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10 février 2011 4 10 /02 /février /2011 07:24

TGV_539.jpgLe tracé détruit entièrement une ferme familiale et sa vigne classée en AOC Buzet.

Au lieu dit Palisse sur les hauteurs de Vianne, Marie-Hélène Bertrand exploite une petite propriété appartenant à la famille depuis 18 76. En reconversion bio, elle travaille 4,70 ha de vigne en AOC Buzet et livre sa production à la cave coopérative.

Aujourd'hui sa passion, sa confiance, son investissement, sont remis en cause, sinon condamnés. La ligne LGV écrase tout sur son passage, la maison, la vigne et une grande partie des terres et des bois.

De nature pacifique, ayant toujours privilégié la qualité des rapports humains, le dialogue à la confrontation stérile, Marie-Hélène Bertrand se dit aujourd'hui en colère : « Ils vont encore nous prendre des terres agricoles, abîmer la nature, l'environnement, détruire le patrimoine familial. Notre propriété va ainsi être rayée de la carte. » Cette ferme est sa vie : « Elle est mes souvenirs, représente mon avenir, celui de mes enfants, de mes petits enfants que je pensais voir grandir ici. Tout est remis en question. J'ai 44 ans et je n'ai pas l'âge de la retraite. »

En terrain conquis

Elle souligne le « manque de considération, le mépris », qui ont présidé aux démarches. « Il y a deux ans, nous avons découvert sept à huit automobiles garées devant notre maison et vu des gens accompagnés de la mairesse de Vianne effectuer des mesures sur notre terrain comme s'ils étaient chez eux. N'ayant pas été prévenus nous avons du leur demander qui ils étaient et la raison de cette présence. Il s'agissait de représentants du Réseau ferré de France (RFF). Voilà comment nous avons appris le projet de la LGV et que cette ligne allait passer sur nos terres. »

Marie-Hélène Bertrand considère que la concertation ensuite mise en place n'a pas été satisfaisante : « Ils disent que des documents prévoyant notamment l'emprise de la ligne a été à la disposition du public en mairie. C'est vrai mais on peut déplorer que l'on n'ait pas été prévenus officiellement. Si nous n'allons pas à la recherche de l'information, on se retrouve devant le fait accompli. De plus les documents auraient pu être consultés sur une durée plus longue. »

Service public abandonné

Considérant que « RFF et la SNCF ont abandonné leur mission de service public » et que le projet de LGV « ferait payer deux fois les citoyens qui continueront à assurer l'entretien de la ligne existante », l'agricultrice défend la réhabilitation de cette dernière : « On ne veut pas des avions sur rail mais des trains rapides et cette ligne est loin d'être saturée. Sa mise aux normes coûterait 6 à 7 fois moins cher que le projet que l'on veut nous imposer. Et, contrairement à la LGV qui serait empruntée par une élite qui veut aller toujours plus vite, la ligne actuelle réhabilitée profiterait à tous les citoyens. »

Bien que défendant ses convictions en espérant que le projet ne voit pas le jour et appréciant le soutien d'associations, Marie-Hélène Bertrand vit avec une épée de Damoclès. Elle est bien obligée de prévoir son avenir et celui des siens.

Comme d'autres, elle a participé à une réunion avec des représentants de la Chambre d'agriculture, la Safer et les vignerons de Buzet pour envisager des regroupements de parcelles. Mais c'est avec une peine infinie qu'elle envisage cette alternative. Et ce d'autant plus que parmi les générations de cheminots et agents de la SNCF qui ont maintenu le réseau, se sont trouvés, une arrière grande-mère, une grand-mère, ses deux grands-pères, son père et encore aujourd'hui son frère.

Le Sud Ouest du 100211
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10 février 2011 4 10 /02 /février /2011 07:19

TGV_538.jpgGérard Dugad, ancien conseiller municipal à Cenon, représente Gironde Dynamique et Solidaire .

Ce n'est que samedi dernier, au lendemain de la présentation à Bordeaux des candidats de Gironde Dynamique et Solidaire, que Gérard Dugad s'est lancé dans la campagne. Cet habitant de Lignan-de-Bazas défendra les couleurs UMP dans le canton voisin de Captieux, en insistant sur les dossiers liés aux infrastructures traversant le Sud-Gironde.

En 2009, cet ancien conseiller municipal RPR de Cenon de 1995 à 2001, a créé la Grande Gouaille, l'association de riverains de l'A 65 et des LGV. « Je porte le même regard sur l'A 65 que sur la LGV. Je suis pour ce genre d'infrastructures, ce sont des projets nécessaires à l'évolution du pays. Concernant l'autoroute, ce que je ne voulais pas, c'est que les riverains subissent les conséquences du chantier. Pour les LGV, c'est pareil. »

Gérard Dugad n'ignore pas pour autant que le Sud-Gironde subit beaucoup en matière environnementale. Il estime, notamment sur les lignes LGV, que d'autres schémas sont possibles. Tout en restant dans le fuseau des 1 000 mètres, il voudrait que la future halte SRGV, et donc le triangle ferroviaire, se trouve plus au Sud. « Il faut préserver Bernos-Beaulac, et sur le canton, la commune d'Escaudes. »

Sur un territoire conquis jusque-là « par le bras droit de Philippe Madrelle », ce propriétaire loueur de 53 ans relève avec ambition le défi qui lui a été proposé par l'UMP (1). « Le Sud-Gironde n'a pas vocation à rester en rose », rappelle celui qui assume la réforme des collectivités territoriales. « C'est une bonne réforme. Quand on multiplie les entités, on multiplie les dépenses et cela devient trop lourd pour le contribuable. »

Le Sud Ouest du 100211

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10 février 2011 4 10 /02 /février /2011 07:12

TGV_537.jpgLes délégués communautaires des neuf communes de la Communauté de communes du canton de Laplume-en-Bruilhois (CCCLB), ont connu un conseil plus agité qu'à l'accoutumée, hier soir à Estillac. Une centaine de militants d'associations anti-LGV, des agriculteurs, des élus du Front de gauche et d'Europe Ecologie-Les Verts les ont accueillis à grands renforts de banderoles et de sifflets. Objectif : obtenir le retrait de l'ordre du jour du vote entérinant la création du fameux syndicat mixte Agen-Garonne (lire ci-contre). Joseph Bonotto, au nom des manifestants en a fait la demande avant le début des débats. Le président de la CCCLB, Henri Tandonnet, l'a laissé s'exprimer et l'a longtemps écouté. Jean Dionis du Séjour, président de l'Agglomération agenaise (CAA) n'était pas physiquement là, mais le long discours ne l'a guère épargné… La suite dans notre prochaine édition.

Le Sud Ouest du 100211

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10 février 2011 4 10 /02 /février /2011 07:07

Au terme d'âpres négociations, un accord a été trouvé.

Dans le sillage de Michel Héritié, le maire d'Ambarès-et-Lagrave - la commune la plus impactée par le passage de la ligne à grande vitesse Bordeaux-Tours - de nombreux élus de la rive droite ont peu apprécié l'attitude de Réseau Ferré de France en ce qui concerne les travaux d'aménagement visant à minimiser l'impact de la ligne (isolations phoniques…). À tel point que Vincent Feltesse, président PS de la CUB, avait réuni les uns et les autres sur le terrain pour tenter d'accorder les violons. Mais cela n'a pas suffi, puisque les discussions se sont poursuivies dans un climat que l'on qualifiera d'âpre, entre commune et RFF. Le dernier conseil de CUB n'avait d'ailleurs pas voté la convention qui liait les deux parties (soit une somme de 17 millions d'euros qu'injectera la CUB). Le vote a été ajourné et renvoyé au conseil de CUB de vendredi. Une manière d'accroître la pression sur RFF. Il semble que la méthode ait porté ses fruits puisque le fameux protocole d'accord entre État, CUB et RFF a été signé. C'est donc sans une ombre au tableau que le conseil de CUB votera la convention de financement du tronçon Tours - Bordeaux de la ligne à grande vitesse Sud-Europe-Atlantique.

Dès ce matin, Vincent Feltesse, président de la CUB et Michel Héritié, le maire d'Ambès feront le tour des chantiers et présenteront les avancées obtenues dans cette négociation, et notamment la convention spéciale qui liera Ambarès et RFF.

Le Sud Ouest du 100211

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 12:24

edition-du-04-fevrier-au-10-fevrier-2011-b.jpgEn deuxième partie de la réunion, alors que les personnes de l’assemblée s’apprêtaient à poser des questions aux différents intervenants, les débats furent malencontreusement interrompus par une vingtaine de perturbateurs venus dans ce but. De façon concertée et prévue à l’avance, tous se sont levés simultanément, se dirigeant vers la sortie en hurlant, injuriant le public, renversant tables et chaises. La tension est montée d’un cran avec la surexcitation des esprits : violences verbales, injures, menaces, gestes obscènes, le tout dans le but de déclencher une bagarre générale avant d’éteindre toutes les lumières, plongeant ainsi cette salle du premier étage et les 250 personnes qui s’y trouvaient dans l’obscurité totale et en déclenchant l’alarme à incendie, coupant ainsi l’électricité générale. Dans le vacarme et les sirènes, devant la crainte d’un réel incendie, le début de panique qui s’est propagé fut difficile à maîtriser. Malgré tout, les organisateurs de l’USV ont su gérer la situation au mieux, évitant tout débordement et les conséquences dramatiques qui auraient pu se produire. La réunion a du être interrompue faute d’électricité. Les élus présents, Maires des différentes communes impactées par la LGV et  garants de l’ordre public, ont totalement condamné ces faits qu’ils ont qualifiés de graves. Pour Bruno Lecomte, président du collectif, « si l’on peut comprendre que ce sujet déchaine les passions des personnes directement impactées, on ne peut accepter qu’un petit groupe de personnes hystériques entrave les libertés des citoyens et commettent des actes dangereux pour la sécurité des biens et des personnes. Il faut maintenant que la justice détermine les responsabilités de chacun.   »

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 12:19

edition-du-04-fevrier-au-10-fevrier-2011-a.jpgLe collectif Régional « Union pour la Sauvegarde des Villages » a pris l’initiative d’organiser une réunion publique afin d’apporter les informations sur la future Ligne à Grande Vitesse Bordeaux Toulouse, demandées par la population impactée et trop longtemps bernée par des propos alarmistes. En première partie de la réunion publique, Mr Fourcassier porte parole du collectif, a fait visionner le tracé de la LGV proposé par l’Union pour la Sauvegarde des Villages sur toutes les communes concernées. Une mise au point a été faite sur la notion du tracé proposé de 30 m de large, à ne pas confondre avec celle de fuseau ou de bandes d’études de 2000 m de large. Pour élargir le débat, Mr Fourcassier a ensuite donné la parole à Mr François Simon, un intervenant invité par le Collectif Régional. Mr Simon, aussi Vice Président du Conseil Régional, a précisé être présent en tant que représentant d’Europe Ecologie Les Verts afin de pouvoir expliquer leur position anti LGV. Pour Europe Ecologie Les Verts, la solution la moins chère pour eux serait l’aménagement des lignes actuelles.  Le cout élevé de la LGV étant pour eux un des arguments majeur ainsi que les conséquences environnementales. Mr Robert Claraco du cabinet d’étude CERCL a également été invité par le collectif régional USV. Ce cabinet d’études indépendant a réalisé une analyse des argumentaires soumis par le collectif régional. Les conclusions de ce cabinet, sont un aménagement de l’existant et sur notre tronçon. Il considère que la proposition de l’USV, est moins impactante que la proposition D de RFF car « l’option D fait fi des contraintes liées aux Risques Majeurs. En outre, elle impacte gravement dans son concept le bâti et les zones protégées ».

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 11:33

Grand-Toulouse-9112.JPG« Nous soutenons depuis des années la politique de développement des transports en commun de notre agglomération  toulousaine. Pour faire face aux contraintes de financement de cette politique, qui pèsent sur toutes les structures  intercommunales de notre pays, nous avions plaidé pour que l’Etat aide à nouveau les projets des collectivités, par des  subventions spécifiques. Tisséo-SMTC a déposé une demande de subvention pour le projet de Bus à Haut Niveau de  Service (BHNS) sur le secteur nord, dans le cadre du Boulevard Urbain Nord (BUN). Nous sommes intervenus auprès  de la Ministre Nathalie Kosciusko-Morizet en faveur de cette demande. Aujourd’hui, la Ministre annonce sa décision  d’accorder une subvention d’Etat de 9,560 m€ à ce projet. Nous nous réjouissons de cette décision, bonne nouvelle pour le nord toulousain, qui vient alléger le budget du contribuable local à travers Tisséo. »  Grégoire Carneiro et Jean-Luc Moudenc

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 07:45

photo-gregoire-carneiro1.JPGLes Elus de la commune de Castelginest, Grégoire CARNEIRO, Maire, et Béatrice URSULE, adjointe, et de Toulouse, Jean-Luc MOUDENC, Danièle DAMIN, Elisabeth TOUTUT, Christian RAYNAL, Roger ATSARIAS et Djillali LAHIANI, créent aujourd’hui le groupe « Le Grand Toulouse Ensemble » à la Communauté Urbaine du Grand Toulouse.

Notre groupe est présidé par Grégoire CARNEIRO, avec deux vices présidents, Christian RAYNAL, 1er vice-président, et Béatrice URSULE, 2e vice présidente).

En associant des Elus de la ville-centre et de la périphérie, nous portons une vision solidaire de notre agglomération. En réunissant nos compétences et notre expérience, nous entendons participer à la définition des projets et aux débats de la collectivité.

Aujourd’hui, 2 ans après la création de la Communauté Urbaine, le constat est fait que les projets communautaires qui avancent et qui sont les plus importants, ont été lancés dans le mandat précédent : le Cancéropole, le Campus de Montaudran, le déménagement et l’extension du Parc des Expositions, la préparation de l’arrivée du TGV et l’aménagement du quartier Matabiau, la Jonction Est, la Liaison Multimodale Sud-Est, les principales ZAC…

Raison de plus pour aborder dans un esprit positif et avec confiance la deuxième moitié du mandat en cours.

Les Elus du groupe “Le Grand Toulouse ensemble”

 

 

 

 

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 07:16

TGV_536.jpgSamedi dernier, devant une quarantaine d'habitants de Saint-Michel, le maire Marc Gauthier, accompagné de son équipe municipale, s'est essayé au jeu des questions/réponses.

Un troisième tracé LGV

C'est Marc Gauthier qui, devant une assistance timorée, lança le premier sujet d'actualité : la LGV. Le maire livra une information que chacun ignorait : la possibilité d'un troisième tracé. Ce troisième tracé, situé au milieu des deux autres, serait peut-être le moins favorable à la commune mais reflète aussi toute la complexité administrative de mener à bien un tel projet, sans compter les problèmes de financements qui semblent diviser les élus régionaux.

Par le Collectif d'élus du Sud-Gironde, le maire espère encore pouvoir faire « bouger les choses » et regrette l'apparente résignation des habitants de Saint-Michel.

« Si l'on n'y peut rien à l'instar des retraites, est-ce qu'il ne serait pas plus opportun de penser déjà aux nuisances ? », rétorque une auditrice. Les conseillers semblent acquiescer les propos, mais ils savent déjà qu'il sera difficile d'équiper la commune de tout le nécessaire antibruit…

Pour clore ce sujet sensible, des soucis plus proches et concrets ont été évoqués.

Centre pour trisomiques

Après de nombreux problèmes dus à l'obtention du permis de construire, le centre pour personnes trisomiques va finalement être créé (début des travaux en juin). Les demandeurs d'emplois du secteur seront bien sûr prioritaires.

Un souci d'ordre écologique est soulevé en suivant par l'un des habitants : la présence récurrente de gravats et autres déchets sur un terrain le long de la route de La Brède. Le maire est convaincu que la meilleure solution reste d'abord la diplomatie, sachant qu'il est très difficile d'intervenir sur un lieu privé, mais des solutions juridiques existent. Chaque chose en son temps.

Factures d'eau et ordures

Le prix exorbitant de l'eau (plus de 5 euros le mètre cube) fut aussi abordé, les explications sur les particularités du réseau (peu d'habitations sur une grande surface) ont plus ou moins convaincu les consommateurs agacés, les perspectives de voir la situation s'améliorer restent minces !

La Maison des associations verra bientôt le jour ainsi qu'une extension de la mairie où pourra être logée la bibliothèque.

Enfin, les habitants ont évoqué leurs inquiétudes face aux changements dans le ramassage des ordures ménagères et redoutent la recrudescence de décharges publiques.

C'est sur ce dernier point que le maire a appelé au comportement citoyen de chacun.

Le Sud Ouest du 090211
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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 07:42

TGV_535.jpgEn 2010, le CODELIAPP (Collectif de coordination pour la défense de la ligne Agen-Périgueux-Paris) s'était fixé trois objectifs : défense et développement de la ligne Agen-Périgueux-Limoges ; réouverture de la ligne Villeneuve-sur-Lot-Penne- d'Agenais et obtenir l'assurance que les lignes ferroviaires TER seront raccordées sans rupture de transport à la future gare TGV d'Agen.

S'il existe de réels espoirs en ce qui concerne la ligne Agen-Périgueux-Limoges certaines inquiétudes n'en demeurent pas moins : RFF (Réseau Ferré de France) indique qu'il n'a plus les moyens d'assurer la maintenance de 6000 km de lignes ; de trop nombreux dysfonctionnements ; une infrastructure ferroviaire vieillissante entre Monsempron-Libos et Siorac en Périgord… Face à ces craintes, voici ce que propose le CODELIAPP : améliorer le service par la mise en place de deux A/R quotidiens entre Agen-Limoges, développer le tourisme par l'arrêt ou l'aménagement des trains existants pour la visite des sites touristiques (« pass préhistoire » Sauveterre-Les Eyzies…) et reconquérir du fret ferroviaire.

Lenteur

La réouverture de la ligne Villeneuve/Lot-Penne-d'Agenais bénéficie d'un réel soutien. Cependant on est en droit de s'inquiéter car les études n'avancent qu'avec une extrême lenteur. Sur ce dossier on en saura un peu plus dans le courant du mois de mars.Dès le début des débats publics, le CODELIAPP souhaitait que la gare TGV soit positionnée à Layrac avec raccordement direct au réseau TER. Si cette solution n'était pas retenue le collectif demandait que les TGV arrivent à la gare actuelle. Il participera, en février et juin 2011, au groupe de travail mis en place par GPSO (Grands Projets du Sud-Ouest, organisme chargé de la réalisation de la LGV Bordeaux-Toulouse) sur la gare TGV d'Agen et l'intermodalité.

La Dépêche du Midi du 080211

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