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23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 12:00

presidentielle-105.jpgSecrétaire général de notre mouvement politique, Jean-François Copé a réagi aux résultats du premier tour de l’élection présidentielle et salué le score de Nicolas Sarkozy.

Alors que les instituts de sondage nous prédisaient une forte abstention mais que la mobilisation des Français a été massive, que le Front de gauche allait exploser les plafonds mais qu’il est à peine à 10%, que dans le rapport droite – gauche il y aurait une forte poussée de la gauche alors que ce rapport est à 42-48 pour la droite, Jean-François Copé remarque que « là où les sondeurs prédisaient à Nicolas Sarkozy un effondrement, Nicolas Sarkozy est conforté alors les autres leaders sortants des grandes démocraties européennes ont été systématiquement balayés dans le contexte de la crise inouïe que nous vivons ».

« La mobilisation massive des Français montre que la situation est grave et que l’élection est cruciale », décrypte Jean-François Copé pour qui, maintenant « la situation va être radicalement différente. Nous nous retrouverons plus à neuf candidats contre Nicolas Sarkozy mais à un contre un ». Nicolas Sarkozy, d’un côté, dont tous les thèmes de campagne ont été repris, que cela soit l’immigration, la sécurité, la lutte contre les déficits, la valorisation du travail , l’Europe, la place de la France dans le monde. Et de l’autre François Hollande qui « dans une coalition bloquée avec Mélenchon et Joly n’a cessé de jouer à l’anguille et de formuler des propositions ambigües ». Droit de vote des étrangers, augmentation massive des impôts pour les classes moyennes, anéantissement de notre filière nucléaire, baisse des crédits de défense, renoncement sur les questions de sécurité et d’immigration… ne sont là que quelques exemples des thèmes sur lesquels François Hollande ne cessent de fluctuer en fonction de son auditoire.

« Nous sommes dans une crise économique majeure mais pas une seule fois n’est mentionné le mot crise dans le programme de François Hollande, comme si la réalité du monde n’existait pas. Mais la crise est là et nous voulons éviter à la France l’effondrement qu’a connu la Grèce avec des gouvernements socialistes », pointe encore Jean-François Copé estimant que la crise qu’a vécu l’Europe et la France nécessite que le choix de l’élection présidentielle – qui est une rencontre entre un candidat et le peuple de France – se fasse dans la clarté et la transparence.

Dans cet esprit, Jean-François Copé appuie la proposition de Nicolas Sarkozy pour que trois débats soient organisés entre lui et le candidat socialiste pour « débattre des questions économiques et sociales, de société et internationales. Veut-on une France affaiblie par une fuite en avant dans les dépense ou veut-on une France forte qui garde la maîtrise de son destin », interroge Jean-François Copé qui en appelle à « la mobilisation générale parce que désormais les choses sont claires et qu’il faut inviter les Français à avoir ce rendez-vous avec leur destin, en clarté et en vérité ».

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