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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 11:06

TGV 726Comparaison des hypothèses de tracé de Labastide-Saint-Pierre à Saint-Jory

1. PREAMBULE

Le dossier présente la comparaison multi-domaines des hypothèses de tracés envisagées sur le secteur L, de la commune de Labastide St Pierre à la commune de Saint-Jory.

Ce document comprend :

· l’argumentaire permettant de définir les hypothèses de tracés à l’intérieur du secteur d’études,

· une présentation des enjeux du territoire,

· une présentation des hypothèses de tracé,

· la comparaison multi-domaines,

· une proposition d’hypothèse de tracé à approfondir issue de cette analyse comparative.

 

2. DE LA COMMUNE DE LABASTIDE ST PIERRE A LA COMMUNE DE SAINT-JORY

2.1. Généralités

Du nord au sud, ce secteur concerne les territoires communaux de Labastide St Pierre, Montbartier,

Campsas, Fabas, Canals, Fronton, Grisolles, Pompignan, St-Rustice, Castelnau d’Estrétefonds,

Grenade et Saint-Jory.

Ce secteur s’inscrit dans le contexte administratif suivant :

· Département du Tarn-et-Garonne ;

· Département de la Haute-Garonne ;

· Communauté de communes du Territoire de Grisolles et Villebrumier ;

· Communauté de communes de Save et Garonne ;

· Communauté de communes Hers et Garonne ;

· Communauté Urbaine du Grand Toulouse

La conception des hypothèses de tracés prend en considération :

· les enjeux environnementaux identifiés sur les territoires desservis par le fuseau du GPSO approuvé par le ministre le 27 septembre 2010,

· les services ferroviaires associés aux lignes nouvelles (dessertes, temps de parcours, etc.),

· les caractéristiques techniques du projet ferroviaire,

· une dimension économique (grands postes de l’estimation de coût de chaque hypothèse).

Lire la suite

 

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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 07:34

Quand ?
du lundi 9 au samedi 21 mai 2011
sur le site internet du GPSO - www.gpso.fr
et dans les mairies, collectivités et chez les partenaires ayant accepté d’accueillir l’opération

Sur quel sujet porte-t-il ?
Réseau Ferré de France a réalisé une étude comparative des différentes hypothèses de tracé et préconise d’en retenir une. L’objectif de ce 3ème temps de consultation est de recueillir l’avis du public sur cette préconisation. Réseau Ferré de France prendra en considération ces avis ainsi que les avis formulés par les collectivités locales et les acteurs de la concertation pour proposer au comité de pilotage l’hypothèse du tracé à retenir.

Comment donner votre avis ?
Le public peut participer à la consultation sous deux formes :

Par écrit
En remplissant un bulletin-réponse ou sur papier libre et en le renvoyant à Réseau Ferré de France dans l’enveloppe fournie à cet effet ou sur enveloppe libre à l’adresse suivante :

Réseau Ferré de France
LIBRE REPONSE 14370 - 33098 BORDEAUX CEDEX

Ce dispositif de consultation est disponible dans les mairies concernées par le fuseau, les collectivités et chez les partenaires qui ont accepté d’accueillir la consultation.

Par Internet
Vous pouvez également donner votre avis sur le site Internet www.gpso.fr, rubrique « Consultation du public » accessible dès la page d’accueil.



Préserver la biodiversité : un enjeu majeur pour la LGV Sud Europe Atlantique

A la veille du démarrage du chantier de déboisement, la Direction de projet LGV Sud Europe Atlantique a présenté à la DIREN et aux associations les mesures mises en œuvre pour protéger la cistude, une tortue sauvage endémique du Sud-Ouest. Rendez-vous était donné à Montguyon (Charente Maritime), au bord d’un étang situé sur le tracé de la future LGV, où des filets ont été installés pour éviter que la cistude ne pénètre dans l’emprise du chantier au moment du passage des engins. Corinne Roecklin, responsable des études et procédures à la direction de projet SEA, précise : « Nous allons ensuite creuser pour agrandir l’étang, favoriser la migration des tortues vers cet espace naturel recréé, avant de combler la partie de l’étang qui se trouve sous le tracé de la LGV ».

A quelques kilomètres de Montguyon, à Clérac, c’est une autre espèce protégée, le fadet des laîches qui a nécessité le repositionnement de la future base travaux sud de la LGV, afin de préserver plusieurs dizaines d’hectares de milieu favorable à ce papillon.

Plus au sud, c’est pour le vison d’Europe qu’ont été préservées les berges des cours d’eau franchis par le tracé. Au nord, RFF s’est engagé à préserver un milieu propice à la reproduction d’un oiseau migrateur, l’outarde canepetière. L’ensemble de ces aménagements témoignent des efforts déployés par RFF pour préserver les espèces et les milieux protégés en développant des mesures compensatoires importantes. Pour les bois, la préoccupation est la même puisque pour 750 hectares déboisés pour les besoins du projet, ce ne sont pas moins de 1200 hectares qui seront reboisés, ce qui représente un million de plants d’arbres.


En savoir plus
Le Projet de LGV Sud Europe Atlantique
La cistude (Wikipedia)

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7 mai 2011 6 07 /05 /mai /2011 12:52
TGV_724.jpgLes entreprises locales misent sur le chantier de la LGV Tours-Bordeaux. Vinci, le concessionnaire, leur a donné le mode d'emploi : business is business.

Ç a sera le plus grand chantier d'Europe. 317 km de long et des milliards d'euros à la clef pour ceux qui y participeront. La ligne à grande vitesse Tours-Bordeaux fait forcément saliver les entreprises locales, qui pourront prétendre aux 20 % du montant total des travaux qui seront confiés à des sous-traitants. Pour en savoir plus, deux cents entrepreneurs de la Vienne ont participé cette semaine à une réunion d'information. Invités par les chambres consulaires, les cadres du groupe Vinci chargées du chantier, sous la casquette Lisea ou Cosea (*), ont expliqué à leurs (peut-être) futurs sous-traitants ce qu'ils attendent d'eux.

Celui qui utilisera du travail au noir sera banni du chantier

« Étant donné l'ampleur du chantier, on sera obligés de vous faire travailler, a assuré Sébastien Rivet, directeur des achats de Liséa. Travailler avec les entreprises locales fait partie de la politique de Vinci. » Mais pas n'importe comment. Le cahier des charges est très précis sur trois points : la sécurité, le respect de l'environnement et la lutte contre le travail clandestin. Pas question d'entrer sur le chantier avec un engin qui ne serait pas équipé d'un avertisseur de recul, par exemple.
« Nous serons impitoyables sur le travail au noir, a également prévenu Stéphane Brondino, directeur du projet pour Coséa. Si vous êtes pris avec de la main-d'oeuvre au noir, vous serez bannis du chantier. » En ce qui concerne l'environnement, une charte de développement durable est en cours de rédaction, qui fera loi pour les sous-traitants.

Ferme sur les prix

Vinci sera aussi très ferme sur les prix. « N'essayez pas de vous engraisser sur le dos du chantier, a indiqué Sébastien Rivet. On a déjà consulté des boîtes qui nous proposent des prix 20 % plus élevés que le marché. » A première vue, les cadres de Vinci ne sont pas tombés de la dernière averse. Et ils possèdent une arme de dissuasion massive : « Le chantier n'est pas assujetti au code des marchés publics. C'est un marché privé. On fera jouer la concurrence. »
A bon entendeur...

(*) Liséa regroupe les actionnaires du projet : Vinci (presque 80 %), la Caisse des dépôts et consignations (presque 20 %) et Axa (le reste). Coséa rassemble les entreprises qui vont réaliser le chantier, une quarantaine, dont une majorité de filiales du groupe Vinci. Un troisième acteur, Méséa, se chargera ensuite de l'exploitation et de la maintenance de la ligne pendant les 50 ans de la concession.

point chaud

Le chantier a du retard à l'allumage

Études de terrains, achats des parcelles et déboisement ont commencé, mais sans que le chantier soit officiellement démarré. Il devait officiellement être concédé à Vinci le 16 avril dernier. « Pour l'instant, Réseau Ferré de France ne nous a toujours pas passé commande », explique-t-on chez Vinci.
Ce qui coince, c'est le tour de table financier des collectivités locales. Il manque encore quelques millions d'euros, notamment ceux de la Région Poitou-Charentes, dont la proposition d'avance remboursable faite à l'État n'a pas reçu l'aval du gouvernement. D'autres collectivités ont fait savoir qu'elles ne paieraient rien du tout (en Indre-et-Loire et en Deux-Sèvres par exemple). En coulisse, on estime que le dossier devrait être débloqué dans les semaines qui viennent. Sinon, le TGV ne roulera pas en 2017 comme prévu.

le chiffre

900.000

C'est le nombre de tonnes de béton qui seront coulées entre Tours et Bordeaux sur le tracé de la LGV Sud-Europe-Atlantique.
« A quelques tonnes près », précise Stéphane Rivet, pince-sans-rire.

la phrase

« Après quatre ans de chantier, on s'en va. Attention à ne pas investir à outrance pour nous satisfaire à tout prix et vous retrouver le bec dans l'eau quelques mois plus tard avec des stocks ou un outil de production trop importants pour le marché local. »

Ce sage conseil aux entrepreneurs locaux a été délivré par Sébastien Rivet, le directeur des achats du chantier de la LGV.

repères

Le QG est opérationnel

Le quartier général de Coséa et Liséa a poussé en quelques mois, zone des Montgorges à Poitiers, en face de l'aéroport. « Un chantier bouclé sans un seul accident du travail », se félicite Stéphane Brondino. Plus de 300 personnes ont intégré les locaux des deux premiers bâtiments depuis le 7 mars. Un troisième module est en cours de construction. L'effectif atteindra 450 collaborateurs quand le chantier de la LGV sera officiellement en route.

à suivre

Une seconde réunion

Une prochaine réunion d'information pour les entreprises est organisée le mercredi 11 mai, à 17 h 45, à Scorbé-Clairvaux (salle polyvalente, 12 place Étienne-Chérade de Montbron).

La Nouvelle République

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7 mai 2011 6 07 /05 /mai /2011 12:14

TGV 150Les conseillers régionaux d’Europe Ecologie les Verts de Midi-Pyrénées dénoncent les propos du nouveau préfet de Région qui évoquait mercredi la possibilité de voir le projet ligne à grande vitesse repoussé à cause de la décision de certaines collectivités de ne pas financer le projet. Les élus appellent les collectivités à se mobiliser pour le financement du réaménagement des lignes existantes, entre Paris et Toulouse, via Bordeaux ou par le PALITO, le Paris-Limoges-Toulouse.

Brigitte Barèges a également réagi aux propos d'Henri-Michel Comet. La députée-maire UMP affirme que cette réaction de l’Etat était prévisible et «qu’il commence à se lasser de la perte de temps que font courir certaines collectivités au projet LGV». Brigitte Barèges regrette notamment que le conseil général du Tarn-et-Garonne refuse, pour le moment, de voter le projet de financement du tronçon Tours – Bordeaux et que son Président demande une concertation alors que, dit-elle, « il serait dramatique pour les habitants de Midi-Pyrénées de passer à côté d’un tel projet qui doperait l’économie».

Radio Totem

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7 mai 2011 6 07 /05 /mai /2011 07:23

TGV_723.jpgRéseau Ferré de France diffuse les premières images du tracé optimisé de la LGV, préalable à un 3e temps de consultation. "Sud Ouest" lève le voile en exclusivité sur un pan de la Gironde.

Réseau Ferré de France (RFF) va mettre en ligne dès ce lundi, sur le site internet des Grands projets du Sud Ouest (GPSO), de nombreux documents sur le tracé retenu pour le parcours de la future Ligne à Grande Vitesse (LGV), préalable à un troisième temps de consultation, qui doit se dérouler du 9 au 21 mai. Sud Ouest vous propose de consulter en avant-première quelques unes des images réalisées pour l'occasion, pour la traversée des Graves, en Gironde. GPSO a en outre réalisé des animations 3D. Nous vous en proposons un court extrait de quelques seconde, déroulé virtuel de la ligne entre Beautiran et Arbanats.

 

Le Sud Ouest

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7 mai 2011 6 07 /05 /mai /2011 07:04

TGV_722.jpgLe Conseil Economique des Nations Unis, via sa commission économique pour l’Europe, a analysé le développement des gares de triages à destination européenne. Malheureusement, les développements des gares de triage de Hourcade à Bordeaux et de Miramas à Marseille, deux villes avec axe européen, se sont réalisés au détriment de la gare de triage sur Lespinasse.

Le 29 avril 2004, le Parlement européen et le Conseil européen ont établi un Réseau TransEuropéen de Transport, dont 30 projets prioritaires à réaliser d’ici 2020 incluant 20 000 km de lignes à grande vitesse. Actuellement, 3 priorités avec axes internationaux se dégagent, dont la ligne Tours-Bordeaux-Dax-Irun-Madrid. L’axe transversal Bordeaux-Toulouse n’est pas prioritaire.

Localement, le manque de consensus des associations de riverains fragilise le projet d’autant que le coût de la LGV augmente d’une année à l’autre et que les élus refusent petit à petit de financer.

Les récentes déclarations du nouveau Préfet de région laissant supposer un passage de « ce projet au second plan, derrière d’autres dossiers de TGV » pourraient sonner le glas de ce tronçon.

En photo : Jean Paul Gauzes député européen, membre de la commission des affaires économiques et monétaires avec Thierry Fourcassier

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7 mai 2011 6 07 /05 /mai /2011 06:53

TGV 150« Si les collectivités locales s’obstinent à refuser de contribuer au financement de la future Ligne à Grande Vitesse, Toulouse ne sera jamais à 3 heures de TGV de Paris »

C’est en substance le constat fait par le Préfet de région Henri-Michel Comet avec, dans le viseur, l’incompréhensible refus des présidents de Conseils généraux de gauche d’apporter leur contribution à ce projet.

Déjà, à la fin de l’année dernière, face à un Martin Malvy pris en étau par sa majorité, ce sont les élus de l’opposition qui ont sauvé ce projet pour lui éviter la déroute programmée par une iconoclaste alliance entre les élus de l’extrême gauche, écologistes et radiaux de gauche.

Sans le soutien des élus de droite du Conseil régional, Martin Malvy aurait dû assumer l’échec du projet de la LGV Paris-Toulouse.

Aujourd’hui, c’est au tour des présidents de conseils généraux socialistes et radicaux de gauche de se faire prier pour qu’ils donnent les quelques millions d’euros (moins de 10%) sans lesquels le projet ne pourra pas voir le jour.

Les élus du groupe Osons Midi-Pyrénées (UMP et partis associés) dénoncent cette inacceptable prise en otage de la LGV.

Enlisés dans leurs calculs politiciens, ces présidents de conseils généraux sont en train de saboter un projet de 13 milliards d’euros qui va concerner pas seulement une dizaine de départements et 5 régions mais surtout des millions de personnes. Ils vont nous faire manquer un rendez-vous majeur avec notre histoire et les milliers d’emplois créés par la croissance économique attendue de l’arrivée de la LGV.

Comment expliquer par exemple l’attitude de Jean-Michel Baylet dont le département sera certainement un des grands bénéficiaires de l’arrivée de cette LGV grâce à laquelle Montauban se trouvera à moins de 3 heures de Paris et à une ½ heure de Bordeaux ?

Demain, l’irresponsabilité de certains élus ferait de Midi-Pyrénées la seule région de France à ne pas être desservie par une ligne à grande vitesse.

A l’heure d’une compétition mondiale entre les régions, leur attitude est irresponsable et coupable au regard des enjeux en terme de créations d’emplois, d’attractivité touristique et économique mais également de compétitivité de notre territoire, qui entourent l’arrivée de cette LGV.

 

Les élus du groupe Osons-Midi-Pyrénées

 

Par ailleurs, veuillez trouver ci-joint deux coupures de presse parues ce jour sur ce sujet :

- La Dépêche du Midi du 6 mai 2011

- Le Petit Journal du 6 mai 2011

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6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 12:33
L'Etat menace de privilégier une autre ligne à grande vitesse si la Région Poitou-Charentes ne co-finance pas le projet.

C'est le préfet de la Région Midi Pyrénées qui l'affirme : le gouvernement pourrait faire passer d'autres projets de ligne à grande vitesse avant celui du Sud-Ouest si le financement nécessaire pour la portion Tours-Bordeaux n'est pas rapidement bouclé. .

Une petite phrase qui vise notamment la Région Poitou-Charentes et sa présidente.

 Vidéo

 

Toutes les vidéos

 

 

Ségolène Royal vient en effet de redire son refus de cofinancer le projet.

Elle consent seulement à accorder un prêt à l'Etat de 95 millions d'euros; ce qui suscite des inquiétudes quant à la réalisation même du projet.


Hasard du calendrier, le président de la SNCF, Guillaume Pépy était à Poitiers ce jeudi pour inaugurer les aménagements d'inter-modalité de la gare.

Mais la LGV était dans tous les esprits.

 

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6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 10:00

TGV_721.jpgLe prefet de région a tenu des propos qui ressembles à un ultimatum pour le financement de la ligne à grande vitesse par les collectivités, dont certaines traînent les pieds. Les réactions n'ont pas tardé ! lire la suite dans le Petit Journal  du Tarn et Garonne du vendredi 06 mai 2011

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6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 07:10

TGV_720.jpgLa consultation du public est un moment important dans la vie du Grand Projet ferroviaire du Sud-ouest (GPSO). Elle permet à chacun de prendre connaissance des enjeux des deux lignes nouvelles  Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Espagne, et d’apporter des informations utiles pour la meilleure  conception et insertion du projet dans son environnement. Pour ce 3ème temps de consultation, votre contribution est primordiale. En effet, à l’issue de ce 3ème temps et de la concertation avec les acteurs locaux, le Comité de pilotage devra retenir une des hypothèses de tracé pour les deux lignes  nouvelles. Le tracé retenu fera l’objet d’études approfondies avant d’être soumis à la Ministre chargée  des transports pour approbation. C’est alors que le projet fera l’objet d’une enquête d’utilité publique. Lire la suite 

 

 

 

 

 

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