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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 07:10
Sarkozy-22.jpgLe chef de l'Etat fera ses voeux au monde de l'éducation sur le site du Futuroscope, ce jeudi 5 janvier.

800 policiers et gendarmes sont mobilisés pour assurer la sécurité du voyage présidentiel.

2500 personnes sont invitées à la cérémonie.

La zone du Futuroscope autour du Palais des Congrès est interdite au stationnement dès ce mercredi soir, 22h.

 Vidéo

 

 

Arrivé à l'aéroport de Poitiers-Biard, Nicolas Sarkozy a ensuite un programme serré pour ces deux heures de visite en terre poitevine.

10h20: visite du Centre National de Documentation Pédagogique (CNDP)

11h: Ecole Supérieure de l'Education Nationale (ESEN) pour une rencontre avec des chefs d'établissement.

11h30: cérémonie des voeux aux acteurs de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche au Palais des Congrès. Celle doit s'achever à midi.

Le chef de l'Etat sera accompagné de Luc Chatel, ministre de l'Education Nationale, Laurent Wauquiez, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et Jeanette Bougrab, secrétaire d'Etat en charge de la jeunesse et de la vie associative.

 

Le tour de France des voeux présidentiels

Poitiers est la troisième ville à accueillir les voeux décentralisés de Nicolas Sarkozy depuis le 1er janvier après Metz pour les voeux au fonctionnaires et Brest pour ceux aux forces de la Nation. Le chef de l'Etat entame un tour de France en 14 étapes qui s'achèvera à Paris avec les voeux à la presse.

 

Une cérémonie contestée et boudée

Elus de gauche et syndicalistes considèrent cette visite comme une provocation de la part de Nicolas Sarkozy, probable candidat à la prochaine élection présidentielle et au moment où les syndicats d'enseignants s'opposent aux nombreuses suppressions de postes dans l'Education Nationale.

Les syndicats organisent un rassemblement demain matin à proximité du lieu de la visite présidentielle mais aucune rencontre n'est prévue.

Les élus de gauche ont annoncé, pour certains, leur intention de ne pas se rendre à la cérémonie de voeux, c'est le cas de Jean-François Macaire, vice-président du Conseil Régional. Ségolène Royal, présidente de la Région est en visite jusqu'à la fin de la semaine au Sénégal.

Alain Claeys, député-maire PS de Poitiers, participera à l'accueil du chef de l'Etat. Alain Claeys est en charge des questions de l'enseignement supérieur dans l'équipe de campagne de François Hollande pour la présidentielle de 2012.

France 3 Poitou Charentes
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31 décembre 2011 6 31 /12 /décembre /2011 20:15

Sarkozy 15Mes Chers Compatriotes,

L'année 2011 s'achève. Elle aura connu bien des bouleversements.

Depuis le début de la crise, qui en trois ans a conduit à plusieurs reprises l'économie mondiale au bord de l'effondrement, je ne vous ai jamais dissimulé la vérité sur sa gravité, ni sur les conséquences qu'elle pouvait avoir sur l'emploi et sur le pouvoir d'achat.

Cette crise qui sanctionne 30 années de désordres planétaires dans l'économie, le commerce, la finance, la monnaie, cette crise inouïe, sans doute la plus grave depuis la deuxième guerre mondiale, cette crise n'est pas terminée.

Elle a entraîné dans la tourmente des pays comme la Grèce, l'Irlande, le Portugal, mais également des pays aussi puissants que l'Espagne et même l'Italie.

Dans la tempête, vous avez souffert. Je sais que la vie de beaucoup d'entre vous déjà éprouvée par deux années difficiles a été une fois encore durement mise à l'épreuve. Vous finissez l'année plus inquiets pour vous et pour vos enfants.

Et pourtant il y a des raisons d'espérer. Nous devons, nous pouvons garder confiance dans l'avenir. Car si tant de pays ont connu des difficultés insurmontables, la France a tenu. Elle a résisté.

Si elle a tenu, si elle a résisté, si elle a réussi jusqu'à présent, à conjurer le doute qui déclenche la crise de confiance, c'est grâce au courage et au sang-froid dont vous faites preuve depuis 3 ans, c'est grâce à la solidité de nos institutions, c'est grâce à notre protection sociale, qui garantit la solidarité dans l'épreuve, c'est grâce aux réformes que nous avons accomplies ces dernières années. Je pense notamment à la réforme des retraites et à toutes les mesures visant à diminuer nos dépenses publiques qui ont permis à la France de garder la confiance de ceux qui lui prêtent leur épargne pour financer son économie.

Il ne s'agit pas de nier les difficultés que nous traversons. Mais dans ces épreuves, la France a su préserver l'essentiel. Je tiens à rendre un hommage particulier à toutes celles et à tous ceux d'entre vous qui par leur travail ont contribué au développement de notre économie.

Mes chers compatriotes,

Nous devons être courageux, nous devons être lucides.

Ce qui se passe dans le monde, annonce que l'année 2012 sera celle de tous les risques mais aussi de toutes les possibilités. De toutes les espérances, si nous savons relever les défis. De tous les dangers, si nous restons immobiles.

Différer les choix parce qu'ils sont difficiles est la pire des options. Quand on décide trop tard, le prix à payer est plus cher. Les souffrances plus grandes.

En 2012, le destin de la France peut une fois encore basculer.

Sortir de la crise, construire un nouveau modèle de croissance, faire naître une nouvelle Europe, voilà quelques-uns des défis qui nous attendent. Je veux vous dire ma conviction qu'unis avec nos partenaires européens, nous serons plus forts pour y faire face.

Mais ces défis, ils s'imposent à nous. Nous ne pouvons ni les refuser, ni les repousser. Nous ne pouvons ignorer ce nouveau monde.

Dans cinq mois, nous avons une élection présidentielle. C'est une échéance importante. Le moment venu, vous ferez votre choix. Mais d'ici là, je dois continuer à agir car l'histoire des décennies à venir s'écrit maintenant.

Avec le Premier ministre, nous réunirons le 18 janvier prochain, les représentants des forces économiques et sociales de notre pays. J'écouterai les propositions de chacun et, avant la fin du mois de janvier, nous prendrons et nous assumerons des décisions importantes, car les enjeux sont cruciaux.

La crise est grave, les circonstances sont exceptionnelles, les décisions doivent être à la mesure de cette gravité. C'est un devoir auquel je ne me déroberai pas.

Je ne sous-estime pas les conséquences que peuvent avoir sur notre économie les agences de notation et les emballements des marchés financiers, ni non plus nos erreurs passées mais je le dis pour que chacun l'entende, ce ne sont ni les marchés, ni les agences qui feront la politique de la France.

Au fond, la seule façon de préserver notre souveraineté, de maîtriser notre destin est de choisir, comme nous l'avons fait jusqu'à présent la voie des réformes structurelles plutôt que celle des réactions à chaud qui ne font qu'ajouter à la confusion et au désordre sans restaurer la confiance.

Le problème posé n'est pas celui d'un nouveau train de réduction des dépenses pour l'année qui vient. Ce qui devait être fait a été fait par le Gouvernement.

Maintenant, il nous faut travailler en priorité pour la croissance, pour la compétitivité, pour la ré-industrialisation qui seules, nous permettront de créer des emplois et du pouvoir d'achat.

Trois sujets me paraissent dominer les autres.

Nous ne nous en sortirons pas en laissant de côté ceux qui souffrent déjà des conséquences douloureuses d'une crise dont ils ne sont pas responsables. Nous ne bâtirons pas notre compétitivité sur l'exclusion mais sur notre capacité à donner à chacun une place dans la Nation. C'est pourquoi, ceux qui ont perdu leur emploi doivent être l'objet de toute notre attention.

Nous devons changer notre regard sur le chômage. Faire en sorte que la formation des chômeurs devienne la priorité absolue, afin que chacun puisse se reconstruire un avenir. Former et pas seulement indemniser, tel doit être notre but. Personne ne doit pouvoir s'exonérer de cette obligation ni être exclu de cette possibilité.

Le deuxième sujet est celui du financement de notre protection sociale qui ne peut plus reposer principalement sur le travail, si facilement délocalisable. Il faut alléger la pression sur le travail et faire contribuer financièrement les importations qui font concurrence à nos produits avec de la main d'œuvre à bon marché. Ce sujet est au cœur de tous les débats depuis des années. J'écouterai les propositions des partenaires sociaux puis nous déciderons.

Le troisième sujet, c'est celui des dérèglements de la finance qui vous choquent d'autant plus profondément qu'ils sont largement à l'origine des difficultés actuelles.

Il faut faire participer la finance à la réparation des dégâts qu'elle a provoqués. C'est une question d'efficacité. C'est une question de justice. C'est une question de morale. La taxe sur les transactions financières doit être mise en œuvre.

Mes chers compatriotes,

Mon devoir est de faire face et de vous protéger.

Vous pouvez être sûrs que j'assumerai jusqu'au bout et en totalité, les lourdes responsabilités que vous m'avez confiées et que je n'aurai de cesse d'agir au nom de l'intérêt général.

Chacun devra prendre ses responsabilités, c'est pourquoi j'appelle tous les décideurs des entreprises et de l'économie à tout faire pour préserver l'emploi. J'appelle tous les acteurs des services publics à redoubler de prévenance pour tous ceux qui ont besoin de notre solidarité.

Mes chers compatriotes,

J'ai confiance dans les forces de la France.

Je suis certain du chemin qu'il nous faut suivre.

A vous, à tous ceux qui vous sont chers, à nos soldats qui risquent leur vie hors de nos frontières, à leurs familles qui vivent dans l'anxiété et à tous ceux qui dans le monde luttent pour la liberté, j'adresse ce soir tous mes vœux de bonheur pour la nouvelle année.

Bonne année à tous.

Vive la République !
Et vive la France !

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31 décembre 2011 6 31 /12 /décembre /2011 11:37

Jean-François Copé vous présente ses voeux les plus chaleureux pour 2012.

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22 décembre 2011 4 22 /12 /décembre /2011 19:18

jean françois copé-copie-1Chère Amie, Cher Ami,

Si l'Allemagne connaît depuis quelques années une croissance plus forte et un chômage moins important que dans notre pays, c'est qu'elle a su, notamment sous l'impulsion de l'ex-chancelier allemand Gerhard Schröder, mener des réformes structurelles importantes au tournant des années 2000 pendant que le gouvernement Jospin préférait en France dilapider les fruits de la croissance en créant les 35 heures.

Je vous invite donc à lire l'entretien de Gherhard Schröder accordé au Figaro, dans lequel il salue les réformes courageuses engagées par Nicolas Sarkozy depuis 2007 ainsi que les efforts franco-allemands pour sauver la zone euro. Son pragmatisme économique met en lumière l'archaïsme du parti socialiste français qui s'évertue avec François Hollande à refuser par exemple le vote d'une règle d'or budgétaire.

Vous trouverez l'intégralité de cet entretien en cliquant sur ce lien

Avec mes sentiments fidèles et dévoués,

Jean-François Copé

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 20:32

Invité de Parole directe sur TF1 jeudi soir, le patron de l'UMP a estimé que si François Hollande pouvait être habile, il manquait de courage. Jean-François Copé a mis en garde contre un 21 avril à l'envers et le risque, pour ceux qui voteraient FN, de faire passer la gauche en 2012.

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 17:18

jean françois copé-copie-1En 1997, notre excédent commercial était supérieur à 18 milliards €. En 2010, notre déficit commercial a dépassé les 50 milliards d’euros. L’explication de ce décrochage est simple : tandis que la compétition internationale s’accentuait à la fin des années 1990, la France a été le seul pays au monde à faire, sous Lionel Jospin, le choix de travailler moins avec les 35 heures. Cela a désorganisé les entreprises et renchérit le coût du travail de manière parfois insurmontable. Ce choc a été brutal, notamment pour les PME qui n’étaient pas du tout armées pour faire face à un tel bouleversement et la France s’est désindustrialisée à un rythme inédit. A l’inverse, tandis que Lionel Jospin dilapidait les fruits de la croissance, le socialiste Gerhard Schröder réformait l’Allemagne pour qu’elle gagne en compétitivité. Résultat, pendant que la France se désindustrialisait, l’Allemagne se réindustrialisait avec une industrie qui pèse pour plus de 20% du PIB et un excédent commercial de 154 milliards d’euros.

Aujourd’hui, le sujet de la désindustrialisation semble être revenu à la mode : François Bayrou, Marine Le Pen, François Hollande ne parlent plus que du « made in France ». Nous ne les avons pas attendus pour nous pencher sur ce problème et trouver des solutions car nous ne voulons pas d’une France sans usine. La réindustrialisation de notre pays a été l’une des grandes priorités du quinquennat de Nicolas Sarkozy : la suppression de la taxe professionnelle, la mise en place des heures supplémentaires, les 35 milliards d’investissements d’avenir, la création du statut de l’auto-entrepreneur, le renforcement du Crédit Impôt recherche sont autant de mesures qui visent à redonner de la compétitivité aux entreprises, à soutenir l’innovation et la recherche pour faire de la France une terre d’emplois. Ces mesures ont freiné efficacement l’érosion de l’industrie française. Mais la crise d’une violence sans précédent que nous traversons nous oblige à accélérer encore nos efforts en faveur de la relocalisation d’emplois en France.

Pour cela, nous ne pourrons pas nous contenter des slogans politiciens des uns ou des autres, il faut une stratégie concrète, crédible et efficace que l’on ne trouve ni au PS, ni au FN, ni au Modem. D’un côté, nous avons les lubies protectionnistes du PS qui veut « démondialiser » le monde ou du FN qui veut sortir de l’Europe, ce qui priverait l’industrie française de débouchés commerciaux. Sans oublier que le PS veut démanteler progressivement notre filière nucléaire avec ses 400 000 emplois et son électricité à bas coût qui rend notre territoire attractif pour l’implantation d’usines. De l’autre côté, nous avons François Bayrou qui demande « d’acheter Français ». Il a bien sûr raison. Mais la question n’est pas tant d’acheter français que de produire en France ! Bien sûr il faut faire preuve de patriotisme économique et acheter français mais encore faut-il que nous puissions produire en France, car à la clé, il y a des emplois pour les Français !

Pour produire plus en France, il ne s’agit donc pas de démondialiser, mais de travailler plus et mieux en dépassant le carcan rigide des 35 heures, de baisser le coût du travail, en transférant une part des cotisations sociales sur une fiscalité anti-délocalisation, de tout mettre en œuvre pour aider les PME qui préparent nos futurs géants industriels, de développer nos filières d’excellence –numérique, nucléaire, agroalimentaire, santé- pour faire du « made in France » une marque aussi reconnue que le « made in Germany » et d’instaurer des relations commerciales équitables basées sur le principe de réciprocité pour corriger la concurrence déloyale. C’est en faisant cet effort de long terme que la France se réindustrialisera.

UMP

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 14:31

RSA, prime de Noël... Roselyne Bachelot, la ministre des Solidarités et de la cohésion sociale explique les mesures mises en place pour les plus démunis. "Faire de la politique sociale n'est pas une charge c'est un investissement", explique-t-elle.

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 14:25

Nicolas Sarkozy a rendu hommage au commissariat de Bourges à la policière tuée à coups de sabre en octobre par un forcené et a salué le travail des policiers et gendarmes qui "affrontent au quotidien le danger et le crime".

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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 14:36

jean françois copé-copie-1Chère Amie, Cher Ami,

Alors que l’Europe est sous la menace de la crise des dettes souveraines, sous l’impulsion de Nicolas Sarkozy et d’Angela Merkel, le sommet de Bruxelles crée les conditions de la sortie de crise.

Pour mieux comprendre les enjeux de l’accord intergouvernemental intervenu entre les 17 Etats de la zone euro, je vous invite à relire l’entretien que le Président de la République a accordé au journal Le Monde.

Vous trouverez l'intégralité de cet entretien en cliquant sur ce lien

Avec mes sentiments fidèles et dévoués,

Jean-François COPÉ

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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 07:43

Nicolas Sarkozy s'est emparé à son tour du thème du "made in France" défendu par plusieurs de ses adversaires pour 2012, indiquant sa volonté de soutenir les entreprises, françaises comme étrangères, qui produisent dans l'Hexagone.

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