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25 mai 2010 2 25 /05 /mai /2010 10:14

brigitte-barege-42.jpg"Chaude semaine pour la député maire de Montauban désormais élue au Conseil régional de Midi Pyrénées. Celle qui cumule désormais 3 mandats politiques a décidé de rester, malgré ses déclarations de campagne, député UMP du Tarn et Garonne. A ce titre, Brigitte vient de se voir confier par le Premier ministre François Fillon, une mission sur la pratique de l’accouchement dans l’anonymat communément appelé « accouchement sous X ». Pour mener à bien cette mission, l’avocate, maire, député, et conseillère régionale travaillera auprès de la Secrétaire d’État chargée de la famille et de la solidarité de Nadine Morano.

Juriste de formation, Barèges a pour mission de « procéder à un état des lieux de la législation actuelle en France et dans d’autres pays, évaluer la législation de l’accouchement dans le secret (avantages, inconvénients), et faire des recommandations sur l’opportunité d’une éventuelle évolution du droit d’accoucher dans le secret et en déterminer les modalités de mise en oeuvre« .

Par ailleurs, désormais chef de file de l’opposition au Conseil régional de Midi Pyrénées, Barèges a interpelé Martin Malvy sur le train de vie du Conseil Régional et demande « l’exemplarité des élus pour lutter contre la crise financière" . Toulouse 7 news du 210510

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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 05:57
veyrac.jpgSécurité : Christine de Veyrac aux Entretiens de Beauvau, aux côtés de Brice Hortefeux

Depuis sa prise de fonction, le Ministre de l'Intérieur a pris l'habitude de recevoir chaque mois une délégation d'élus à son Ministère afin de faire le point sur les questions de sécurité. La Présidente de l'UMP31 fait  partie depuis l'origine des personnalités politiques associées à ces rencontres. Mardi soir, elle participait ainsi à ces "Entretiens de Beauvau", au cours desquels Brice Hortefeux a rappelé et expliqué les fondements de la politique conduite par le Gouvernement pour faire reculer la délinquance. Le Ministre a aussi pris le pouls des problèmes pouvant se poser localement. A cette occasion, Christine de Veyrac a sensibilisé Brice Hortefeux aux problèmes de délinquance "qui se posent, aujourd'hui, avec une particulière acuité à Toulouse", "du fait notamment de l'inertie des collectivités locales, qui ne relaient pas activement la politique de l'Etat". La députée européenne a ainsi regretté "qu'à Toulouse, alors que l'Etat est prêt à co-financer la vidéoprotection, la municipalité, pour des raisons idéologiques, s'y refuse".

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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 05:50
lasterle.jpgSauvegarder notre système de retraite tout en préservant la compétitivité de nos entreprises : c'est le double défi que nous devons relever, et c'est possible !

Philippe LASTERLE, référent retraite de l’UMP 31, répond aux questions du Petit Journal.

 

Le Petit Journal : Pourquoi faut-il réformer notre système de retraite ?

Philippe Lasterle : Parce qu’il est en danger, parce que les Français y sont attachés et parce que jeter un voile pudique sur les problèmes auxquels il est confronté aurait pour double conséquence inéluctable d’abaisser le niveau des pensions (ce qui est socialement inacceptable) et d’alourdir la dette publique (ce qui est économiquement insupportable). Notre système de retraite est né au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Il repose sur le principe de solidarité entre les générations et constitue l’un des piliers de notre contrat social. Il fonctionne par répartition, ce qui signifie que les cotisations des actifs d’aujourd’hui servent à payer les pensions des retraités d’aujourd’hui et permettent aux actifs d’acquérir des droits à pension. Au régime de base est progressivement venu s’ajouter un régime complémentaire pour les salariés du secteur privé, devenu obligatoire en 1972. En dépit de sa complexité, de la multiplicité des régimes (public, privé, artisans, exploitants agricoles, professions libérales...) et de l’existence de régimes dits spéciaux, notre système a très bien fonctionné pendant plus de cinquante ans, permettant, en particulier, aux retraités d’améliorer leur niveau de vie et aux plus fragiles d’entre eux de bénéficier d'un « minimum vieillesse ». Aujourd’hui, les retraités ont ainsi un niveau de vie quasi équivalent à celui des actifs. Quelques chiffres qui parlent d’eux-mêmes. On compte près de 15 millions de retraités, dont 1,7 million issus de la fonction publique et 1 million de bénéficiaires du « minimum vieillesse » (qui s’élève à 709 euros/mois pour une personne seule et 1157 euros/mois pour un couple). La retraite moyenne atteint (public et privé confondus) 1 350 euros/mois. L’âge moyen de liquidation, c’est-à-dire l’âge de départ effectif à la retraite, est de 61,5 ans. Le total des prestations versées chaque année au titre des pensions atteint (tous régimes confondus) 272 milliards d’euros (176 milliards au titre du régime de base, 62 milliards au titre des régimes complémentaires et 34 milliards au titre des pensions de la fonction publique). C'est considérable. C’est plus que les dépenses de l’Etat (240 milliards) ou de l’assurance-maladie (162 milliards). Cela représente 13 % du PIB. C’est dire l’importance des retraites dans notre économie et dans le bien-être de tous.

Notre système de retraite par répartition est un élément essentiel de notre contrat social. Il faut le sauvegarder.



Le Petit Journal : Alors, que faire pour sauvegarder le système ?

Philippe Lasterle : Le dossier est complexe. Mais il y a aujourd’hui consensus sur le diagnostic et sur les enjeux. Il convient de s’entendre sur les moyens à mettre en œuvre. Et, pour cela, il faut jouer cartes sur table et explorer toutes les pistes. A cet égard, le ministre du Travail, Eric WOERTH, a récemment déclaré que "tout est ouvert". Quels sont les leviers, les paramètres que l’on peut actionner ? Il y la durée de cotisation (164 trimestres en 2012), le taux de cotisation (il s’établit à 16,65 % pour le régime de base et a pratiquement doublé depuis 1967), l’assiette (certains revenus ne sont pas assujettis aux cotisations vieillesse), l’âge légal du départ à la retraite (il est fixé à 60 ans depuis 1982 alors que la plupart des pays européens l’ont fixé à 65 ans) et le salaire de référence servant de base au calcul des pensions (la situation du public apparaît à certains comme un privilège). Il convient certainement de déplacer certains curseurs afin de trouver la meilleure architecture, celle qui garantira le financement durable du système sans alourdir exagérément les prélèvements obligatoires (43 % actuellement). Il n'y pas de solution miracle, de panacée. Les marges sont limitées. La voie est étroite. Mais les solutions existent. Le COR a ainsi calculé qu’en fixant à 63 ans l’âge légal du départ à la retraite - âge raisonnable étant donné les gains d’espérance de vie - nous dégagerions 6 milliards d’euros. Combinée à d’autres mesures, telle que l’allongement de la durée de cotisation, elle serait, de l’avis de tous les experts, une mesure efficace. A l’inverse, la hausse des cotisations risque d’alourdir le coût du travail et donc de pénaliser les entreprises. Il convient donc d’agir de façon mesurée pour trouver la meilleure combinaison. Deux autres pistes doivent aussi être creusées. D’abord, l’amélioration du taux d’emploi des jeunes, via la promotion de l'apprentissage par exemple, et celui des seniors, par le biais d’une politique de formation continue mieux ciblée et du cumul emploi/retraite. Ensuite, l’instauration de recettes supplémentaires à travers, par exemple, la taxation des revenus du capital. Cette piste a été avancée par le Président de la République lors du sommet social à l’Elysée le 10 mai. Enfin, une question importante – je veux parler de la pénibilité – devra faire l’objet d’une réflexion spécifique car il est légitime de vouloir partir plus tôt à la retraite lorsque l’on a exercé une profession pénible (travail de nuit, exposition à des matières dangereuses…).

Les marges de manœuvre sont limitées. Mais des solutions existent. Le pire serait de ne rien faire.

 

Le Petit Journal : La réforme pourra-t-elle être votée d’ici la fin de l’année ?

Philippe Lasterle : Je le crois et je le souhaite. Le Président de la République et le Premier Ministre veulent réussir cette réforme. Ils ont pour cela fixé un calendrier clair qui s’articule en trois temps : celui de la concertation (nous y sommes), celui de la discussion au Parlement (à la rentrée) et celui du vote (attendu pour le mois d’octobre). Les partenaires sociaux sont conscients des enjeux. Quant aux Français, ils la soutiendront si elle est bien expliquée et si les efforts sont équitablement partagés. A cet égard, les parlementaires, dont le régime de retraite est relativement avantageux, pourraient utilement montrer l’exemple. Equité et pédagogie sont donc les deux conditions de la réussite. J’en ajoute une troisième : la nécessité de positiver et non pas de politiser cette réforme. Je veux dire par-là que la réforme des retraites n’est ni une réforme de droite ni une réforme de gauche. C’est une réforme de bon sens et de responsabilité vis-à-vis des actifs et des retraités.

Les seniors ne sont pas une charge mais une chance pour notre pays.

 

Le Petit Journal : Un mot pour terminer ?

Philippe Lasterle : Je voudrais dire que les seniors ne sont pas une charge pour le pays mais une chance. Ils sont des acteurs majeurs de notre société, de notre économie. Ils sont au cœur des solidarités familiales, de la vie associative... Bref, ils sont un maillon fort de notre société. Cette réforme, qui s’appliquera aux retraités de demain, est un pari sur l’avenir. Il vaut la peine d’être relevé.

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11 mai 2010 2 11 /05 /mai /2010 05:32

Ump logo"Comme je vous l’avais indiqué, nous souhaitons préparer très en amont les prochaines élections cantonales afin d’offrir les meilleures chances à nos candidats.
Nous avons ainsi demandé à Christel WITT de piloter la rédaction d’un Projet départemental d’alternance à la politique conduite depuis de nombreuses années par le Conseil Général (à charge ensuite pour les candidats de l’enrichir avec des aspects purement cantonaux).
Pour mener à bien ce travail, nous avons besoin des idées et des propositions de chacun.
C’est la raison pour laquelle nous demandons à celles et à ceux d’entre vous qui souhaitent apporter leur contribution à cette réflexion de bien vouloir nous le faire savoir, en répondant à ce mail ( ump31@wanadoo.fr ) ; vous serez ensuite contacté(e) par Christel MAURY WITT afin de définir les modalités de votre participation.
L'idée est de constituer des groupes de travail sur les principaux secteurs de compétence du Conseil Général (santé et social, développement durable, économie, transports, éducation et transports scolaires, agriculture et ruralité, finances .) ; ces groupes auditionneront des élus et personnalités issues de la vie professionnelle, examineront le bilan de la Majorité départementale, et formuleront à terme des propositions.
Par avance, avec les candidats, nous vous remercions de votre participation.

Je profite de ce mail pour vous rappeler que Mercredi soir, à 18h30, nous organisons à Toulouse, salle Osète (6, rue Lieutenant-Colonel Pélissier), un débat sur « Quelles réformes pour financer nos retraites ? ». Il sera co-animé par notre référent départemental sur le sujet, Philippe Lasterle, et par Michel Lages, directeur honoraire de la CRAM en Midi-Pyrénées, spécialiste des questions sociales."
Christine de Veyrac, Présidente départementale de l’UMP – Député européen


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10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 05:37

Ump logo"Dans le cadre de la réforme sur les retraites actuellement en préparation, nous avons le plaisir de vous convier à un débat qui se déroulera : Mercredi 12 mai 2010, à 18h30, salle Osète (6, rue Lieutenant-Colonel Pélissier), à Toulouse
sur le thème : "Quelles réformes pour financer nos retraites ?".

Cette réunion sera animée par notre référent départemental retraites, Philippe Lasterle (qui adressera ensuite à Paris une synthèse exprimant nos attentes et nos propositions sur le sujet).

Pour éclairer notre débat, nous aurons également la chance d'accueillir un spécialiste des questions sociales, Michel Lages, directeur honoraire de la CRAM Midi-Pyrénées.

En espérant vous retrouver Mercredi prochain, bien amicalement"

Christine de Veyrac, Présidente départementale de l'UMP

Chantal Dounot, Secrétaire départementale de l'UMP

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6 mai 2010 4 06 /05 /mai /2010 10:22

Christine-de-Veyrac.jpg« Trois ans après l’élection de N.Sarkozy, l’heure n’est pas au bilan. L’heure est à l’Action. Sortir le pays de la crise, voilà la priorité !  » a déclaré la secrétaire départementale de l’UMP et député européenne Christine de Veyrac.

Pour celle qui avait battu Jean Luc Moudenc lors des élections internes en Haute Garonne « Le Président et le Gouvernement s’y efforcent en réhabilitant la valeur du travail, en soutenant le pouvoir d’achat des plus vulnérables, en soutenant l’emploi (cf. par ex. les mesures en faveur de l’industrie automobile), en maintenant le financement de l’économie (sauvetage du système bancaire), et en obtenant de nos partenaires une régulation plus ambitieuse du capitalisme. »

« Aujourd’hui » estime la député européenne, « la France est l’un des pays européens les mieux armés pour sortir du marasme général… loin des soubresauts de certains de nos partenaires comme la Grèce« .

Au plus bas dans les sondages Nicolas Sarkozy doit faire face, précise la chef de file de l’UMP dans le département, à  « De nouveaux défis » :  « franchir une nouvelle étape dans la lutte contre l’insécurité (entravée par l’inertie des pouvoirs locaux), garantir le financement futur des retraites, et maintenir nos efforts en faveur du développement durable« .

« Là est notre ambition : celle de l’action et du travail pour tenir l’ensemble des engagements pris en 2007 afin de redresser notre pays » a conclu une Christine de Veyrac un temps pressentie pour rejoindre le gouvernement. " Toulouse 7 news

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6 mai 2010 4 06 /05 /mai /2010 05:19

Chantal Dounot"Chers Amis, A l'occasion de la date-anniversaire de l'élection du Président de la République, l'UMP31 organisera un débat, jeudi 6 mai, à 19h30, à la permanence départementale (6, rue Gabriel Péri - Toulouse), sur le thème : "2007-2010 : où en est la France, 3 ans après l'élection de N.Sarkozy ?" Ce débat sera animé par Stéphane Beaumont, Maître de conférences en science politique, à l'Université Toulouse 1. Le débat sera également précédé à 18 h d'un chat, avec Xavier Bertrand, Secrétaire Général de l'UMP, sur le site du Mouvement Populaire : www.lemouvementpopulaire.fr . Vous pouvez y participer en posant vos questions depuis votre ordinateur personnel, ou en venant à la fédération avant l'intervention de Stéphane Beaumont. Le verre de l'amitié clôturera le débat."

Chantal Dounot, Secrétaire départementale de l'UMP

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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 13:02

20 minutes 290410Tous les journaux et les radios de la région, posent tous la même question : Quand Brigitte Barèges va-t-elle démissionner de son poste de députée ? ... Elle demande aux "prétendants" à sa succession de prendre leur mal en patience ...

 

 

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25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 08:09

thierry faye 1"Une certaine personne faisant de la politique depuis longtemps à Castelnau, que nous appellerons P.C pour gagner de la place, ne fait que parler et écrire sur des actes ou des pensées appartenant à d'autres personnes et maintenant il se permet de critiquer « un petit groupe » qui a pris conscience que leur bien familiale pouvait disparaître pour laisser place à la ligne LGV. Quoi de plus naturel que de vouloir défendre son bien foncier, ses richesses, ses souvenir de famille que l'argent ne pourra jamais remplacer. Pour votre information P.C, en espérant que vous pourrez vous reconnaître, le petit groupe fait parti du collectif  « Union Pour La Sauvegarde Des Villages » qui est constitué de dix sept  communes ce qui fait plutôt un grand groupe. A aucun moment le collectif n'a voulu avoir une étiquette politique car ce n'est pas la politique qu'il faut défendre mais le bien de chacun. Pourquoi dites vous que ces personnes se servent de cette situation désespérante pour les familles qui pourraient êtres touchées, afin d'en tirer un certain profit politique ou personnelle ? Quand vous dites que des personnes se servent afin d’en tirer un certain profit politiques ou personnelles de cette situation, on s’aperçoit dans un 1er temps que ces personnes prennent sur leurs temps de vie familiale, ont proposé un autre tracé LGV impactant beaucoup moins de maison, donc plus économique pour la région, l’état, RFF et surtout nos impôts. Des personnes, comme dans cet exemple se sont investies dans la vie pour le bien de ceux qui justement, comprenaient le problème mais qui n'avaient pas la force et la possibilité de l'exprimer. Mais vous P.C, qu'avez-vous fait pour les aider plutôt que de leur dire qu’ils ne sont que des perdants ? Ce qui est vraiment dommage, c'est que vous ne parlez et écrivez principalement sur des actes ou des pensées appartenant à d'autres personnes. Que faites-vous P.C encore une fois ? Vous reprenez ce qui a déjà été dit et pourquoi ce ne serait tout simplement pas vous qui profiteriez de cette situation pour vous mettre plus en valeur et vous vous trouveriez en première ligne pour affronter politiquement la majorité en place dans notre région ? Ce qu'il vous faut savoir c'est que le collectif représente une union de personnes qui ont la volonté de se battre pour se faire entendre. Je pense vous dire tout simplement P.C, qu'il y a ceux qui se battent pour avancer et ceux qui baissent très rapidement les bras. Le collectif n'a pas d'étiquette politique mais il représente une partie de la définition de notre république car il est la preuve toute faite de la fraternité." Thierry Faye, UMP 31 du Canton de Fronton

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7 avril 2010 3 07 /04 /avril /2010 09:00

« Je voudrais faire un simple petit retour sur l’histoire en rappelant qu’après la guerre mondiale, le Général De Gaulle a donné le droit de vote aux femmes. Il a été le premier homme d’état de droite à faire reconnaître l’égalité de la femme à l’homme. Industriellement ce qui a réellement permis à la France d’être fière, les engagements pris suite à la volonté et la force de croire à l’aboutissement des enjeux lancés, par le gouvernement en place, sont par exemple :

L’accord pour le lancement de la réalisation de la ligne à grande vitesse (LGV) en France, fut lancé par un gouvernement de droite. L’accord pour le lancement de la réalisation de la première centrale nucléaire en France, fut  lancé par un gouvernement de droite. L’accord pour la création d’Airbus, fut lancé par un gouvernement de droite.

C’est toujours avec fierté que nous parlons du développement technologique pour les besoins de la réalisation du train à  grande vitesse (TGV). C’est toujours avec fierté que nous parlons du développement technologique pour les besoins de  la réalisation des centrales nucléaires. C’est toujours avec fierté que nous parlons du développement technologique  pour les besoins de la réalisation des avions Airbus comme celui qui n’a jamais trouvé d’égal, le 1er avion  supersonique commercial, le Concorde et l’A380 qui, pour ce dernier, est un avion des plus agréable et confortable pour voyager. Croyez vous sincèrement qu’un gouvernement de gauche en place aurait permis ces réalisations ?

Nous resterons attentif à la mise en place des idées copiées sur le programme de Brigitte Barèges ainsi que celles  trouvaient durant de la campagne des régionales. Nous resterons attentifs pour que l’alliance de M. Malvy, M. Onesta  et M. Picquet, relance l’emploi et le développement dans notre région. Nous resterons attentif pour leurs rappeler qu’ils  ont été élus pour accomplir des tâches, des missions pour le bien de notre région et pas seulement pour s’assurer une  place bien confortable. Nous resterons attentifs pour qu’une autre augmentation des impôts ne soit pas la première  ressource d’inspiration de notre trio de gauche. Rappelez-vous qu’en période de crise, les impôts locaux ainsi que les  impôts fonciers ont augmentés considérablement et en aucun cas la crise et le gouvernement ne sont responsables de  ces abus, bien au contraire. Les élus de gauche ne font que nuire au plan de relance de notre gouvernement en ne tenant  absolument pas compte de ce dernier pour protéger notre pouvoir d’achat qui est justement la source de la reprise  économique. La bonne nouvelle pour notre région, Brigitte Barèges sera encore plus présente pour conduire  l’opposition régionale. J’aurais aimé que nos deux têtes de liste, Brigitte Barèges et M. Malvy passent le test des trois  passoires car avant de raconter toutes sortes de choses sur le président de la République, l’UMP et autres, il est bon de  prendre le temps de filtrer ce que l'on a lu ou entendu dire. La première passoire est celle de la vérité. Avez-vous  vérifiés si ce que M. Malvy dit est vrai ? Non. Vous en avez seulement entendu parler ou lu ... Vous ne savez donc pas  si c'est la vérité. Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. M. Malvy a-t-il  vraiment fait quelque chose de bien pour la région ?  Ah non, au contraire. Donc, M. Malvy vous raconte de mauvaises  choses sur notre Président et vous n'êtes même pas certain qu'elles soient vraies. Vous pouvez peut-être encore passer le  test, car il reste une passoire, celle de l'utilité. Est-il utile que M. Malvy nous apprenne ce que Nicolas Sarkozy a fait ?  Non. Pas vraiment. Alors, si ce que M. Malvy nous a raconté n'est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir une fois de  plus la Présidence de la Région ? Faisons maintenant le même test pour Brigitte Barèges. Avez-vous vérifiés si ce que B. Barèges est vrai ? Oui, M. Malvy n’a rien fait pour la région en douze ans de présidence à la région. (Gros problème de circulation en voiture, en transport en commun). Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. B. Barèges a-t-elle vraiment fait quelque chose de bien pour la région ? Non, car c’est la première fois  qu’elle se présente aux régionales mais en tant que Maire de Montauban, la délinquance a été réduite de 70%, les  transports en communs son électrique et à l’huile végétal. Même si le test est plus que positif, passons la troisième  passoire, celle de l'utilité. Est-il utile que B. Barèges nous apprenne que M. Malvy ne pensait pas à nos besoins, mieux circuler dans notre région ? Oui car il n’y a toujours pas de grande périphérie pour désengorger Toulouse, oui car il n’y  a toujours pas de LGV dans notre région, oui car on ne peut pas avoir confiance dans les transports en commun … »

Thierry Faye UMP 31 Canton de fronton

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