Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

Archives

18 février 2011 5 18 /02 /février /2011 06:45

Le Conseil municipal s'est réuni le jeudi 3 févier. À l'ordre du jour : la préparation du budget 2011. La mise aux normes hygiène, sécurité et conditions de travail va impacter le budget, avec l'obligation d'acheter des équipements de protection individuelle pour le personnel communal et des matériels conformes aux normes.

Les grandes lignes de ce budget 2011 concernent, également, l'achèvement de la modernisation de la salle polyvalente et quelques travaux de voirie en dehors des zones touchées par les travaux de la LGV.

Manque d'information

Au sujet de cette LGV, les propriétaires concernés par le remembrement se plaignent que l'information circule mal, en particulier l'information délivrée par la Chambre d'agriculture. « Elle est tardive et parcellaire », selon le maire, Bernard Mauget.

Le Conseil se demande quel jeu jouent la Chambre d'agriculture et les partenaires industriels impliqués dans le dossier. « Il est regrettable que des travaux soient effectués sur le territoire de la commune sans que la mairie en soit informée, ajoute l'édile. Des forages creusés récemment ont permis de découvrir des courants d'eau à 12 m de profondeur et probablement une nappe phréatique vers 15, 20 m. Il est à craindre que le chantier de construction à moins 12 m ait un impact négatif sur cette nappe et les puits et étangs des propriétaires voisins… »

Au fil des dossiers

La fusion avec la Communauté de communes des 3B (Baignes, Barbezieux, Brossac) va entraîner des changements de compétences. « Pour la compétence voirie, on se dirige vers une maîtrise d'ouvrage déléguée », indique Bernard Mauget. Pour la compétence scolaire, le transfert au niveau intercommunal fait craindre à l'élu un impact très lourd sur les petits commerces locaux (application du code des marchés publics) et sur la trésorerie de Blanzac.

La commune offrira un repas aux aînés âgés de 65 ans et plus le dimanche 27 mars à la ferme des Grands Aulnais.

Le Sud Ouest du 180211
Partager cet article
Repost0
17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 09:02

thierry fourcassierPremier coup de canif : RFF avoue tout d’abord que « le tracé proposé par le collectif ne possède aucune contrainte de courbure limitant la vitesse, les trains à grande vitesse peuvent effectivement reprendre une vitesse plus élevée ». Mais un nouvel argument de taille vient ensuite encore appuyer le tracé USV : RFF écrit et reconnait aussi un « gain de temps théorique dans la proposition USV ». RFF l’a même chiffré à la seconde près. Dans le sens vers Toulouse, en décélération, la durée du tracé D proposé par RFF est 14% plus longue que la durée du tracé proposé par USV. L’écart se creuse en sortant de Toulouse, en accélération, la durée du tracé D est 22 % plus longue que la durée du tracé USV.

La  conclusion est donc sans appel : le paramètre primordial pour une LGV qu’est la durée du trajet est optimisé par le tracé « jumelage autoroute USV ».

Partager cet article
Repost0
17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 07:28

TGV_563.jpgS i nous étions encore au conseil régional, nous soutiendrions la volonté de résistance de Ségolène Royal, annonce Paul Fromonteil, (*) car il s'agit de revoir la totalité du financement de la ligne LGV SEA. Les élus communistes du département de la Vienne affichent clairement leur ligne politique sur ce grand projet. « Nous sommes favorables aux lignes à grande vitesse et particulièrement à celle-ci, indique Jean-Jacques Guérin, (**) l'heure est au développement rapide. » Mais pas à n'importe quel prix. Et surtout pas quand cette politique de grands travaux est financée par un consortium privé, Vinci, qui va concevoir, construire et exporter la ligne à grande vitesse : « C'est la première fois, dans notre pays, que cela se déroule ainsi si l'on fait exception qu'au XIX e siècle les lignes de chemin de fer, rappelle le vice-président de Grand Poitiers, ont été réglées par des capitaux privés - mais en 1936, la nationalisation a donné naissance à la SNCF »

« Nous disons non à la privatisation qui va entraîner, selon les élus communistes, une augmentation du coût du kilomètre acquitté par la SNCF à RFF : la SNCF paie aujourd'hui 11 € par kilomètre, elle passerait à 20 €. » Jean-Jacques Guérin croit savoir que le ticket de train sera en hausse « de 15 % minimum » et que cette décision préfigurera de ce qui va se passer « sur l'ensemble du réseau ».
Le conseil général, Michel Brouard, dénonce, lui, le culot de l'État qui doit déjà au Département « une facture de 200 M€ » au titre du transfert des charges « mal compensées » et qui « nous demande pour la SEA 27 M€ ». « Ce n'est pas acceptable. » Pas plus que les collectivités locales « abondent à hauteur de 1,7 milliard d'euros sur 8 milliards pour financer cette ligne qui relève de la compétence de l'État ».

(*) Ancien vice-président de cette collectivité territoriale et actuel président d'honneur de l'association départementale des élus communistes et républicains. (**) Vice-président de Grand Poitiers.

La Nouvelle République
Partager cet article
Repost0
17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 07:09

L'inauguration de la rame TER est l'occasion pour les écologistes de marteler leur position.

Le président de la Région Aquitaine Alain Rousset inaugurera aujourd'hui en fin de matinée la rame TER « Canfranc », qui assure depuis quelques semaines la liaison entre Pau et Oloron sur une voie rénovée.

Symbolique, l'événement n'a pas manqué de déclencher une cascade de communiqués émanant des différents lobbies écologistes, tous mobilisés en faveur de la rénovation de la ligne SNCF jusqu'à Canfranc et aussi unanimement opposés à l'hypothèse d'une route nouvelle entre Pau et Oloron. Ainsi, le Creloc (Comité pour la réouverture de la ligne Oloron-Canfranc) se réjouit-il de cette inauguration, revendique l'idée de baptiser « Canfranc » la rame en question et attend désormais que « ce beau train, si bien nommé, monte au plus vite rejoindre sa gare éponyme », en atteignant Bedous dès 2013. De leur côté, la Sepanso 64 et France nature environnement se félicitent du baptême d'un « train appelé désir depuis 41 ans », déplorant que « des élus persistent dans l'erreur de relancer la solution du tout-camion ». « La liaison routière Pau-Oloron prétendue d'intérêt local est en réalité un axe international », estiment ces opposants, appelant à une étude d'ensemble des déplacements en Béarn.

Subvention LGV

À leur tour, les Béarnais d'Europe Écologie-Les Verts saluent cette première étape et mettent en balance le budget d'une voie rénovée entre Oloron et Huesca, qui correspondrait à « un peu plus de la moitié de ce que certains envisagent de mettre dans une route entre Poey-de-Lescar et Gurmençon », et ce projet de route qu'ils contestent. Les écologistes dénoncent en l'occurrence le projet du Conseil général de voter en faveur de la fameuse subvention LGV (60 millions d'euros), laquelle pourrait « être mise sur le transport ferré transpyrénéen ». Et suggèrent aux élus du département de faire pression sur RFF et sur l'État dans ce sens, plutôt que de demander à ce dernier de « l'aider à payer la route Pau-Oloron »…

Le Sud Ouest du 170211
Partager cet article
Repost0
17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 06:56

TGV 562Réseau Ferré de France confirme que le bureau d'études Fondasol ne continuera pas les sondages. D'autres entreprises vont prendre le relais. Les militants anti-LGV restent mobilisés.

Le compteur de Fondasol est resté bloqué à cinq. Cinq, comme le nombre de sondages réalisés par ce bureau d'études en ingénierie géotechnique pour le compte de Réseau Ferré de France (RFF) dans l'épineux dossier de la LGV. Selon le contrat, les techniciens de l'antenne biarrote de Fondasol (1) devaient en réaliser 80. Mais voilà cinq semaines que les chantiers sont au point mort. Une « pause » que le PDG Jean-Michel Gaboriaud explique par un simple retard dans le calendrier de RFF. Pourtant, ces derniers ont confirmé l'information divulguée dans notre édition d'hier : « Fondasol ne souhaite pas continuer les chantiers. »

Contactée hier, Fondasol persiste et signe en écrivant que « le contrat est toujours en cours et que les relations avec RFF ont toujours été et sont toujours excellentes. » Une façon diplomatique de sortir les parapluies juridiques ? Certainement, car tous les acteurs du dossier (RFF, élus, anti-LGV) savent que les techniciens de Fondasol ne mettront plus les pieds sur les sondages LGV.

Début janvier à Arcangues et à Mouguerre, ils avaient dû plier bagage sans terminer le chantier, sous escorte de la gendarmerie, à cause de la pression des manifestants. Emportés dans le tourbillon d'une affaire qui les dépasse totalement, les sondeurs ont très mal vécu ces épisodes. Ils n'ont jamais voulu exprimer publiquement leurs craintes, mais le malaise existe bel et bien. Même leur PDG a reconnu il y a quelques jours : « Nous n'imaginions pas les difficultés qui nous attendaient. Il est bien évident que l'option d'une intervention sous protection de la gendarmerie nous déplaît fortement. Cette situation est éprouvante pour tout le monde. »

Pour RFF, c'est un « aléa »

Deux autres entreprises spécialisées ont déposé des demandes de permis de travaux en mairie : ETI à Villefranque, Arcangues, Ustaritz et Urrugne, et Geotec à Mouguerre, Saint-Pierre-d'Irube, Saint-Pée-sur-Nivelle, Ascain et Biriatou.

RFF ne confirme pas les noms mais assure que les sondages vont continuer : « Ce n'est pas parce que Fondasol arrête que le projet est remis en cause », assure le chargé de mission à GPSO Philippe Lacroix. Pour lui, le retrait de Fondasol n'est qu'un « aléa ».

Pour les opposants à la LGV, et en tout premier lieu pour le Collectif des associations de défense de l'environnement (Cade), cette longue interruption des sondages est « une victoire ». Elle montre bien, selon Martine Bouchet, membre du Cade, « que RFF et l'Etat avaient sous-estimé une fois de plus la force de l'opposition au Pays basque. Les essais d'intimidation par voie d'huissier n'y ont rien changé ».

Persuadée que les sondages vont redémarrer dans les prochains jours, elle souligne que les Déclarations d'intention de commencement de travaux (DICT) déposées par Fondasol « ne sont plus valables, car vieilles de plus de deux mois ». Et celles des deux autres entreprises « ne concernent qu'une vingtaine de points de sondage sur les 75 qui n'ont pas encore été faits ». Par ailleurs, un éventuel changement d'entreprise ne change rien, selon la militante, « à la procédure et aux informations que les propriétaires sont en droit d'obtenir légitimement. Pour tous ceux qui ont reçu un courrier leur annonçant la venue de Fondasol, RFF doit, avant toute chose, se dédire et annoncer quelle entreprise doit intervenir. »

De toute façon, si les sondages recommencent, le Cade reprendra, lui aussi, ses actions d'opposition, contestant toujours la légalité des interventions. Le collectif est maintenant bien rodé. « Nous savons d'expérience que nous pouvons compter sur la vigilance des riverains pour nous prévenir de l'arrivée des machines. » Seul problème : les points à sonder faisant partie de terrains appartenant au Conseil général…

Fondasol, dont le siège est situé à Avignon, compte 26 agences en France, dont une au Pays basque.

Le Sud Ouest du 160211

Partager cet article
Repost0
17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 06:50

TGVLe Cade a été informé de quelques modifications visant à réduire le « trafic global potentiel ».

« Le projet est revu à la baisse », a affirmé hier Victor Pachon, lors d'une conférence de presse du Cade. Une affirmation tirée de la réunion de concertation avec RFF du 9 février, à laquelle le collectif assistait. Deux modifications seraient apparues. L'une d'elles, a indiqué José Lavictoire, concerne le raccordement du centre de fret de Mouguerre aux différents tracés évoqués. « Il n'est plus envisagé par RFF de raccorder ce centre de fret aux nouvelles lignes étudiées, les prévisions de trafic ne justifiant pas, selon RFF, ce raccordement ».

L'autre modification a trait au raccordement des voies provenant de Bayonne, ou se dirigeant vers cette ville, aux nouvelles lignes. « Il n'est plus envisagé de faire ce raccordement d'une manière normale, soit par deux voies, comme indiqué dans toutes les versions précédentes des hypothèses de tracé de la LGV, mais par une seule voie. Concrètement, cette voie serait en cisaillement des lignes LGV ».

Ces deux modifications, a constaté José Lavictoire, visent à réduire « le trafic global potentiel », ce qu'aurait reconnu RFF. Pour Victor Pachon, les raisons de ces modifications sont simples. « En 2006, on a fait un projet gonflé aux anabolisants, notamment pour le fret. Maintenant on revient à la réalité. Et cela ne fait que confirmer notre position selon laquelle on peut utiliser les voies existantes. »

Victor Pachon est également revenu, lors de cette conférence de presse, sur les consultations lancées par RFF. La première, que le Cade avait boycottée, a été, dit-il, « un fiasco total ». « 281 réponses, dont 38 annulées par RFF. Sur les 243 réponses restantes, seules 154 répondent aux questions. »

Le Cade a, en revanche, décidé de participer à la deuxième consultation, organisée du 20 décembre au 8 janvier, stockant les réponses jusqu'au 7 janvier et les envoyant ensuite massivement, invitant également les militants à répondre par internet. Ces réponses contenaient une seule phrase : « La seule hypothèse de tracé qui convienne est la modernisation des voies existantes ».

3 581 réponses, émanant de sept départements (dont 43 % des Pyrénées-Atlantiques) auraient été reçues par RFF, et seulement 3 289 « exploitables ». Victor Pachon a déploré, à ce sujet, l'attitude de RFF, incapable de nous donner les pourcentages par réponse », tout en reconnaissant que « beaucoup remettent en cause l'opportunité du projet en raison du contexte économique et demandent la modernisation des voies existantes ». Le porte-parole du Cade s'étonne que RFF « se félicite des 3 581 avis exprimés alors qu'elle en supprime 392 et ne rendra pas en compte une opinion massivement exprimée. RFF surfe sur le succès du nombre élevé de réponses, mais ne communiquera que dans un mois et demi sur le contenu en se livrant à des manipulations. »

Une longue lettre, dont François Tellier, vice-président du Cade, a donné lecture, a été envoyée au sous-préfet pour lui demander d'ouvrir un débat sur l'aménagement des voies existantes, « sur des bases sérieuses et crédibles ».

Le Sud Ouest du 160211
Partager cet article
Repost0
17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 06:35

Une fois mise en service, la future ligne grande vitesse (LGV Sud-Ouest) mettra sept ans pour afficher un bilan écologique positif. C'est du moins ce qu'affirme Réseau Ferré de France, le maître d'ouvrage du projet. Pour arriver à cette durée « d'amortissement », ses ingénieurs ont fait leurs calculs en « tonnes équivalent carbone ». Ils ont mis en balance la quantité gaz à effet de serre qui sera générée durant le chantier et celle qui sera économisée quand des milliers d'usagers préféreront le train à l'avion ou à la voiture.

20 Minutes Toulouse

Partager cet article
Repost0
17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 06:28

Maxime-Boyer.jpgÀ 25 ans, il est l'un des plus jeunes candidats aux élections cantonales. Etudiant en master d'économie et droit, Maxime Boyer (UMP) est l'espoir de la droite à Toulouse. Il est en train de faire ses premières armes sur le canton 4 qui regroupe Les Minimes, Compans, Sept-Deniers, Amidonniers, Barrière de Paris, Béarnais et Ponts-Jumeaux : « Le quartier qui est le mien depuis que je suis, né ; je suis un enfant des Minimes » explique le jeune candidat, qui a succédé en cours de route à Marie-Hélène Mayeux-Bouchard, initialement investie par l'UMP sur le canton : « J'ai perdu six mois pour faire campagne ». Celui qui a fait de Jean-Claude Gaudin son « mentor » - il a effectué un stage intensif de politique locale l'été dernier à la mairie de Marseille - se présente comme « le candidat du renouvellement et du rajeunissement ». Maxime Boyer a « un projet pour le canton » : des navettes interquartiers qui relient les petites rues aux axes principaux des transports en commun ; la création « d'un véritable musée Nougaro » aux Minimes ; une « maison de vie » sur le quartier qui regrouperait crèche et maison de retraite ; un coup de pouce au commerce de proximité « avec la création de tickets du commerce, des bons d'achat à dépenser dans le quartier sur le modèle des chèques lecture ».

« Il faut inventer de nouveaux projets » martèle le candidat de l'UMP, qui assure qu'en cas d'élection « il ne sera que conseiller général ». Pour livrer bataille avec le conseiller général sortant, Jean-Michel Fabre (PS), il sera accompagné par l'expérimentée conseillère régionale d'opposition Marie-Pierre Chaumette (MPF), sa remplaçante.

La Dépêche du Midi du 170211

Partager cet article
Repost0
17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 06:20

TGV_561.jpgAprès la manifestation devant la sous-préfecture de mardi soir, le maire de Cuxac d'Aude avait organisé hier matin, une conférence de presse-publique. Plusieurs maires de villes concernées par le tracé de la ligne grande vitesse (appelée LGV) avaient tenu à être présents.

André Pla (La Palme), Jean Desmidt (Caves), Patrick Tarrius (Fitou), Christian Théron (Roquefort), mais aussi Gilbert Pla au titre de président du syndicat mixte du Delta de l'Aude et Marie-France Montosson du collectif de défense des Moussanais ont pris la parole à tour de rôle. Et à vrai dire, ils sont furieux. « Nous sommes pour le progrès et le TGV » disent-ils en chœur. « Mais on ne veut pas le dernier tracé, celui de l'ouest ».

Le maire Jacques Pociello monte au créneau. « On veut un éloignement de l'infrastructure, que la ligne passe sur un viaduc total des basses plaines de l'Aude. Mais on veut aussi préserver la viticulture cuxanaise. On sait que techniquement, il est possible de modifier le tracé ». Gilbert Pla rajoutait, « Avec le souvenir des inondations de 1999, je comprends les craintes et les exigences des Cuxanais. Je propose un tour de table État, RFF et villes impactées. Car il est urgent de ne pas attendre les conclusions finales. J'en appelle à la volonté de concertation et d'écoute. Oui au TGV mais pas de n'importe quelle façon ». Christian Théron demande alors à tous d'être solidaires. « On doit faire bloc ». Le pot de terre va tenter de renverser le pot de fer. Un collectif des maires de Cuxac d'Aude, Salses, Fitou, Roquefort, La Palme et Caves, va être créé.

Ce soir à 17 h 30, le Grand Narbonne se réunit à l'occasion de l'installation des nouvelles communes et de ses membres. En tant que membre, Jacques Pociello sera présent. Mais il invite tous ceux qui veulent s'opposer au tracé ouest de la LGV à venir manifester. « On arrive à être de plus en plus nombreux ».

La Dépêche du Midi du 170211

Partager cet article
Repost0
16 février 2011 3 16 /02 /février /2011 07:58

Le train qui effectue la liaison entre la Sologne et le Berry est menacé de fermeture si des travaux de réfection ne sont pas effectuer. Mais l'argent manque.

Partager cet article
Repost0