enquête d'utilité publique et enquête parcellaire réalisée mi-2008, avait fait l'objet, le 8 décembre 2008, d'un avis défavorable tant sur la déclaration d'utilité publique que sur l'emprise des ouvrages projetés. Début 2009, au cours d'un conseil municipal, le maire, Claude Raynal avait tenu à « confirmer l'intérêt général de l'opération et confirmer la volonté de la commune de réaliser cette opération ».

Et de souligner que l'endiguement « a pour objectif de protéger les biens et les personnes d'une crue de fréquence centennale dans les secteurs urbanisés de la commune en aval de la RD 63. » Face à la complexité administrative, le maire s'est d'ailleurs agacé : « C'est le dossier le plus épouvantable que j'ai à gérer tant il paraît compliqué de protéger les habitants. »

670 logements soit plus de 1 200 habitants sont concernés par le projet d'endiguement. En attendant les travaux, un service spécialisé sur les berges est en alerte permanente notamment lors des périodes à risques tel que la fonte des neiges, d'avril à juin ou les nombreux orages d'été.

 

C.L.


La crue centennale

« Une crue centennale à toutes les chances de se reproduire, voire d'être dépassée. » Pour Pascal Sauvagnac, chef du service risques et gestion des crises à la direction départementale des territoires, la crue centennale de 1875 se reproduira un jour, mais personne ne sait exactement quand. Seule indication : en 1875, de mémoire de Toulousain, on n'avait pas vue une telle montée des eaux de la Garonne depuis 300 ou 500 ans.


Zoom

De la crue de 1875 aux débordements de l'an 2000

À Toulouse la crue de 1875 est la crue de référence. Elle s'est étendue essentiellement sur la rive gauche dans le quartier St Cyprien détruisant sur son passage 1400 maisons et tuant 200 personnes. L'eau est montée de 8,32 mètres. Mais la crue frappe durement l'ensemble de la vallée de la Garonne et les agglomérations situées sur les berges de ses affluents. Le village de Valentine, près de Saint-Gaudens, est sous l'eau. Le Salat, a défoncé le chemin de fer de Saint Girons. Toute la plaine de Muret est inondée. À Cazères, on ne circule dans la ville basse qu'en bateaux, et le sauvetage s'opère par les fenêtres des maisons. À Carbonne, l'eau s'élève à 4 mètres 40 au-dessus de l'étiage et à Foix, l'Ariège monte à 2,70 m au-dessus de son niveau d'étiage.

Les 3 et 4 mars 1930, c'est au tour du Tarn de sortir de son lit. A Saint-Sulpice la crue atteint 21,5 m. Elle fait 200 mort, détruit 3 000 maison et endommagé 9 ponts.

À titre de comparaison, les deux crues récentes de 1977 et 2000 avaient à peine la moitié de la puissance de la grande crue de 1875." La Dépêche du Midi du 040310

Castelnau : Les Plans de Prévention des Risques Naturels (PPRN)

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4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 07:51

Brigitte-Bareges-a-Fronton 6408"Tout est possible ! Les élections régionales à deux tours avec au deuxième tour, le maintien possible des listes ayant fait plus de 10%, peuvent réserver des surprises ! L’Europe Ecologique et le Front de Gauche, tapent sur le PS. Ils tapent davantage sur Nicolas Sarkozy alors que c’est Brigitte Barèges qui conduit la liste UMP en région Midi Pyrénées. Ils sont ignobles dans leurs propos. Ils ne pensent pas aux électeurs et ils sont prêts à tout pour sauver leurs sièges. En 1998, Marc Censi, malgré un bilan remarquable et après avoir refusé la voix du Docteur Serbera du FN, cède sa place à Martin Malvy, qui lui n’a pas hésité à accepter les 2 voix de l’extrême gauche. Le président de région avait toutes les cartes en main pour tirer Midi Pyrénées vers l’excellence. Au lieu de cela, la région est dans le milieu du peloton parce que l’état l’a empêché d’aller de l’avant. C’est toujours de la faute des autres ! Alors pas de vague, pas de grand projet qui dérange pourtant indispensable, expédition des affaires courantes, beaucoup de publicité poussée jusqu’à la propagande, aidé par le grand journal local, … que de la poudre aux yeux. Ne vous laissez pas berner. Réveillez vous ! Il faut sanctionner 12 ans d’immobilisme. Comment peut-on encore voter pour des politiques qui n’ont rien fait :

-        très peu de TER à l’heure

-        une rocade saturée en permanence

-        un tracé du TGV repoussé

-        9 lycées construits en 12 ans

-        etc.

On refuse l’aéroport, le doublement de la rocade, … des projets qui auraient pu apporter 20 ans de travail pour nos enfants. De plus, on nous explique qu’il faut sauver MOLEX qui dépend pourtant de fonds Américains. On ne sauve rien du tout ! Par contre, on crée un emploi en CDD pour 4 ans à 2000 euros par mois pour un des salariés qui a su crier plus fort que les autres et qui sera en position éligible sur la liste de Martin Malvy. On ne pense pas aux 250 salariès de Molex qui galèrent tous les jours à la recherche d’un emploi. Malgré tout cela les impôts continuent d’augmenter (+ 30%). Le bilan, c’est que le président de région n’a rien fait en 12 ans et il nous présente aujourd’hui à grand renfort de publicité 45 nouvelles mesures. On peut dormir tranquille, nos enfants iront pointer à l’ANPE, toucheront des prestations sociales sans bien sur aucun avenir dans la région. Aujourd’hui, vous devez osez avec Brigitte Barèges et sa nouvelle équipe rajeunie et compétente pour une véritable politique économique régionale en faveur de l’emploi et de la formation, une politique ambitieuse des transports, pour votre sécurité et celle de vos enfants, pour une fiscalité maîtrisée, … La France change, notre région doit changer aussi." Le Petit Journal du 260210   

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4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 07:42

thierry faye« Je pense qu'il est tant qu’une personne comme Brigitte Barèges, projette ses idées sur l’avenir de notre région avec autant de force que sont les siennes. Autant de bonnes idées pour le développement de Midi-Pyrénées qui nous permettent aujourd’hui de nous demander : « mais qui nous a endormi jusqu’à présent » ? C’est vrai que de ne rien faire risque de moins choquer les gens ou de faire des mécontents… Alors pourquoi, trois tracés pour la ligne LGV ont fait leur apparition juste avant les élections Régionales et en ne tenant pas du tout compte de la population, du relief, des bâtiments historiques (château de Pompignan et son parc à fabriques) de la perte de valeur des biens immobiliers,… ? Pourquoi devons nous maintenant attendre que les élections Régionales soient passées pour avoir la décision finale du tracé de la LGV ? Depuis des années les élus savaient qu’un jour viendrait le TGV et justement, une ligne LGV serait construite alors, encore une fois, pourquoi  ne pas avoir fait une réserve foncière pour ce tracé afin que la population ne soit pas pénalisée ? Que doit-on penser des élus qui ne sont pas capables de se projeter dans l’avenir ? J’ai vraiment l’impression qu’une grande  majorité d’entre eux ne font que nous faire croire au miroir aux alouettes ! Les beaux discours avec de belles paroles et les grands sourires en forme de Banane font que nos impôts augmentent considérablement et qu’avons-nous en retour qui pourrait justifier de telles hausses ? Bientôt nous aurons un choix à faire pour les Régionales et j’espère de tout cœur, qu’une grande majorité d’entre vous, lèvera suffisamment la tête pour avoir une vision sur l’avenir. Arrêtons et changeons cette politique en place dans notre région comme dans nos  communes. Une politique qui stagne et nous endort, une politique qui ne nous permettra jamais de nous donner  une vision concrète, positive sur un avenir proche. Ne surtout pas se dire « c’est comme çà » car il nous faut  maintenant préparer tous ensemble l’avenir de notre région. Nous avons dans cette région une majorité d’élus de  gauche, qui a commencé à faire croire aux gens, lors des vœux de la nouvelle année, que suite à la nouvelle  réforme, la taxe professionnel allait disparaître et ne permettrait plus aux maires une bonne gestion de leurs communes. Il faut cesser de répandre ces mensonges. L’Etat compensera à l’euro près la perte de recette liée à  la suppression de la taxe professionnelle pour les collectivités territoriales. Le Conseil Général profite donc  de la réforme territoriale pour prendre des mesures politiques et baisser de manière drastique (-15%) les  subventions accordées aux associations, en pleine période de crise économique, alors qu’il touchera les mêmes  recettes en 2010 voire même plus. Le choix de baisser les aides apportées aux associations est peut-être lié au  coût de la vaste campagne de communication menée par le Conseil Général dans le département contre la  réforme. On peut effectivement comprendre que certains aient peur de perdre leur mandat, qui leur permet  d’exister localement. Quand est-il du bilan de notre région concernant la fiscalité ? Beaucoup d’entre nous ont  une réponse en tête mais n’ont toujours pas le sourie aux lèvres. Quand est-il du bilan sur la sécurité ? Pourquoi  nous sentons nous de plus en plus souvent sur la défensive dans notre pays de liberté ? Quand est-il du bilan sur  l’emploi ? Qui doit-on remercier d’avoir soutenu les salariés de Molex, d’avoir embauché son représentant  syndical et d’avoir laissé sur « la paille » plus de deux cent salariés ? Qui est président d’une multitude  d’associations et depuis avril 1998, Président du Conseil régional Midi-Pyrénées ? Doit-on penser qu’il serait possible qu’après une éventuelle élection de ce dernier, son vis président prenne le relais après la démission du Président ? J’ai déjà eu l’occasion dans le passé de voir ce genre d’arrangement… Merci Martin Malvy. Il est tant de passer la main !  Avons-nous été abusés ? Que sommes-nous aux yeux de nos élus ? J’ai la chance d’avoir des amis agriculteurs et je resterai toujours avec eux et si besoin est, je les aiderais car ils font parti de ma vie et ils sont la première ressource vitale de la région. Prenez conscience de ce qui est ! Arrêtons de perdre du temps, pour mieux vivre ici, pour nous et nos enfants. Brigitte Barèges est la force de l’avenir pour notre région, elle va faire avancer les choses pour aider un maximum de Midi-Pyrénéens. » Thierry Faye " Le Petit Journal du 260210

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4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 07:37

P2200123-copie-1.jpg"Nouvelle démonstration de force : Après une marche symbolique à la frontière entre la Haute Garonne et le Tarn et Garonne sur la route départementale à Pompignan, après la descente en rappel sur la tour des locaux de RFF à Toulouse, la troisième manifestation du collectif Union pour la Sauvegarde des Villages s’est déroulée à Bénis ce samedi 20 février. Plus de 15 élus représentaient leur ville ou leur canton, et les associations regroupaient plus de 45 communes de Haute Garonne et du Tarn et Garonne. On pouvait distinguer deux catégories de revendications, l’une demandant un tracé au plus près de l’autoroute côté nord de la Haute-Garonne et côté sud du Tarn et Garonne et l’autre une remise en question de la nécessité du TGV dans le centre et le nord du Tarn et Garonne. Le collectif régional Union pour la Sauvegarde des Villages et le collectif Tarn Garonnais du Val de Garonne Lomagne sont totalement solidaires l’un de l’autre, la présence des 1200 manifestants résumant fort bien cette entente. Une délégation a été reçue à la sous préfecture. Les représentants des associations ont dénoncé le manque de concertation et demandent une étude contradictoire indépendante.

La LGV s’impose dans les régionales : Une lettre ouverte contenant 5 questions avec réponse fermée sur le sujet de la LGV va être envoyée aux candidats et soutiens des candidats aux élections régionales. Les réponses seront publiées après un entretien avec les candidats avant le premier tour. Le collectif, fort du mouvement citoyen des électeurs, compte peser de tout son poids dans la campagne électorale.

Europe Ecologique – Majorité Présidentielle – Modem : Peut-être un terrain d’entente sur la LGV pour le bien public et au delà des divergences politiques ? Mr Lafon maire de Castanet tête de liste du MODEM, Mme Barèges députée maire de Montauban tête de liste de la Majorité Présidentielle, Mr Onesta tête de liste d’Europe Ecologie, sont favorables à un tracé au plus près de l’autoroute conformément au compte rendu du débat public de 2005 car impactant moins d’habitations. Le front de Gauche, ouvert au dialogue, indiquera aussi sa position. Quant à la liste PS-PRG elle refuse de prendre partie.

Le mercredi 10 février, au Conseil Régional de Haute Garonne, par Mr Cujives porte parole de Mr Malvy sur ce sujet, la liste PS-PRG semblait finalement accepter un tracé dans le Frontonnais côté « Ouest », accolé au plus près de l’autoroute mais refusait paradoxalement de signer la pétition pour élus rédigée par le collectif Union pour la Sauvegarde des Villages. Nouvel entretien le mercredi 24 février avec le collectif, mais pas de position franche qui en ressorte pour autant. Mr Cujives assume au contraire être à l’origine de la demande d’étude côté Ouest, vers Grisolles. Du point de vue du collectif, il est difficile de comprendre pourquoi Mr Cujives a demandé à RFF un tracé de LGV dans une zone inondable, au mépris de l’environnement de la plaine de la Garonne, au mépris des céréaliers et des habitants non consultés. Par ailleurs, le collectif a demandé à Mr Cujives que le Conseil Régional, partenaire financier des études et du projet de LGV, mandate RFF pour la réalisation d’une étude de faisabilité au plus près de l’autoroute. En effet, Mr Castan, responsable de RFF lors d’un entretien le mercredi18 février a indiqué être tributaire de  l’aval des élus ou des préfets pour pouvoir réaliser l’étude du collectif. C’est aussi la raison pour laquelle des élus locaux, dont Mr Belloc maire de Pompignan, sont intervenus ce mardi 23 février auprès de Mr Bussereau secrétaire d’état aux transports pour appuyer la demande du collectif. A ce sujet, Mr Bussereau a accepté une étude d’un tracé au plus près de l’autoroute. Quant à Mme la députée Pinel du Tarn et Garonne, pourtant présente lors de la manifestation de Pompignan, elle a refusé de signer le mercredi 17 février la pétition pour élus rédigée par le collectif. Pourtant, 3 jours après, il semblait, d’après son discours lors de la manifestation à Benis le samedi 20 février, que Mme Pinel se ralliait à la demande du collectif Union pour la Sauvegarde des Villages en demandant un tracé impactant le moins les populations. C’est ce double langage de certains politiques et leur manque de courage que le collectif souhaite dorénavant dénoncer publiquement. Il lui semble dès à présent inutile d’accueillir dans son cortège de manifestations des politiques plus préoccupés par les caméras que par les demandes des manifestants. " Le Petit Journal du 260210

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3 mars 2010 3 03 /03 /mars /2010 08:32

brigitte barège 09« La transparence pour tous les candidats »

« En participant dès 1992 avec l’ex-juge Thierry Jean-Pierre à la fondation de l’association Forum Démocratie Justice, la transparence a été la raison première de mon engagement en politique. Ce principe suppose en particulier que nos concitoyens aient le droit de connaître la situation patrimoniale de leurs élus.

Pour ma part, parce que je n’ai rien à cacher et que je considère qu’il s’agit là d’une obligation morale, j’ai été amené à publier mes revenus à l’occasion de chacune des élections où j’ai été candidate, municipales et législatives.

De la même manière, pour cette campagne électorale, chacun pourra consulter sur mon site Internet l’état de mes revenus.

Dans le même souci de transparence, je demande que tous les candidats aux élections régionales en Midi-Pyrénées acceptent de publier leurs revenus.

Il est temps de faire de la politique autrement en Midi-Pyrénées. Cet exercice démocratique y participe. » Brigitte Barèges

Permanence : 54 bis rue Alsace-Lorraine, 31000 Toulouse - Tél : 05 62 27 15 04

Accueil de 10h à 19h, tous les jours sauf le dimanche.

Site Internet : www.brigittebareges2010.fr - e-mail : contact@brigittebareges2010.fr

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3 mars 2010 3 03 /03 /mars /2010 06:53
brigitte-barege-25.jpgLe 02 mars 2010, Brigitte Barèges était l'invitée du Comptoir de L'info sur Télé Toulouse.


Le Comptoir de l info P2 -02_mar_2010
par teletoulouse
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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 08:43
Dominique Baudis : Un soutien sans faille à Brigitte Barèges
Lire le Petit Journal du 01 mars 2010
petit journal du 010310
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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 12:02

brigitte-barege-24.jpgCliquez sur l'affiche pour visionner le journal de campagne

Osons Midi Pyrénées, La France Change, Midi Pyrénées doit changer aussi.
Il faut faire décoller notre Région : "Notre Région s’est endormie depuis 12 ans sur les acquis de la gestion tracée par les Présidents précédents Dominique Baudis et Marc Censi. Il est temps de faire décoller notre Région. Pour nous, le A  de l’Alternance doit se décliner en « Anticipation », « Ambition » et « Action » : Anticipation qui aurait dû régler depuis longtemps les problèmes d’aujourd’hui : irrigation et gestion de l’eau, ligne à grande vitesse (LGV) et  désenclavement routier… Ambition qui a manqué pour relever tous nos défis économiques, environnementaux et  européens. Action tellement absente face à cette crise mondiale qui touche aussi notre Région. La Région, avec ses 1,3 milliards de budget, ne doit pas être un « bouclier » mais un « levier » des politiques de l’Etat. Notre Région doit  également décliner le E d’Equité. C’est ensemble que nous relèverons le défi de la modernité et du bien vivre, de notre  terre d’Occitanie qui fut, avant tout autre, celle de l’humanisme. Avec la seule ambition : celle de vous servir vous les 3  millions d’habitants de Midi-Pyrénées." Brigitte Barèges

 

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 10:19
Pompignan

Mr Bussereau a reçu mardi 23 février une délégation d’élus de Midi Pyrénées  menée par le sénateur Collin au sujet du tracé de la LGV. Mr Belloc, maire de Pompignan et membre d’honneur  du collectif Union Pour La sauvegarde Des Villages, a demandé au nom  des élus et des associations une extension du périmètre d’étude de ce tracé pour permettre un raccord de la LGV sur le réseau existant au nord de Lespinasse et non au nord de Saint-Jory. Cette solution permettrait un tracé de la LGV le long de l’autoroute comme le mentionne le compte rendu du débat public de 2005. Mr Lopez, le maire de Lacourt Saint Pierre a également appuyé la demande des associations concernant la protection de sa commune pour un tracé jumelé à l’autoroute, côté ouest, le long de forêt de Montech. Le sénateur Collin va également intervenir auprès de Mr Boorlo Ministre de l’Environnement et du développement Durable. Mr Bussereau, déjà au courant du dossier, très attentif, a souhaité trouver une solution impactant le moins d’habitations et fera le nécessaire dans ce sens. Mr Belloc s’estime satisfait du bon déroulement de l’entretien. Le collectif Union Pour La Sauvegarde Des Villages attend maintenant que RFF étudie enfin sérieusement et objectivement ce tracé. La gronde des habitants s’amplifie sérieusement au fur à mesure des manifestations, il est temps qu’on les entende.

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 09:47
Fronton-280210 6583Le dimanche 28 février 2010, Brigitte Barèges a participé à la Grande Messe de la Commanderie des Maîtres Vignerons du Frontonnais à Fronton.

 

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