Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

Archives

26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 06:51

veyrac-06.jpgDébat idéologique autour du budget européen. Certains considèrent que l’Union doit se doter d’un budget plus important pour réaliser de véritables actions et peser sur l’économie, notamment par la commande publique. D’autres considèrent que l’Europe doit se contenter de petits leviers d’actions. Tel est le cas de la député européen Christine De Veyrac qui a décidé de « ne pas voter, à ce stade, le projet de budget de l’Union européenne pour 2012« .

La député UMP de Toulouse explique que « La position du Parlement européen visant à augmenter les dépenses dans une tranche se situant entre 4 et 5% par rapport à 2011 n’est pas raisonnable« .

« Dans un contexte de rigueur, où les Etats imposent des sacrifices à leurs peuples, il est important que l’Union européenne participe aussi à l’effort généralisé. En outre, une augmentation significative de ses dépenses se traduirait par une hausse substantielle de la contribution française au budget européen… alors même que notre pays apporte déjà beaucoup au pot commun » commente encore celle qui fut la précédente secrétaire générale de l’UMP en Haute Garonne.

« Dans les semaines à venir, je défendrai donc pour ma part une hausse réduite du budget, et ce afin de préserver le financement de nos grands projets industriels européens (Galiléo, GMES…) et de la politique agricole commune » a cependant souligné Christine De Veyrac (député européen du Sud-Ouest) (UMP)

Toulouse7

Partager cet article
Repost0
25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 18:05

jean françois copé-copie-12012 se prépare aujourd'hui... avec vous !

Cher ami,

Le 22 avril prochain aura lieu le premier tour de l'élection présidentielle et le 10 juin celui des élections législatives. Nous sommes donc très proches de ces échéances électorales majeures et c'est avec votre aide que nous allons nous battre pour faire gagner nos candidats. Et, disons-le sans détour, plus tôt vous agirez avec nous, plus nos chances de victoires augmenteront !
Nous avons moins de 7 mois pour gagner et notre programme est très chargé.
Je vous demande de vous y associer dès aujourd'hui. Nous devons porter haut et fort nos convictions et nos valeurs qui font de l'UMP le premier parti de France. C'est unis que nous irons vers les Français. Chacun doit se mobiliser. Chacun est utile.

Je passe à l'action

C'est votre aide matérielle, votre don pour parler très clairement, qui nous permettra d'organiser des réunions au plus près des Français, de diffuser au plus grand nombre des documents expliquant notre Projet pour la France, et aussi d'être présents à tout instant sur Internet qui représente aujourd'hui un enjeu majeur. Avec vous, nous porterons les débats dans toutes les régions, les villes et les villages de France. Et votre soutien financier nous permettra de démultiplier nos actions et de toucher personnellement chacun des citoyens de ce pays. Oui, c'est maintenant qu'il faut agir, c'est maintenant que chacun d'entre nous est utile pour que, demain, nous puissions gagner pour la France.
D'avance, merci de votre soutien.
Bien fidèlement,

Jean-François Copé
Secrétaire général de l'UMP

 

Partager cet article
Repost0
24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 15:36

jean françois copé-copie-1Après sa victoire attendue à l’issue du faux suspense des primaires, François Hollande s’est cru obligé de prendre des accents mitterrandiens en promettant de « ré-enchanter le rêve ». Avec un programme socialiste qui relève plus de l’utopie que du réalisme, ce sera mission impossible pour François Hollande.

A l’UMP, nous pensons au contraire que le rôle d’un responsable politique, ce n’est pas de vendre du rêve, mais d’éclairer le chemin. Nous pensons aussi que l’honneur en politique c’est de dire la vérité et oser les décisions courageuses, au risque d’être impopulaire, car ce qui est en jeu, en cette période cruciale pour la France, ce n’est pas juste de remporter une élection, c’est l’avenir de nos enfants.

C’est pourquoi nous avons décortiqué et chiffré point par point le projet du PS pour éclairer le choix des Français en 2012. Cette analyse, nous l’avons faite sans concession, sans caricature, et même en arrondissant les chiffres à la baisse. Le résultat obtenu est inquiétant : sur 5 ans, le projet de François Hollande va coûter 255 milliards d’euros. Soit l’addition d’une succession de promesses coûteuses et contre-productives dont notamment les 300 000 emplois jeunes (20Mds sur 5 ans), le contrat de génération (40Mds sur 5 ans), le recrutement de nouveaux fonctionnaires (12Mds sur 5 ans), l’allocation d’étude (60Mds sur 5 ans) et le retour de la retraite à 60 ans (87Mds sur 5 ans). Une somme faramineuse qui ne prend en compte ni le coût de la sortie du nucléaire (environ 20 Mds d’euro/an) ni le coût de l’arrêt des réformes engagées par Nicolas Sarkozy, ni le coût d’une croissance plus faible qu’espérée par le PS (le PS finance son projet sur une prévision de croissance à 2,5% quand tous les experts anticipent plutôt 1,5%). La réalité, c’est qu’avec François Hollande, le réveil promet d’être douloureux !

Pourquoi ? Parce que malgré une augmentation massive des impôts de 126 milliards d’euros sur les ménages et les entreprises en 5 ans, le PS est loin de pouvoir financer ces 255 milliards minimum de dépenses nouvelles car il ne s’engage en parallèle sur aucune réduction de la dépense publique. La dette se creusera donc mécaniquement d’au moins 129 milliards € sur 5 ans (255Mds de dépenses publiques moins 126Mds de taxes supplémentaires). François Hollande sera donc incapable de tenir sa promesse de retour à l’équilibre en 2017. Il porte un projet qui provoquerait une augmentation de notre déficit d’au moins 40% par an. Un laxisme budgétaire suicidaire dans cette période de crise qui ne manquerait pas de conduire à une dégradation de la note de notre dette souveraine.

Par ce chiffrage, l’UMP a voulu tirer la sonnette d’alarme. Au moment où la France et le monde sont confrontés à une crise de la dette sans précédent, le PS prépare une véritable imposture avec les Français. Il ne peut pas continuer à mentir aux Français pour gagner en popularité. Face à cette posture dangereuse, il y aura une alternative, celle de Nicolas Sarkozy qui a prouvé tout au long de son quinquennat que sa priorité était de protéger les Français. C’est pourquoi l’UMP prépare activement un projet responsable qui coûtera zéro euro à la France. Le prochain quinquennat devra être celui de la vertu budgétaire, nous l’assumons et appelons François Hollande à oser en faire de même. Nous avons d’ailleurs noté que, depuis que ce chiffrage est public, les proches de François Hollande commencent à affirmer que le projet du PS ne sera pas celui du candidat socialiste. Le travail de démystification des promesses socialistes est en marche.

Partager cet article
Repost0
17 octobre 2011 1 17 /10 /octobre /2011 16:54

brigitte barège 36Le second tour des primaires socialistes nous inspire quelques questions :

 

Premièrement, ce n’était pas une innovation : chaque parti connaît l’organisation de primaires, ce fût le cas à plusieurs reprises à l’UMP. Cependant pour la première fois, celles-ci ont été élargies au-delà du parti socialiste, qui évidemment, ne compte pas 2,7 Millions d’adhérents. En cela, cette expérience rejoint le mode d’élections des Etats-Unis, et on peut dire qu’il s’agit d’une véritable révolution du fonctionnement de notre démocratie française.

Doit-on en conclure que c’est l’annonce de la fin des partis politiques ?

 

Deuxièmement, la volonté pour les socialistes d’organiser ces primaires citoyennes démontre que ce parti n’avait pas de leader naturel à la différence de l’UMP.

Effectivement, on peut considérer que les trois principaux candidats, François HOLLANDE, Martine AUBRY, et Ségolène ROYAL sont très semblables, puisqu’ils sont tous énarques, (de la même promotion) et appartiennent à la génération à MITTERAND.

Ainsi en fait, les militants n’avaient le choix qu’entre plusieurs apparatchiks formés dans le même moule. L’élection de l’un d’entre eux démontre, une fois encore, que dans notre pays, à gauche comme à droite, il est très difficile de faire émerger une nouvelle génération d’élus ; Arnaud MONTEBOURG et Manuel VALLS en ont fait les frais. Cela doit-il continuer ?

 

Troisièmement, il conviendra aux sociologues et aux politologues d’analyser quelle a été la part du choix des électeurs au second tour, entre l’homme ou la femme.

Doit-on déduire du résultat qu’il est toujours difficile aux femmes d’accéder au plus haut niveau en politique ?

 

Quatrièmement, le choix final de François HOLLANDE qui a très habilement utilisé le flou démagogique, notamment, lors du dernier débat, l’opposant à une Martine AUBRY, beaucoup plus pragmatique et réaliste, nous démontre encore une fois, le triomphe du politiquement correct, de la langue de bois, au détriment d’une parole vraie et sincère, et surtout réaliste.

Peut-on considérer, qu’encore aujourd’hui, les français ne souhaitent pas entendre un langage de vérité, ce langage de vérité qui a sanctionné Manuel VALLS au premier tour ? Si tel était le cas, ce serait éminemment regrettable pour la démocratie.

A cet égard, on ne peut que déplorer qu’aucune idée novatrice, ni de véritable réponse n’ait été apportée par le candidat François HOLLANDE à la crise.

 

Cinquièmement, encore une fois, on ne peut que constater l’énorme couverture médiatique accordée à ces primaires du parti socialiste, confisquant le débat politique au profit d’une seule tendance politique, ce qui pose tout de même, un véritable problème à l’exercice des libertés publiques par l’absence totale de voix pour porter la contradiction.

On peut par ailleurs, souligner à contrario, que le parti majoritaire au pouvoir a tout mis en œuvre pour faciliter l’organisation matérielle de ces élections, ce qui démontre de sa part une grande tolérance et maturité politique.

 

A présent, va enfin venir le temps du vrai débat avec un candidat socialiste qu’il ne faut pas sous-estimer, mais dont on attend aujourd’hui qu’il se livre davantage sur son projet pour la France jusqu’à présent renvoyé à demain. Il ne peut pas, plus longtemps en effet, reporter la solution des grands problèmes qui se posent à notre pays, à la concertation et à la réflexion.

On espère tout de même qu’il a quelques idées sur le sujet.

 

Brigitte Barèges

Député de Tarn-et-Garonne

Maire de Montauban

Partager cet article
Repost0
14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 16:45

jean françois copé-copie-1Nous voilà arrivés au clap de fin de la primaire socialiste qui aura monopolisé le paysage médiatique bien trop longtemps par rapport aux propositions qu’elle aura fait émerger. Alors qu’au cours des trois débats de premier tour, les candidats ont passé leur temps à chercher à nouer des alliances, le dernier tête-à-tête entre les finalistes François Hollande et Martine Aubry s’est caractérisé par son côté abstrait, décalé et faussement technique.

En regardant ce débat, c’est surtout aux Français que j’ai pensé. Comment ne pouvaient-ils pas se sentir frustrés ? Eux qui s’attendaient à avoir les réponses concrètes pour l’avenir de notre pays, ils n’auront pas entendu un mot ni sur l’emploi, ni sur l’immigration, ni sur les réformes, ni sur la sécurité, ni sur l’agriculture, ni sur la ruralité, ni sur la défense, ni sur l’énergie, ni sur l’international. A aucun moment les candidats n’ont dit comment ils voyaient la France de demain, quelle était leur ambition et leur vision pour notre pays.

Rien d’étonnant que Martine Aubry et François Hollande aient eu du mal à se concentrer sur les préoccupations des Français quand leur seul objectif était clairement de séduire Arnaud Montebourg et ses 17% d’électeurs. Durant tout ce débat, ils n’ont pas économisé leur énergie pour montrer à quel point l’un était plus socialiste que l’autre. Gauche dure, gauche molle, gauche forte, gauche solide, gauche sectaire : tous les qualificatifs y sont passés pour espérer incarner une gauche qui plairait aux tenants de la démondialisation. Mais jamais nous n’avons eu de gauche responsable et crédible !

Et c’est la « gauche molle » de François Hollande qui a finalement réussi à rallier Arnaud Montebourg plutôt que la « gauche sectaire » de Martine Aubry. On voit combien l’opportunisme ici a pesé plus fort que toute autre considération. Arnaud Montebourg n’avait pas de mots assez forts pour dénoncer François Hollande, qu’il qualifiait de « principal défaut du PS », et François Hollande clamait haut et fort : « on ne va pas faire la démondialisation tout seul » en septembre dernier… Et pourtant les voilà qui s’allient !

L’épisode des primaires quasi achevé, il est temps pour nous de reprendre l’initiative : d’abord en plaçant le candidat socialiste face à ses contradictions, ensuite en disant aux Français qu’il existe une autre voie que le gigantesque malentendu qu’est en train de construire le PS. Notre pays peut emprunter un autre chemin que celui des impôts, de la dette, de l’assistanat et du dirigisme qui ont tristement marqué les années Mitterrand.

L’UMP propose donc deux rendez-vous aux Français : le premier sera notre convention « Le projet socialiste à la loupe : Le grand malentendu » du 18 octobre où nous allons décortiquer les propositions du PS pour montrer leur caractère irresponsable et irréalisable. Le second aura lieu début décembre quand nous exposerons notre projet pour le prochain quinquennat, un projet réaliste, responsable et adapté aux préoccupations des Français. C’est en travaillant sur le fond, avec courage et lucidité, que nous ferons la différence avec le PS.

UMP

Partager cet article
Repost0
14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 06:48
cope-05.jpgJean-François Copé et une quinzaine de ministres étaient dès hier soir à Saint-Cyr-sur-Loire. Aujourd'hui, Fillon et Barroso en plat de résistance.

Sarko ? Il représente un espoir. On a notre avenir devant nous, une famille à fonder et nous, nous sommes unis derrière notre candidat, s'enflamme Baptiste Dubouchard, en fac de droit, militant de l'Uni, la droite universitaire, fier d'avoir repris du pouvoir sur Twitter face à une gauche envahissante, car la politique, cela se joue aussi et surtout sur les réseaux sociaux avec les jeunes. La présidentielle, on y est déjà, et pas qu'à gauche !

Le ton est donné ce jeudi soir à l'entrée des Journées parlementaires UMP à Saint-Cyr-sur-Loire alors que ministres et parlementaires débarquent à l'Escale et dans le gymnase voisin. Xavier Bertrand, le premier, salue les militants. Le député angevin Jean-Charles Taugourdeau commente : « C'est un moment fondateur, un tour de chauffe pour accorder nos violons ». Le pack UMP repousse celui des caméras et micros pour accéder jusqu'à la scène, Jean-François Copé en tête, épaulé par Valérie Pécresse, le Marseillais Jean-Claude Gaudin, Michèle Alliot-Marie. Roselyne Bachelot arrivera un peu plus tard sur la moquette bleue.

Philippe Briand accueille ses hôtes avec ses accents à la Belmondo, dans son style habituel. Il évoque la « terre de Touraine » et Michel Debré qui disait : « Ce qui a marqué ma carrière ? L'honneur d'être un militant ! » Il se moque des « deux impétrants » du PS, « la douce Martine Aubry et le relooké François Hollande ». A ce jeu de chamboule-tout, il amuse toujours la galerie. Jean-Claude Gaudin, Christian Jacob et Jean-François Copé prennent le relais. L'UMP est bien en marche pour 2012.

La nuit tombe vite. Ministres et parlementaires vont dîner à Saint-Antoine-du-Rocher, et gagner leurs hôtels, 550 chambres réparties dans dix établissements de l'agglomération. Ce matin, deux ateliers sur l'Europe et François Fillon - avec José Manuel Barroso, l'Européen - auront l'honneur de conclure.

 

 

échos

Ami de 30 ans. Confidence de Philippe Briand à la NR, à propos du président et de la naissance annoncée à l'Élysée : « La politique, c'est aussi de l'humain, une grande histoire d'amitié. Nicolas Sarkozy ne peut pas être présent aux Journées parlementaires, indépendance des pouvoirs oblige, mais on a vécu ensemble trente ans, c'est un ami. Et s'il est papa avant la fin de cette semaine, on sera content pour lui et on partagera son bonheur ici, à Saint-Cyr. »
Émotion. « Tu es pour nous indispensable et irremplaçable ! » lançait hier soir de la tribune Jean-François Copé à l'adresse de Philippe Briand, après le discours de ce dernier. Ovation dans la salle. Moment d'émotion, car le « patron » de l'UMP évoquait le décès récent de Catherine Briand, l'épouse du député-maire, et ses obsèques où il était présent et entouré de plusieurs ministres à l'église Saint-Pie X. Philippe Briand n'a pu cacher son trouble.
Fabrice Boigard. Le même Jean-François Copé a salué le secrétaire départemental de l'UMP, « méthodique et organisé. Il nous en faudrait comme cela dans toute la France ! » Et d'Hervé Novelli, toujours à la tribune, son adjoint à l'UMP, il dit : « Sans toi, je ne sais pas comment je ferais ! »

La Nouvelle République
Partager cet article
Repost0
13 octobre 2011 4 13 /10 /octobre /2011 06:30

18-03-10-Grand-Meeting-du-2eme-tour 6882Cher(e) Ami(e),

Bernard CARAYON président du Comité Départemental et Olivier BRAULT secrétaire départemental de l'UMP81 ont le plaisir de vous inviter à une réunion publique autour de Dominique TIAN, Député des Bouches du Rhône, Lundi  17 Octobre 2011 à 19H30, Parc des Expositions- Salle du Restaurant, 60 avenue du Sidobre à Castres. Thème du débat : la fraude aux prestations sociales.

Cordialement, Jacques THOUROUDE

Président du groupe Osons Midi Pyrénées

Fédération UMP Tarn: 21bis rue de Genève 81000 Albi 05 63 49 06 93

Partager cet article
Repost0
12 octobre 2011 3 12 /10 /octobre /2011 06:39

« Démondialisation, mise sous tutelle des banques… » Ces concepts complètement fous, hors du temps et du monde, portés par Arnaud Montebourg, sont désormais au cœur des primaires du PS !

Dès les résultats du premier tour connus, au prix de contorsions et grands écarts inouïs, Martine Aubry et François Hollande ont fait leurs premiers appels du pied vers celui qui, arrivé en 3ème position, a obtenu plus de 17% des suffrages.

Pour récupérer ces 17% d’électeurs, les 2 finalistes sont prêts aux pires compromis et renoncements, à de désastreux rapprochements avec celui qui apparaît désormais comme le faiseur de roi au PS.

« Le problème des faiseurs de rois c’est qu’on doit les courtiser. Et toute cette semaine, prévient Jean-François Copé, nous allons suivre de très près les négociations, marchandages et braderies en tous genres qui vont aboutir à un énorme malentendu ». Parce qu’aucune des promesses du PS n’est déjà pas réalisable en raison du contexte économique et financier et qu’elles le seront encore moins avec les compromis passés avec Arnaud Montebourg et la synthèse de toutes les propositions des autres candidats réalisée par le candidat retenu.

« Cela va demander une capacité d’équilibrisme qui va se faire au détriment de la vérité aux Français », prévient Jean-François Copé.

Par ailleurs, si l’exercice de cette primaire PS était intéressant, Jean-François Copé souhaite relativiser l’enthousiasme excessif des socialistes : « Si pour certains il est bon temps de s’extasier il faut remarquer que, seuls 5 Français sur 100 se sont déplacés. Ce qui veut dire que 95% des Français n’y sont pas allés et considèrent que le vrai rendez-vous démocratique est pour mai prochain ».

L’UMP attend avec impatience la désignation du candidat du PS « pour enfin débattre à armes égales », relève Jean-François Copé espérant que le déferlement médiatique observé pendant 7 semaines va maintenant pouvoir s’équilibrer et ainsi permettre aux Français d’enfin comparer les propositions irréalistes des socialistes à celles responsables et volontaires que l’UMP formulent lors de ses nombreuses conventions thématiques dans le cadre du Projet 2012.

Au lendemain de la désignation du candidat PS, l’UMP organisera le mardi 18 octobre une convention spéciale dédiée au programme du PS. « Nous allons décortiquer chacune de leurs propositions et monter combien elles sont en décalage complet avec la réalité de notre monde et du contexte actuel », précise Jean-François Copé annonçant l’installation au sein de l’UMP d’un groupe chargé de la riposte et de la réponse systématique au PS.

 

Partager cet article
Repost0
12 octobre 2011 3 12 /10 /octobre /2011 06:33

jean françois copé-copie-1Chère Amie, Cher Ami,

Ne vous laissez pas impressionner par le battage médiatique autour des primaires PS et de ce prétendu élan. L’heure est au contraire à la mobilisation.

Avec quelques 2,5 millions de votants selon les dires du PS, la participation a été intéressante. Mais si on prend les 45 millions d'électeurs inscrits, à peine 5 électeurs sur 100 se sont déplacés pour voter aux primaires. A titre de comparaison, la braderie de Lille, chère à Martine Aubry, arrive à réunir chaque année 3 millions de visiteurs…

Ensuite, contrairement à ce qu'il nous a été martelé, le score entre Martine Aubry et François Hollande est beaucoup plus serré que pronostiqué. Cela laisse les jeux plus ouverts que prévu et avec un arbitre inattendu en la personne d’Arnaud Montebourg, qui se situe à gauche de la gauche. En clair, pour gagner la primaire socialiste, les deux finalistes devront reprendre à leur compte les thèmes développés par Arnaud Montebourg !

Dans quelques jours, nous aurons enfin un adversaire identifié qui devra donc assumer. Pour nous, cela va tout changer. Nous allons pouvoir mener la charge et lui demander des comptes, sur son projet pour la France et les Français et sur la façon dont il fera l'impossible synthèse entre les propositions contradictoires et irréalisables que nous avons entendues durant cette primaire et qui s'ajoutent déjà au programme irréaliste du PS adopté en mai.

Le PS se dévoile enfin, avec un projet qui sera à gauche toute (droit de vote des étrangers, emplois jeunes, emplois publics, explosion des dépenses et des impôts, démondialisation...).

Dans ce combat qui s'annonce, gauche contre droite, projet contre projet, j'ai besoin de vous, de votre mobilisation derrière nos valeurs et notre candidat Nicolas Sarkozy!

La victoire en 2012 se construit maintenant. Allons-y ensemble ! Je compte sur vous !


Jean-François COPÉ

UMP

Partager cet article
Repost0
11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 07:49

Brigitte BarègePremièrement, en ce qui concerne le principe même, contrairement à ce qui a été dit, il ne s’agit pas d’une innovation politique, puisqu’en 2007, déjà les militants UMP avaient choisi Nicolas SARKOZY. Par ailleurs, il en a été de même au moment des régionales en 2009, où des véritables primaires ont eu lieu dans cette région m’opposant notamment au maire de Tarbes.

Quant à la participation qui serait de l’ordre de moins de 5 % du corps électoral, il faut tout de même la relativiser et retenir qu’il ne s’agit pas seulement de votes socialistes (on peut penser, par exemple, que le score d’Arnaud MONTEBOURG est essentiellement dû à un vote de l’ultra gauche de MELENCHON et du Parti Communiste).  

Deuxièmement, sur le candidat Jean-Michel BAYLET, ce dernier enregistre au niveau national 0,65 % donc environ 12 000 voix alors que Christine TAUBIRA à l’époque avec 2 % du corps électoral avait enregistré 400 à 500 000 voix ce qui démontre que le parti radical n’existe quasiment plus sur le plan électoral en France.   

Sur le plan du Tarn et Garonne, Jean Michel BAYLET enregistre un revers cuisant avec à peine 14, 56 % des voix, il se retrouve ainsi en 4ème position après François HOLLANDE, Martine AUBRY et Arnaud MONTEBOURG, ce qui évidemment pose la question de sa légitimité à la tête du Conseil Général, certains responsables politique du PS pensant qu’il serait très « gaullien » qu’il présente sa démission de ce poste.  

En ce qui concerne Montauban, sur laquelle la participation a été environ de 8 %, les scores sont les suivants : François HOLLANDE : 1 343 voix Martine AUBRY : 849 voix, Arnaud MONTEBOURG : 602 voix, Ségolène ROYAL : 267 voix, Manuel VALLS : 178 voix Jean-Michel BAYLET : 147 voix (soit à peine 0,3 %) ce qui devrait inciter à plus de modestie les élus radicaux municipaux.   

A présent, il conviendra d’examiner attentivement la semaine qui va suivre avec les tentatives de séduction de la part de François HOLLANDE qui contrairement à ce qu’il avait annoncé n’est pas encore en position d’affronter Nicolas SARKOZY. On attend avec impatience les consignes de vote de Jean-Michel BAYLET.   

Brigitte Barèges, Député de Tarn et Garonne, Maire de Montauban

Partager cet article
Repost0