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4 juillet 2011 1 04 /07 /juillet /2011 07:18

insolite-01.jpgHier vers 13 heures, une riveraine du canal, route de Lacourt-Saint-Pierre à Montech, se rend compte que de l'eau arrive dans son jardin. Elle alerte immédiatement les pompiers qui arrivent et qui constatent une brèche importante dans le canal, brèche vraisemblablement due aux dégâts causés par les ragondins qui pullulent dans le secteur.

Gilbert Valentin et Chantal Monbrun, adjoints d'astreinte, arrivent également sur les lieux avec le représentant de VNF (Voies navigables de France). Ce dernier engage des discussions avec sa hiérarchie. Un riverain interpelle le représentant de VNF : « Il y a urgence, l'eau arrive à proximité de certaines habitations. »

Déjà, un garage a été évacué de sa moto par son propriétaire, des tondeuses ont pris l'eau, plusieurs maisons sont menacées. Un deuxième riverain regrette que des travaux de consolidation aient été effectués du côté du camping et pas du côté des habitations. Le débit du trou est d'environ 0,2 à 0,3 m3 par seconde.

VNF devait enfin ouvrir des vannes pour faire baisser le niveau d'eau du canal et Gilbert Valentin faisait venir une pelle mécanique avec du personnel de la mairie afin de colmater momentanément la brèche.

Dans la soirée, les riverains commençaient à respirer grâce à l'intervention de la mairie, mais jusqu'à quand ? Des menaces subsistent à cause des ragondins. Des travaux sécuritaires devraient être effectués.

La Dépêche du Midi du 040711

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3 juillet 2011 7 03 /07 /juillet /2011 07:05

TGV_837.jpgLa communauté d'agglomération s'oppose au tracé privilégié par Réseau Ferré de France qui verrait passer la LGV sur l'Agenais sur la rive de Boé, avec deux ponts sur la Garonne.Le débat fut très nourri jeudi soir.

Ils ont bataillé, vidé leurs sacs, sont allés au bout de leurs raisonnements, exhorté les autres délégués de la CAA à partager leur point de vue. Au moment du vote, 30 se sont prononcés pour le tracé de la LGV adossé au pied de la rive gauche (HT226), 13 ont voté contre, 2 se sont abstenus.

«Il faut avoir le courage de recourir à un vote public.Avez-vous envie de peser dans le débat, dans une lutte d'influence ou donnez-vous un blanc-seing à RFF?».

Jusqu'à la dernière minute, Jean Dionis du Séjour a bataillé pour entraîner les délégués à adhérer au choix du bureau de la CAA, à préserver le patrimoine paysager.

Le débat pourrait laisser des traces. Apparemment seul à défendre la troisième solution, le tracé du Grand Sud épargnant à la fois Le Passage, Boé et Layrac, Jean Barrull ressemblait à un ténor du barreau.Le tracé Grand Sud a été «balayé d'un revers de main.»Le maire du Passage a évoqué une «pseudo consultation» quand tout était décidé.

Points de vue

Sa défense a touché Corinne Griffond qui s'est engagée nettement (il existe trop d'interrogations pour se prononcer sur le tracé HT 226), et plusieurs délégués de Bon-Encontre dont Pierre Trey d'Ousteau (il faut remettre le vote pour intégrer plus de données) et René Corne pour qui le courage politique consiste à se prononcer quand sa commune est concernée.

Alain Veyret, favorable à la ligne existante, n'a pas pris part au vote.

Pierre Pujol, un maire «en colère», assuré du soutien dans la salle d'adhérents de l'association «Ouvrons l'œil» a défendu sa cause, celle d'un tracé (HT222) moins onéreux de 120M€, ne passant pas au pied du prieuré mais a renoncé à un vote à bulletins secrets.

Christain Dézalos celle de Boé en évoquant un «préjudice majeur».

In fine,a tranché Jean Dionis du Séjour: «le dommage fait à Boé est supérieur à celui fait à Layrac.» Il saluera l'attitude de Pierre Camani, du président de la Région Aquitaine, Alain Rousset, des élus du Tarn-et-Garonne. La LGV fait bouger les lignes politiques.


Bordeaux-Tours: feu vert pour le financement

Alain Bédouret a-t-il perdu ses repères politiques? L'élu agenais, membre de l'opposition, a fait siennes les conclusions du député UMP Hervé Mariton dubitatif quant à la rentabilité du projet LGV/GPSO.. Au «temps considérable gagné» de JDDS, Christian Dézalos oppose la méthode qui consiste à ponctionner les contribuables locaux. Alain Veyret dénonce «le désengagement total de l 'État» et l'inégalité de traitement entre Parisiens et Lot-et-garonnais. 29 pour le financement des travaux entre Bordeaux-Tours, 19 contre et une abstention.

La Dépêche du Midi

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 06:46

groupe-15.jpgA l’occasion de la séance plénière du Conseil régional, qui se déroule toute la journée aujourd’hui, les élus ont été amenés à se prononcer sur le compte administratif 2010.

Ce document est un bilan annuel des politiques menées par la collectivité régionale et est supposé nous donner la réalité des dépenses effectives par rapport aux annonces faites lors du vote du budget. C’est là que le bât blesse !

La Région n’a de cesse de nous annoncer un taux d’exécution de 90%. Ce qui voudrait dire qu’elle tient ses engagements à cette hauteur.

Mais il s’agit là d’un tour de passe-passe qui ne trompe personne : la réalité est que ce taux est de 85%. Ce décalage peut paraître infime mais, traduit en espèces sonnantes et trébuchantes, ce sont plusieurs millions d’euros qui manquent à l’appel.

La Région n’a eu de cesse de nous annoncer des « grands plans » depuis mars 2010 : plan sur l’environnement, sur la formation professionnelle, sur l’enseignement supérieur et le recherche, sur l’économie… Autant de schémas assortis de centaines de millions d’euros qu’on a du mal à retrouver sur le terrain.

On s’étonne d’ailleurs que ce soient précisément les domaines où la majorité régionale s’enorgueillit le plus de ses actions que le bilan est faible :
- L’action sociale : 70% d’exécution des promesses
- L’environnement : 72% d’exécution des promesses
- Les transports : 78% d’exécution des promesses

Un chiffre ne trompe pas : en 2 ans, le montant consacré aux politiques territoriales a diminué de 10M€. Ce sont autant de subventions, d’aides dont les collectivités ne bénéficieront pas pour développer leurs territoires.

On s’étonne aussi que la situation catastrophiste, que Martin Malvy et sa majorité n’ont cessé de nous annoncer, ne soit pas tout à fait au rendez-vous de leur espoirs s’agissant de l’accompagnement de l’Etat. Ce dernier a même augmenté ses dotations de 70M€ en 2 ans.

La majorité régionale va donc devoir trouver un nouveau bouc-émissaire pour expliquer sa politique de restriction budgétaire vis à vis des associations, clubs de sport, communes…

Osons Midi Pyrénées
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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 06:42

Taponier-et-Ghesquiere.jpg

Hervé Ghesquière et de Stéphane Taponier

L’UMP 31 se réjouit vivement de la libération des journalistes de France Télévision Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, retenus en otage en Afghanistan depuis 18 mois.

 

Il s’agit là d’une excellente nouvelle bien sûr pour les familles des deux journalistes et leurs collègues mais aussi pour la liberté de la presse sans laquelle il ne saurait y avoir de démocratie.

C’est d’ailleurs à ce titre que le président de l’UMP 31, Jean-Luc Moudenc, avait manifesté sa constante solidarité en participant aux actions de soutien organisées par la rédaction de France 3 Sud à Toulouse.

Il convient enfin de saluer l’action décisive des chefs d’Etat français, Nicolas Sarkozy, et Afghans, Hamid Karzaï pour parvenir à la libération tant attendue d’Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier.

 Pierre ESPLUGAS – Porte-parole UMP 31 .



 

 

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 06:34

TGV_836.jpgLe conseil communautaire d'hier a été riche en débats. Les élus ont choisi de privilégier un tracé « qui préserve l'environnement ».

Alain Bédouret qui se met à citer l'UMP Hervé Mariton, Jean Barrull, maire du Passage-d'Agen, se dressant contre Jean Dionis du Séjour, qui lui-même soutient des deux mains Christian Dézalos, maire de Boé, contre Pierre Pujol, celui de Layrac. Ce même Jean Dionis que salue dans une même phrase « le courage » de Pierre Camani, président du Conseil général, Alain Rousset, celui de la Région. Il n'y a que la LGV pour bousculer les lignes traditionnelles de la politique et déclencher les passions.

De LGV, il a été longuement question hier soir lors du conseil communautaire. Les élus étaient en effet appelés à soutenir « malgré le choix douloureux qu'il constitue », le tracé de la LGV d'un dénommé « HT 226 » qui passe sous les coteaux de Moirax… Et sacrifie Layrac en épargnant Boé. « Je suis un maire en colère », tonne Pierre Pujol. Dans la salle, quelques militants de l'association layracaise Ouvrons l'Oeil qui ont distribué leur argumentaire en début de session.

Barrull fait mouche

Un débat qui ne s'est pas limité à rejeter le tracé chez le voisin. Jean Barrull est monté au créneau pour tenter de réhabiliter le tracé dit Grand Sud « qui épargne à la fois Le Passage-d'Agen, Boé et Layrac ». « Il ne méritait pas d'être ainsi balayé d'un revers de main », s'emporte le maire du Passage-d'Agen. Son argumentaire a fait mouche puisque plusieurs élus, dont Corinne Griffond ou Pierre Trey d'Ousteau, de Bon-Encontre, prêts à demander un report du vote. En vain.

« Reporter ce vote, ce serait dire à Réseau ferré de France (RFF) faites comme bon vous semble », assène Jean Dionis du Séjour. Ce qui compte, c'est la lutte d'influence que la Communauté d'agglomération d'Agen s'apprête à engager. Le choix qui a été fait est « celui de la préservation de notre environnement », insiste Jean Dionis du Séjour. « Et que nous ne sommes pas assurés de gagner », prévient le président. Jean Dionis a été suivi par 30 voix pour, 13 contre, trois abstentions et trois élus qui ne se sont pas associés au vote.

Toujours au chapitre LGV, le financement des travaux sur la ligne Tour Bordeaux a été adopté. Lui aussi presque à l'arrachée : 29 pour, 19 contre et une abstention. Outre les arguments d'Alain Bédouret, reprenant le rapport Mariton sur la « mauvaise rentabilité » de la ligne, ceux d'Alain Veyret qui a longuement expliqué que « les plus favorisés payent le moins », ce sont les élus directement impactés qui ont rallié les rangs des anti LGV. Pour faire pression. Avec grand bruit. Mais sans succès.

Le Sud Ouest
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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 06:12
sarkozy-03.jpgLe Président a affirmé devant les maires du Lot-et-Garonne que la France ne "peut pas vivre au-dessus de ses moyens".

Nicolas Sarkozy a âprement défendu sa politique économique et sociale devant les maires du département réunis en assemblée générale ce jeudi. "Il faut qu'on apprenne à être raisonnable" at-il affirmé,"en comprenant que la France ne peut pas vivre avec des dépenses de fonctionnement au-dessus de ses moyens".

 Vidéo

"Nos compatriotes sont aptes à comprendre et soutenir ce discours" a-t-il ajouté.

Empêcher la France de se retrouver dans la sitaution grecque

Pendant près de deux heures, le chef de l'Etat a défendu ses réformes -carte judiciaire, retraites, diminution du nombre de fonctionnaires, collectivités territoriales- destinées, selon lui, à faire des économies et empêcher la France de se retrouver dans la même situation que la Grèce, l'Irlande et le Portugal.

"Nous payons chaque année 45 milliards d'euros d'intérêts de la dette", qui s'élève à "1.600 milliard d'euros", aussi, "on ne peut pas gâcher un seul euro", a affirmé le président.

A l'heure d'internet, faut-il maintenir les services publics dans toutes les communes ?

"La carte judiciaire datait de 1958, une maternité qui réalise moins de 350 accouchements par an est sanitairement dangereuse. Devez-vous tous garder votre sous-préfecture, votre trésorerie, votre tribunal, votre poste? A l'époque où l'on réserve son billet de train par internet, faut-il mettre la France dans un immense congélateur et faut-il, pour sauver les services publics, que rien ne bouge?", s'est interrogé le président Sarkozy.

Selon lui, c'est grâce à ses réformes que, malgré la crise, les salaires ont pu être "préservés", les dotations aux collectivités "sanctuarisées" et les stabilisateurs sociaux "stabilisés".

"Le pouvoir d'achat a augmenté en 2009", a-t-il plaidé. "Personne ne le croit et pourtant c'est bien ce que disent les statistiques", a-t-il argué.

"Nous empruntons, comme l'Allemagne, à 3,5%" pour rembourser la dette et ses intérêts, alors que "la Grèce emprunte elle à 30%", a-t-il insisté. "Si je n'avais pas fait la réforme des retraites, on serait comme la Grèce", a-t-il répété.

Juste avant de prononcer ce discours, le chef de l'Etat a été agressé alors qu'il effectuait un petit bainde foule devant la mairie de Brax. Un homme a fermement agrippé sa veste et l'a destabilisé. L'homme, immédiatement maîtrisé, a été placé en garde à vue.

Lire : un homme agresse Sarkozy à Brax

France 3 Aquitaine
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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 06:06

moudenc-04.jpgA l’occasion du remaniement ministériel opéré mercredi 29 juin 2011, Jean-Luc Moudenc, désormais chef de l’UMP dans le département de haute Garonne « se félicite de l’entrée au Gouvernement de trois ministres de sensibilité centriste, François Sauvadet, Ministre de la Fonction publique, Jean Léonetti, Ministre des affaires européennes et de Marc Laffineur, Secrétaire d’Etat à la Défense ». Deux personnalités qui avaient pris leurs distances avec Jean Louis Borloo et l’alliance centriste et un proche de Jean Pierre Raffarin.

«Le rééquilibrage au sein du Gouvernement en faveur des centristes est une bonne nouvelle. La formation de ce Gouvernement renoue avec l’esprit qui avait animé la fondation de l’UMP, c’est-à-dire le rassemblement des familles gaulliste et centriste » a commenté le président de l’UMP 31, Jean-Luc Moudenc.

« L’arrivée de ces nouveaux ministres renforce sensiblement l’influence des centristes au sein Gouvernement déjà représentés par deux autres ministres, Michel Mercier, Ministre de la justice et Maurice Leroy, Ministre de la Ville ; centriste moi-même je m’en réjouis » a-t-il poursuivi.

« Ce remaniement ouvre, je l’espère, la voie au Rassemblement et à l’Union entre les différentes familles de la droite et du centre dans la perspective des prochaines échéances électorales » a conclu un Jean-Luc Moudenc qui n’a pas tenu à commenter l’absence de ministre originaire de la grande région Midi Pyrénées dans les gouvernement Fillon successifs.

Pour l’heure, ni les représentants locaux du Modem de François Bayrou, ni les proches de Jean Louis Borloo ou Hervé Morin ne sont exprimés sur la portée de ce nouveau remaniement ministériel.

Toulouse 7

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 05:55

TGV_835.jpgLa notion d'intérêt général n'est pas la même pour tout le monde. Dans son plaidoyer, le maire de Layrac, Pierre Pujol, a exhorté ses collègues à privilégier l'intérêt général en choisissant le tracé proposé par Réseau ferré de France (Le Passage-Caudecoste), le « HT 222 » d'un coût de 526 M€ comportant le franchissement de la Garonne par deux ponts à Boé plutôt que l'autre option, notamment défendue par Agen et Boé (surcoût de 120 millions d'€), le « HT226 ».

Pourquoi ? Pour surtout éviter « une faute au niveau économique ». L'intérêt général ? « Au terme de très longs débats, humainement difficiles, une large majorité s'est prononcée pour l'option environnementale la mieux maîtrisée , celle présentant un compromis financier acceptable, le tracé adossé à la Garonne, sur la rive gauche ». Le dilemme était le suivant, selon le président de la CAA : suivre le couloir de l'autoroute rive gauche-Moirax en suivant le couloir de l'autoroute pour éviter d'augmenter les nuisances ou opter pour celui impactant le patrimoine paysager ? «Nous avons choisi l'environnement, pas le prix, avec un surcoût de 120 M€ à relativiser ».

La ligne GPSO est de plus de 9 milliards d'euros. L'agglomération a fait économiser 200 millions d'euros à RFF pour la gare TGV. Qualifié de « douloureux », le choix du tracé HT 226, n'a pas été facile ». Après un débat nourri, les élus ont validé le choix du bureau. « Si une majorité importante se dégage, nous allons nous battre ! », avait averti Jean Dionis du Séjour.

La CAA s'est prononcée sur la participation d'un premier tronçon Tours-Bordeaux. Sur les 24 millions d'euros de l'engagement financier pris dans la convention-cadre de juillet 2009, a dégagé 9,9 millions d'euros.

L'option « grand sud » s'écartant du fuseau retenu et défendue par le maire du Passage a été classée irrecevable par RFF. Son étude avait été réclamée par la CAA.

Recalibrage de la RN 21. La CAA a validé le plan de financement des travaux de recalibrage de la RN 21, dans les secteurs de Monbalen et de La Croix-Blanche. Sur un programme de 30 M€, la participation de l'agglomération est de 3,42 M€, celle du conseil général de 7,81 M€, celle de la communauté de communes du Grand Villeneuvois de 0,77 M€.

La Dépêche du Midi du 010711

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30 juin 2011 4 30 /06 /juin /2011 10:51

Ump logoCONVENTION SUR L'AVENIR DE LA DEMOCRATIE SOCIALE
POUR UN DIALOGUE SOCIAL EFFICACE ET APAISE

Mardi 5 juillet 2011, de 16h00 à 19h00

Méridien Etoile - 81 Boulevard Gouvion Saint-Cyr • 75017 Paris


La France a le taux de syndicalisation le plus faible des pays de l'OCDE, autour de 8%. Pour beaucoup de Français, le dialogue social est synonyme de grève et de conflit. La concertation sociale est trop souvent perçue comme un jeu de rôle entre les syndicats et le patronat qui s'opposent et le gouvernement qui prend une décision en dernier ressort sans toujours tenir compte de l'avis des partenaires sociaux.

Pourtant, comme la démocratie politique, la démocratie sociale est une composante indépassable de notre République. La faiblesse du dialogue social a un coût économique et social important.

La sortie de crise est l'occasion de mettre les choses à plat et repartir du bon pied. Il est temps de passer de la défiance à la confiance en responsabilisant les partenaires sociaux.

• Comment définir clairement ce qui relève de la loi et donc de l'Etat, ce qui relève de la convention et donc des partenaires sociaux et ce qui doit être partagé entre les deux ?

• Comment donner aux partenaires sociaux les moyens d'être des acteurs efficaces d'une démocratie sociale apaisée ?

• Comment faire du dialogue social un outil au service de l'emploi pour tous ?


- Venez en débattre autour des partenaires sociaux et réservez dès à présent votre place en confirmant votre présence à :

www.projet-ump.fr/inscription
(Réponse obligatoire – nombre de places limité)

- Vous pouvez aussi nous faire parvenir vos propositions pour contribuer à ce grand débat en participant au débat sur www.projet-ump.fr

Vous trouverez, en cliquant sur ce lien, une invitation personnelle.

Merci pour votre engagement

Jean-François COPE

 

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30 juin 2011 4 30 /06 /juin /2011 10:44

TGV 322« Chers adhérent(e)s, Les Membres du bureau de STRES ont participé à la réunion extraordinaire de l’Union pour la Sauvegarde des Villages, ils ont voté et accordé leur confiance à l'USV. Nous ne pouvons pas accepter le tracé D de la future ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, qu'une partie de Saint Rustice disparaisse de la carte, que notre  village soit défiguré, détruit et que nous perdions des amis. C'est pourquoi, nous soutenons l'USV, dans sa démarche en  vue de l'amélioration des lignes existantes. Nous ne manquerons pas de vous tenir au courant de la suite de cette  démarche. Croyez, chers adhérent(e)s à notre dévouement et nous comptons sur vous pour nous soutenir. Recevez nos  cordiales salutations associatives. » La Présidente Anne Marie Taleux

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