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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 11:38
TGV_791.jpgLe gouvernement vient de valider le tracé D pour la Ligne à Grande Vitesse (LGV) entre Bordeaux et Toulouse.

C'est donc le premier tracé envisagé qui a finalement été retenu par l'Etat et Réseau Ferré de France (RFF) pour la future Ligne à Grande Vitesse entre Bordeaux et Toulouse. Le fuseau D a été validé le 3 juin 2011 par le ministère de l'Ecologie, du Développement durable et des Transports pour la suite des études sur la LGV.

 

 

Un courrier adressé à la Préfecture qui a vite été relayé aux maires des communes et aux associations de riverains concernées par le projet.
Le fuseau D avait été validé par le Comité de Pilotage du projet le 31 mai 2010. Jean-Louis Borloo, alors ministre des Transports, l'avait à son tour validé le 27 septembre 2010 mais il avait dans le même temps demandé à RFF d'étudier une autre variante, à la demande du collectif Tarn et garonnais "Union pour la Sauvegarde des Villages" (USV). Ce nouveau tracé dit alternatif ou fuseau A62, partait du sud de Campsas (82), évitait la commune de Saint-Rustice et longeait l'autoroute A62. Il avait aussi provoqué la colère dans une vingtaine de communes du nord toulousain, de Bouloc à Saint-Jory, favorables au tracé D, jugé moins impactant pour les habitants.
Cette décision met donc fin à plus d'un an de manifestations et d'opposition entre associations.
Une décision accueillie difficilement à Saint-Rustice et dans le vignoble du Frontonnais et saluée par les élus des communes du Nord de Toulouse et par l'association TGV Raisonné, favorable au tracé D : "Cette décision nous la demandons depuis des mois et c'est un grand soulagement que nous ressentons." a déclaré sa présidente Céline Ferreira-Ducasse dans un communiqué. Quant à Pierre Cohen, maire de Toulouse, il s'est félicité de cette décision : "Ce fuseau est de loin le plus favorable en termes d'enjeux environnementaux et économiques et permet de limiter l’impact sur les habitants. Nous franchissons une étape importante d’un projet très attendu par tous les habitants de l’agglomération qui mettra Toulouse à 3 heures de Paris."

France 3 Midi Pyrénées
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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 05:50

TGV_790.jpgDécision ministérielle relative au passage de la branche Bordeaux - Toulouse de la LGV SEA dans le secteur Campsas - Toulouse : Lire la lettre

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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 05:03

TGV_787.jpgLa nouvelle est tombée hier dans plusieurs mairies : le gouvernement a validé le fuseau D de la future ligne à grande vitesse (LGV) Toulouse-Bordeaux. Cette annonce, sous forme de courrier adressé en préfecture par les cabinets de la ministre de l'Écologie, du Développement durable et des Transports, Nathalie Kosciusko-Morizet, a immédiatement été relayée aux élus des communes de Haute-Garonne concernées, ainsi qu'aux deux associations de riverains qui s'opposaient depuis des mois. Dans le nord du département, le projet LGV avait été ralenti suite à l'étude d'une variante de tracé que le ministre Borloo avait demandé à Réseau Ferré de France. Cette variante, partant du Sud de Campsas (82), séduisait notamment la commune de Saint-Rustice et l'association L'Union pour la sauvegarde des villages (USV) en Haute-Garonne. Proposée le long de l'autoroute A 62, elle avait en revanche soulevé une vague de contestations à Saint-Jory, Lespinasse, Saint-Sauveur, Villeneuve-lès-Bouloc… et mobilisé des centaines d'habitants. RFF a conclu que « les hypothèses de tracé alternatif présentaient des impacts en milieu urbain plus défavorables pour un coût d'investissement supérieur par rapport aux solutions proposées à l'intérieur du fuseau D ». Le village de Saint-Rustice payera cependant un lourd tribut pour ce choix. Tout comme le vignoble du Frontonnais et certaines entreprises qui resteront impactés par la future ligne. L'avenir dira où…

« Le bon sens »

En attendant, pour ces maires haut-garonnais, il s'agit là d'une « victoire ». « Le bon sens l'a emporté. Nous restons cependant vigilants pour l'avenir, notamment sur le raccordement de la future ligne à la ligne existante », a confié Henri Miguel, maire de Saint-Jory, porte-parole de maires qui aujourd'hui poussent un grand ouf de soulagement.

La Dépêche du Midi du 090611

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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 05:00

TGV_788.jpgAvant l'été, RFF doit rendre sa copie après une vaste opération de consultation des élus sur ses propositions de tracé. Les opposants, dont des élus, s'expriment à voix haute sur le projet.

Sur la carte, ils sont à l'opposé, l'un à l'Ouest l'autre à l'Est. Sur l'échiquier politique, Jean Dreuil (PS, maire de Sérignac et conseiller général) et Jean-Claude Guénin (UMP, maire de Casteljaloux et conseiller général) sont assez distants aussi. Pourtant, ils émettent ensemble un avis défavorable (*) sur les propositions de Réseau ferré de France (RFF).

Jean Dreuil était lundi à la préfecture, invité à une réunion d'information de RFF. « Les réticences que j'ai exprimées au conseil général sont d'ordre financier tout d'abord. C'est absurde de demander un soutien public pour un projet qui reviendra au privé ». S'il a voté contre la participation du département (34 M€) au financement du tronçon Tours-Bordeaux, c'est aussi parce qu'il est maire d'une localité de 1 100 habitants, touchée par le tracé de la LGV tel qu'il est proposé. « Je le veux plus loin du village, et pas entre le village et l'autoroute comme c'est proposé, ou selon le fuseau du SDRA », le schéma directeur de la région agenaise de la fin des années 1990. La version Sud, « avec un passage plus près du coteau, a ses faveurs ».

Jean Dreuil attend aussi une modification du tracé à hauteur de l'autoroute. « Il ne faut pas qu'il passe sur, mais sous l'autoroute. Lundi, RFF s'est engagé à étudier cette proposition. Je suis allé à Reims, j'ai vu ce qui a été fait, c'est possible. Les nuisances sont moindres et c'est ce que l'on attend ».

Guénin : « Strictement rien »

A l'ouest du département, Jean-Claude Guénin a pris son parti. S'il a obtenu que le lac de Clarens soit épargné, il ne voit toujours pas aujourd'hui les retombées économiques. « Quand j'ai pris connaissance du dossier, j'ai pensé que la LGV pouvait être un bon vecteur de développement économique. L'emploi reste l'une de nos priorités

[…] . A l'aune des études poussées des associations d'opposants, qui ne sont pas des va-t-en guerre, j'ai analysé tout cela, et j'en suis arrivé à la conclusion que ce projet n'apportera strictement rien. Ma crainte, que je partage avec d'autres, est que les deux agglomérations toulousaine et bordelaise profitent de cette LGV, et que le Lot-et-Garonne devienne un dortoir[…] Je ne vois pas comment on peut dissocier le financement de Tours-Bordeaux et le Bordeaux-Toulouse. C'est un projet d'ensemble et nous avons raté l'occasion de dire non, d'autant que nous attendons pour la fin de l'année une contre-expertise ». Le 23 juin au calendrier, un comité de pilotage doit définir « un tracé à approfondir » avant de rendre une copie définitive avant la fin de l'année. Une semaine plus tard, les élus de l'agglomération agenaise votent, ou pas, leur part de financement du tronçon Tours-Bordeaux. Ils protestent contre le tracé proposé (lire nos précédentes éditions), dont le double franchissement de la Garonne à Boé. Entre autres griefs.

(*) le conseil général a voté pour le financement de ce tronçon, à la majorité.

La Dépêche du Midi du 090611

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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 04:00

TGV_789.jpgLa nouvelle, avancée hier dans les colonnes d'un confrère national (1), a suscité l'incrédulité en Narbonnais : la liaison LGV entre Toulouse et Narbonne serait jugée compromise en haut lieu ! "Cela m'étonne" confie Marie-Hélène Fabre, adjointe au maire, "parce que la semaine dernière, l'ADEME, association mandatée par RFF pour rencontrer divers acteurs du territoire, nous a présenté des projets de parcours, et qu'il n'a pas été question de l'abandon de la ligne LGV". Un dirigeant du système ferroviaire aurait lancé : "Nous faisons les lignes les plus faciles à construire et les plus intéressantes à exploiter". Deux critères que remplit la ligne ! Jacques Bascou, le député-maire, souligne deux problèmes dans le schéma national des transports : "L'absence de priorités définies et le manque de financement de l'État. Les élus de la région ont demandé d'inscrire dans les priorités nationales, le tronçon Montpellier-Perpignan, qui n'était pas dans le schéma européen. Quant à la ligne Toulouse-Narbonne, elle serait le chaînon manquant à l'avenir ? C'est inconcevable".

L'Indépendant

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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 16:28

TGV 151"D’après les services de l’état, le tracé « D » a été validé. L’étude alternative de RFF avec son raccordement trop impactant pour Saint-Jory a été abandonnée. Thierry Fourcassier, porte parole du collectif régional « Union pour la Sauvegarde des Villages » opposé à ce raccordement, reste convaincu que l’enquête publique sera déterminante sur la véritable pertinence d’une LGV Montauban -Toulouse et surtout dénoncera un coût anormalement excessif. « Le prix moyen de 20 millions d’euros le km de LGV serait ici considérablement majoré, entre Montauban et Toulouse, selon les propres sources de RFF, et augmenterait à 34 millions d’euros le km, pour une ligne à grande vitesse … sur laquelle les TGV ne pourraient pas se déplacer à grande vitesse ! » Côté Atlantique, la Ministre Nathalie Kosciusko-Morizet relance une étude en incluant le réaménagement des lignes existantes comme alternative à la LGV … argument développé par le collectif régional depuis maintenant près de 2 mois et appuyé par Hervé Mariton, député rapporteur du budget sur les Transports à la commission des finances de l’assemblée nationale." Communiqué du Collectif Union pour La Sauvegarde des Villages

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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 07:00

TGV 117Le Ministère a fait son choix, Le tracé de la Ligne à Grande Vitesse Bordeaux Toulouse sera dévoilé dans la journée ! 

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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 06:14

TGV 784RFF a comparé deux options : gare de ville ou gare des champs. La rive gauche apparaît la solution la plus avantageuse.

« Une gare nouvelle est bien moins chère qu'une gare LGV en centre-ville, le différentiel étant de près de 200 millions d'euros », explique le directeur des études de GPSO.

Lors de la confirmation du fuseau de passage de la LGV Bordeaux-Toulouse en octobre 2010, le ministre de l'Ecologie et du Développement Durable d'alors, Jean-Louis Borloo, avait bel et bien laissé entendre que la solution d'une gare nouvelle en rive gauche plutôt qu'une gare LGV sur le site de l'actuelle gare agenaise en centre-ville, était privilégiée. Néanmoins, au regard du débat suscité localement par cette localisation dans le secteur de Brax et Roquefort, le ministre avait demandé à RFF (Réseau ferré de France) de lancer une étude, histoire justement de clore la discussion que certains auraient aimé prolonger.

L'étude a été réalisée et elle orientera la décision finale concernant la localisation de la gare LGV, le 23 juin prochain, lors d'un comité de pilotage sur la ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse. Nul besoin d'être grand clerc pour présager de la décision. Néanmoins, RFF entend la justifier par une argumentation « étudiée ». D'ailleurs, le directeur des études de GPSO (Grands projets ferroviaires du Sud Ouest), Frédéric Perrière est très clair : « L'étude a confirmé ce que RFF pressentait : il y a pas mal d'indicateurs au vert pour une gare en rive gauche. Tout d'abord, la volonté du territoire est globalement de la voir en rive gauche dans un secteur économiquement dynamique puisqu'on est prêt de l'échangeur autoroute A62, de l'Agropole et de Walibi. Deuxième point : les voyageurs. Contrairement à ce que pensaient certains, le différentiel voyageurs entre les deux options est minime : de l'ordre de 30 000 à 60 000 voyageurs par an, avec plus de voyageurs globalement en centre-ville mais moins de voyageurs de Montauban ou Toulouse. »

Le poids des euros

Des arguments qui peuvent être soumis à diverses appréciations, tandis que l'argument du coût de l'opération semble plus incisif. « C'est très clair, une gare nouvelle est bien moins chère qu'une gare LGV en centre-ville, le différentiel étant de près de 200 millions d'euros », poursuit Frédéric Perrière. 200 millions d'euros nécessaires à financer deux viaducs pour rejoindre la gare du centre-ville : l'un à l'ouest du côté de Sérignac, l'autre à l'est du côté de Layrac. « Deux viaducs enjambant la Garonne, dans des zones inondables et suffisamment renforcés pour prévoir la circulation de trains à très grande vitesse… Face à ces contraintes, la gare en rive gauche apparaît plus cohérente. Sans compter qu'il s'agit d'une gare de bord de ville car à 5 kilomètres à vol d'oiseau soit 7 minutes par liaison ferroviaire de la gare de centre-ville. » Il faudra donc prévoir un raccordement TER vers le centre-ville et un nouveau franchissement de la Garonne, en l'occurrence le fameux pont de Camelat que les élus de la Communauté d'agglomération d'Agen aimeraient voir double autrement dit ferroviaire et routier. « RFF financera la partie ferroviaire du pont mais la partie routière ne relève pas de sa compétence », souligne Frédéric Perrière.

Le 23 juin, l'option gare LGV en rive gauche devrait être officialisée. Gare qui sera installée à la jonction de Brax et Roquefort au niveau de la RD 656.

Le Sud Ouest du 080611
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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 06:03

TGV_786.jpgLe préfet Fabien Sudry et les responsables de Réseau Ferré de France (RFF) ont présenté hier aux associations de défense les dernières propositions pour le tracé de la ligne à grande vitesse. Cette réunion a duré plus de trois heures et n'a pas convaincu les riverains qui sont repartis plus inquiets que jamais.

«Inacceptable » : le maire de Lacourt-Saint-Pierre, Denis Lopez se dit scandalisé par les toutes dernières études de RFF pour le tracé de la future ligne à grande vitesse quand celle-ci sera prolongée de Bordeaux à Toulouse et qu'elle traversera sur 70 kilomètres le Tarn-et-Garonne. « Quelle concertation ! s'indigne l'élu. Pendant un an et demi, on m'explique qu'il n'y aura pas de problème pour traverser la commune en tranchée couverte et pour aménager un passage sous le canal. Et là, j'apprends que la ligne va passer sur un remblai de 8 à 12 mètres de haut et de 3 kilomètres de long. Je peux vous dire que Montbeton et Lacourt-Saint-Pierre vont s'opposer à ce profil long. »

A l'image de Denis Lopez, de nombreux maires et présidents d'associations de défense sont sortis hier soir vers 20 heures 40 de la réunion organisée à la préfecture de Tarn-et-Garonne plus inquiets encore qu'avant. Il faut dire que le choix du tracé est maintenant entré dans la toute dernière ligne droite. L'option présentée par RFF sera sans doute voisine du tracé préférentiel qui sera proposé à la validation du comité de pilotage programmé pour se tenir à la fin du mois de juin à Bordeaux.

« C'est un simulacre de consultation. RFF ne tient pas compte de nos remarques, de nos demandes. Ils sont là, ils écoutent, mais c'est tout. C'est comme sur une patinoire : ça glisse », s'emporte Jean-Pierre Traché, président de l'association BBV (Bressols, Brial et Verlhaguet). Même sentiment de méfiance chez Severine Menero, une habitante de Saint-Porquier qui quittera la réunion avant la fin : « Ils ont leur idée sur le tracé et ne tiennent pas compte de nous. » Le maire de Bressols à qui on promet maintenant un remblai de 10 mètres de haut, de 70 mètres de large et de 2 kilomètres de long n'avait « jamais imaginé un tracé aussi impactant. On s'y oppose fermement et définitivement », a-t-il lancé.


« Le dossier n'est pas complètement bouclé »

Le préfet de Tarn-et-Garonne Fabien Sudry a présidé hier en fin d'après-midi cette réunion entre associations de défense d'une part et Réseau Ferré de France d'autre part. « On a progressé, mais le sujet n'est pas encore complètement bouclé, notamment sur toutes les conditions d'aménagement. Une option de tracé préférentiel sera présentée à la fin du mois au comité de pilotage » a-t-il déclaré à la fin de cette réunion.

La Dépêche du Midi du 080611

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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 05:38

TGV 150Sylvia Pinel, députée de Tarn-et-Garonne a questionné le ministre sur les difficultés rencontrées dans le cadre de la définition du tracé préférentiel de la future ligne à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Toulouse. «Comme vous le savez, cette phase décisive suscite, à juste titre, de vives inquiétudes auprès des élus, des associations et des populations riveraines dans la mesure où l'impact de la future LGV est loin d'être raisonnablement considéré et pris en compte par Réseau Ferré de France.

Si, certes, le tracé idéal n'existe pas, nous restons dans l'attente des garanties suffisantes à l'acceptation d'un tel projet.

Tout particulièrement sur le territoire de ma circonscription - traversé dans son intégralité sur plus de 70 kilomètres -, la liste des points « sensibles » est longue et les exigences techniques mises en avant par les élus concernés sont multiples (...)

Après plusieurs mois de concertation locale, des dizaines de réunions, et des promesses - parfois sans lendemain -, élus et population peinent toujours à percevoir une volonté réelle de faire droit à leurs attentes, aussi légitimes que réalistes. Et particulièrement sur des secteurs tel que celui d'Auvillar, où le tracé préconisé par RFF s'annonce dévastateur pour l'habitat .»

Trois réponses attendues...

Sylvia Pinel réclame alors des réponses concrètes à trois questions : « Comptez-vous inscrire dans l'arrêté ministériel d'approbation du tracé les préconisations techniques formulées par les élus ? L'Etat a t-il l'intention de prendre des mesures pour que soit considéré et compensé à sa juste valeur l'impact de la LGV pour les populations riveraines ? Enfin, pouvez-vous nous préciser votre feuille de route et les prochaines échéances calendaires ? »

Benoît Apparu, secrétaire d'état auprès de la ministre a répondu: « Le projet LGV est un projet ferroviaire majeur. Des études sont conduites selon un processus devant permettre l'ouverture de l'enquête publique courant 2013. Le Ministre revient sur l'attachement du gouvernement à présenter aux élus l'avancement des études qui se poursuivent actuellement pour définir un tracé parmi différentes hypothèses».

Ce à quoi Sylvia Pinel a répondu: « Effectivement, les élus, les associations et les populations s'expriment dans le cadre de la concertation en cours et formulent des préconisations. Toutefois je souhaite que le Gouvernement entende ces préconisations et les annexe à l'arrêté ministériel d'approbation.»

La Dépêche du Midi du 080611

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