Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

Archives

5 septembre 2010 7 05 /09 /septembre /2010 06:33

video-surveillance-02.jpg"Le besoin de sécurité est toujours aussi présent. En réponse, Montauban va augmenter le nombre de ses caméras. Plusieurs villes de Haute-Garonne veulent mutualiser les moyens pour s'équiper en vidéosurveillance.

Les maires doivent faire face à une demande de sécurité de plus en plus pressante de la part du public, mais aussi du gouvernernement. Sans aucun pouvoir sur les effectifs de gendarmerie ou de police nationale de leur ville, ils n'ont pas beaucoup de choix. Pour ne pas se faire taper sur les doigts, ils devront, entre autre, gonfler leur police municipale ou sortir les caméras de vidéosurveillance. Un thème d'actualité à Toulouse ou, en juin dernier, neuf experts internationaux ont été reçus en public, par une mission municipale afin d'exposer leurs conceptions sur la vidéosurveillance. Une fièvre de vigilance qui ne touche pas que Toulouse qui compte 24 caméras pour surveiller ses rues. À Montauban, par exemple, compte déjà pas moins de 33 caméras gérées par la police municipale. Nommé Lynx, ce système va s'enrichir dans les prochaines années de 25 caméras de plus. 10 seront installées avant la fin de l'année. Énorme.

Jusqu'à présent, ce sont les hypercentres des villes qui passent sous l'œil des caméras. À chaque fois, les commerçants sont demandeurs.

Récemment à Villeneuve-sur-Lot, dans le Lot-et-Garonne, ils ont manifesté à la suite de l'agression d'un commerçant. Elle aurait eu lieu au croisement de deux caméras du centre, seul « angle mort » du système installé en 2009. Les commerçants ont manifesté pour demander plus de caméras et plus de policiers. Mais, installer des caméras à tous les coins de rue n'est pas gratuit, loin de là. Il faut compter environ 1,5 million d'euros pour 40 caméras. L'État prend en charge une partie de cette somme. Les coûts de maintenance, de location des réseaux de transmission évalués à 10 % par an du budget initial, restent à la charge des collectivités locales. Toulouse consacre tous les ans un budget de 250 000€ à son système de surveillance vidéo. Une situation devant laquelle des communes tentent de trouver la parade. Ainsi, les communes de Colomiers, Tournefeuille et Blagnac envisagent de s'unir afin de mutualiser les moyens financiers et humains. Ce projet, ambitieux, propose d'installer un PC à Toulouse où seraient scrutées les images prises dans les trois villes. Cet engouement de la caméra n'efface pas les doutes des plus sceptiques. Un syndicaliste tarn-et-garonnais estime : « Ça n'empêche pas de commettre des délits. De toute façon quand les gens savent qu'il y a une caméra, ils vont faire les conneries ailleurs ». Pour d'autres, la vidéosurveillance les envoie directement dans le monde décrit dans le roman de Georges Orwell «1984». Une chose est sûre, en équipant les villes de caméras, on « économise » les moyens humains. Il ne reste plus qu'à utiliser ceux qui restent à bon escient.


« Une dérive sécuritaire »

Jean-François Mignard, président d'honneur de la Ligue des droits de l'Homme à Toulouse fait partie du bureau national de l'association. Entre défense des droits sociaux, lutte contre les discriminations et défense des libertés publiques, la LDH est également très attentive aux débats sur l'utilité de la vidéosurveillance.

Pourquoi êtes-vous farouchement opposé à la vidéosurveillance ?

C'est un système qui est plus attentatoire aux libertés que ce qu'il peut rapporter en terme de sécurité. La vidéosurveillance ne peut rien toute seule. Il faut engager des moyens humains. Les caméras n'ont jamais interpellé des délinquants.

Pourtant, la vidéosurveillance a permis de résoudre des enquêtes...

Certes. Mais elle n'empêchera personne de commettre des délits. Pour nous, l'intervention humaine est préférable à une intervention technologique.

Que craignez-vous exactement ?

Nous glissons peu à peu vers un système de dérive sécuritaire. D'abord on remplace des hommes par des machines, alors que cela devrait contribuer à des créations de poste, ensuite ces caméras s'ajoutent à des dispositifs comme le fichage, le contrôle à outrance. Recueilli par F.Ab.

« Les caméras peuvent limiter les infractions ou permettre d'identifier des délinquants. Elles évitent de laisser des fonctionnaires en mission statique devant des portes ».

Luc Escoda, secrétaire zonal du syndicat Alliance

 

videosurveillance-01.jpg

Le chiffre : 58

caméras > A Montauban en 2012. A Montauban, il y a 33 caméras essentiellement au cœur de la ville. Le conseil municipal a voté 25 caméras de plus. Elles seront installées progressivement jusqu'en 2012.


Expert : Luc Escoda, secrétaire zonal du syndicat Alliance police nationale

« Ça ne remplace pas un policier »

Secrétaire zonal de Midi-Pyrénées au sein du syndicat Alliance police nationale, Luc Escoda porte un regard favorable, sur l'installation de système de vidéosurveillance dans la région.

Quels avantages trouvez-vous aux caméras de surveillance ?

Il y en a beaucoup. Par exemple, elles évitent de mettre des personnels de police en station devant un édifice public. De plus, sur certaines zones criminogènes, elles peuvent dissuader les malfaiteurs de passer à l'acte.

Vous pensez vraiment que la vidéosurveillance est utile pour lutter contre la délinquance ?

Si les images sont enregistrées, oui. Sinon, cela n'a pas d'intérêt. Les images ont souvent aidé à l'arrestation de voleurs à l'étalage, de braqueurs. Elles permettent aussi d'avoir le signalement d'un individu qui vient de commettre un délit ou un crime.

Montauban a décidé d'ajouter dans les prochaines années 25 caméras aux 33 déjà en place. Toulouse se pose des questions sur le bien fondé de ce système.

Ce sont deux mairies de tendances totalement opposées. Elles n'ont forcément pas la même approche du problème. Peut-être qu'à Toulouse, il n'y a pas assez de caméras de vidéosurveillance. On verra quel système est le plus efficace et lequel porte rapidement ses fruits dans la lutte contre la délinquance et pour aider les enquêtes de police.

Propos recueillis par F. V.


« C'est une aide pour les enquêteurs »

Pour Luc Escoda, secrétaire zonal du sein du syndicat Alliance police nationale, les systèmes de vidéosurveillance sont « une aide à l'enquête ». Ainsi, dans la région, plusieurs dossiers ont été bouclés grâce aux caméras. À Montauban, fin 2008, un fromager du centre-ville se fait braquer par un étudiant souffrant de problèmes physiques et psychologiques.Le jeune homme prend la fuite d'une démarche claudicante que les caméras de la police municipale immortalisent. Les services de police le retrouvent quelques jours plus tard. Toujours dans la cité d'Ingres, il y a quelques jours, un individu qui a volé des chaises à la terrasse d'un café, puis cassé une bijouterie et enfin dérobé une statuette sur la place Nationale a été interpellé grâce à la vidéo. À Toulouse, début avril, une étudiante toulousaine avait été violée dans la nuit alors qu'elle rentrait chez elle. L'homme a été repéré par les caméras de surveillance dans le quartier Saint-Cyprien aux abords du métro. En février dernier, place du Capitole, deux voleurs sont filmés par les caméras de surveillance en train de piller un camion de livraison. Le chauffeur avait le dos tourné quand les deux garçons ont fait main basse sur des cartons contenant des téléviseurs. La scène est suivie depuis le PC de la police municipale. Les auteurs ont été interpellés quelques minutes plus tard." La Dépêche du Midi du 030910

Partager cet article
Repost0
1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 10:37

16 Jean Jacques BOLZAN" En cette rentrée, 12 millions d'élèves vont rejoindre les écoles, collèges et lycées de notre pays. Ils seront accueillis par plus d'un million d'enseignants, de personnels d'éducation, d'administration et de direction. Toute la communauté éducative s'est préparée à cette rentrée, pour que chaque élève débute l'année scolaire 2010/2011 dans les meilleures conditions.

               Luc CHATEL a réaffirmé la priorité de la politique éducative du Gouvernement : assurer la réussite de chaque élève. Cette ambition repose sur trois piliers :

               Développer la personnalisation du suivi, pour mieux répondre à la diversité des élèves et aider chacun d'eux à trouver sa voie ; c'est tout le sens de la réforme du lycée qui entre en vigueur en cette rentrée ;

               Donner davantage d'autonomie aux établissements pour trouver les réponses les plus adaptées aux besoins des élèves ;

               Construire une politique de ressources humaines ambitieuse avec des enseignants mieux payés, mieux formés et mieux accompagnés.

               L'avenir de notre jeunesse est au cœur de la politique du Gouvernement. Les réformes engagées au lycée, les innovations dans les domaines de la pédagogie, de la vie scolaire et des ressources humaines visent un seul et même objectif : donner à chaque élève le bagage pour affronter l'avenir."  

Jean-Jacques Bolzan

Secrétaire départemental du Parti Radical de la Haute-Garonne

 

Partager cet article
Repost0
26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 06:06

police-02.jpg"Une patrouille de la brigade anticriminalité a essuyé plusieurs coups de feu tirés à l'aide d'un fusil de chasse dans une cité sensible du Mirail, à Toulouse. L'équipage a été caillassé et un policier a été blessé à l'épaule par un pavé.

Une patrouille de police de la brigade anticriminalité (Bac) qui se rendait dans le quartier de Bagatelle, à Toulouse, a essuyé des tirs de fusil, mardi soir. À au moins deux reprises, le passager d'une voiture pris en chasse par les policiers a ouvert le feu en direction du véhicule banalisé qui n'a pas été touché. En revanche, un fonctionnaire a été blessé à l'épaule par des jets de cailloux, dans le quartier de La Reynerie, à l'issue de la course-poursuite.

Mardi, vers 23 heures, la Bac du Mirail se dirige vers Bagatelle, un quartier sensible de la ville, où plusieurs coups de feu sont entendus par des habitants. En se rendant sur les lieux, les policiers croisent la voiture des tireurs, une Renault Mégane, avec au moins quatre personnes à bord. Un passager arrière ouvre le feu en direction des fonctionnaires qui se trouvent à une dizaine de mètres. Le projectile n'atteint pas sa cible. Les fuyards se dirigent alors vers La Reynerie, une autre cité toulousaine, où un second coup de feu retentit en direction de la Bac, sans toucher le véhicule.

« Guet-apens »

Une trentaine d'individus hostiles à l'intervention des forces de l'ordre dans ce quartier prennent à partie les policiers. « Un véritable guet-apens », commente le syndicat Unité-police SGP-FO. Lors du caillassage, un policier est blessé à l'épaule. Plusieurs coups de feu retentissent à quelques mètres de-là, sans faire de blessés. Entre-temps, dans une ambiance rendue électrique par des jets de projectiles, les fuyards abandonnent la Renault Mégane. À l'intérieur du véhicule, les policiers retrouvent le fusil de chasse. « Tous les moyens sont mis en œuvre pour identifier les auteurs de ces tirs », a déclaré, hier, le procureur de la République, Michel Valet. L'enquête pour tentative d'homicides sur des policiers a été confiée au SRPJ de Toulouse. Le syndicat de police, Alliance, par la voix de son secrétaire zonal adjoint, Gilles Rouzies, dénonce « une américanisation de la délinquance qui doit être combattue avec vigueur. » Dans la même soirée, peu avant 23 heures, la vitrine d'un commerce dans le quartier de Bagatelle, a essuyé des tirs de fusil. « Les gens étaient pétrifiés et n'osaient plus bouger », commente une riveraine. Un peu plus tôt dans la matinée, un appartement avait été lui aussi visé. Enfin, dans la nuit de lundi à mardi, à La Reynerie, un adolescent a été légèrement blessé par des coups de feu tirés par deux hommes à moto. Une rivalité entre bandes de cités pourrait être à l'origine de cette montée de fièvre.


Sécurité renforcée

À la suite des coups de feu sur les policiers, la préfecture de la Haute-Garonne a annoncé hier « le renforcement de la présence policière durant les nuits à venir, dans les cités toulousaines. « Toutes les unités de police sont mobilisées », a indiqué la directrice de cabinet du préfet, Anne Gaëlle Baudouin-Clerc, réfutant au passage l'existence d'une « consigne » invitant les policiers à ne pas engager les courses-poursuites. « Ces policiers en danger ont agi avec discernement », poursuit-elle. « Les prises en chasse de véhicule n'ont jamais été interdites mais elles doivent se faire dans la vigilance, conformément aux instructions de la direction centrale de la sécurité publique », ajoute-t-on, au commissariat central. « Depuis plusieurs mois, on alerte le ministère de l'Intérieur sur une montée de la violence envers les policiers », commente, Nicolas Comte, secrétaire général du syndicat de police SGP-FO.


Le chiffre : 4

Malfaiteurs > Pris en chasse. Au moins quatre individus se trouvaient dans la voiture en fuite prise en chasse par les policiers. L'un des passagers arrière a ouvert le feu.

« Avec ces tirs, on craint une escalade des violences urbaines dans les cités. Les personnels sont très inquiets. » Xavier Mons, syndicat Unité-Police, Toulouse." La Dépêche du Midi du 260810

Partager cet article
Repost0
26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 05:49

bagatelle.jpgRécit de la fusillade et réaction de Gilles Rouziès du syndicat Alliance

Partager cet article
Repost0
25 août 2010 3 25 /08 /août /2010 15:59
police-01.jpg"Des policiers ont été la cible de tirs dans le quartier de Bagatelle dans la nuit de mardi à mercredi.

Des policiers de la BAC se sont fait tirer dessus à plusieurs reprises. Après une course poursuite, les hommes de la BAC ont vu leur voiture caillassée par une cinquantaine d'individus. Un policier a été blessé à l'épaule.

Les fonctionnaires de la brigade anti-criminalité, qui surveillaient une maison du quartier de Bagatelle à Toulouse,  dans le cadre d'une enquête sur des trafics de stupéfiants, se sont trouvés mêlés à une fusillade au fusil de chasse. S'en est suivi une course poursuite qui a mené les policiers à la Reynerie où ils ont retrouvé le véhicule poursuivi et l'arme utilisée. Les policiers ont ensuite été la cible d'un caillassage. L'un d'eux a été blessé à l'épaule.

L'enquête pour tentative d'homicides sur agents de la force publique a été confiée à la police judiciaire de Toulouse. Le procureur a insisté sur la nécessité de la "discrétion la plus totale" dans l'intérêt des investigations. Cependant, a-t-il ajouté, "quand des policiers sont pris à partie, cela mérite de tout faire pour identifier les auteurs, et quand ces auteurs sont identifiés, cela mérite une réponse particulièrement ferme".
Les SGP-FO, principal syndicat des gardiens de la paix demande, dans un communiqué, "des mesures concrètes" face à "la montée de la violence envers les policiers" ajoutant que "la diminution des effectifs (de police) n'est pas la solution la plus adaptée". "Après Grenoble, Auxerre, aucune ville de France n'est épargnée par la montée de la violence envers les policiers", selon Nicolas Comte, secrétaire général du syndicat et, dit-il, "ce sont des tirs volontaires qu'ont essuyé les policiers" de la brigade anti-criminalité (BAC) du Mirail à Toulouse.
"Un scénario, toujours le même, se met en place", fait ainsi valoir le  syndicaliste : "des feux de poubelles dans une impasse pour amener les fonctionnaires dans un guet-apens". Il ajoute qu'une "consigne de la direction (de la police de Toulouse) les invite à ne pas engager de course poursuite".

"Ces pratiques ne se cantonnent pas à Toulouse", dit encore Nicolas Comte qui cite un cas de "violences contre les policiers" à Nantes "après une interpellation" tout récemment.

 

De son côté, le syndicat Alliance Police Nationale demande que "l’enquête diligentée conduise rapidement les auteurs derrière les barreaux, la mise en place de peines « plancher » et leur application stricte contre les auteurs de ces faits." Le syndicat réclame également les moyens pour les policiers de combattre la délinquance." France 3 Sud

Partager cet article
Repost0
14 juillet 2010 3 14 /07 /juillet /2010 07:16

 

brigitte barège 44Brigitte Barèges signe la charte du collectif de la Droite populaire.

 

 

Fondé à l’initiative de Thierry Mariani avec 34 autres députés de la majorité présidentielle, le « collectif de la Droite populaire » a pour ambition d’accompagner la majorité présidentielle dans les nécessaires réformes dont la France a besoin et que le peuple français a voulu avec l'élection de Nicolas Sarkozy.

 

En rejoignant ce collectif, Brigitte Barèges s’engage ainsi à promouvoir les idées simples qui ont toujours été au cœur du projet collectif français :

 

- La défense de la République, ciment de l’unité nationale, qui nous protège des dérives communautaristes.

 

- La réaffirmation de la liberté et la solidarité nationale comme piliers du vivre ensemble français.

 

- L’affirmation de la méritocratie et de l’égalité des chances comme les pierres angulaires d’une Ecole qui a du mal à se réformer.

 

Ce sont ces valeurs qui animent l’action quotidienne de Brigitte Barèges au service des montalbanais et de l’ensemble des habitants de la région Midi-Pyrénées.

 

 

Brigitte Barèges

Député de Tarn-et-Garonne

Maire de Montauban

Présidente du Groupe "Osons Midi-Pyrénées"

Partager cet article
Repost0
30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 06:34

brigitte barège 40"L’opposition a changé de ton avec l’arrivée de la député maire de Montauban dans l’hémicycle du Conseil régional de Midi Pyrénées. Face à ce constat, le parti socialiste a décidé de riposter coup sur coup ! Derniers exemples en date lors de l’Assemblée plénière qui s’est tenue lundi à Toulouse.

D’un côté l’opposition, « Osons Midi Pyrénées » UMP-Nouveau Centre qui accuse Martin Malvy d’abuser de sa tribune de président pour traiter des dossiers nationaux comme la réforme des collectivités territoriales. Et qui pousse sur certains dossiers précis. De l’autre le groupe socialiste du Conseil régional qui vient d’accuser par la voix de Thierry Suaud, « Les élus UMP de fuir le débat sur les collectivités ».

Deux conceptions s’affrontent frontalement sur ce dernier dossier. Le groupe dirigée par Barèges a ainsi quitté la salle principale du conseil régional au moment du débat portant sur la réforme des collectivités territoriales, « refusant ainsi de participer à la discussion » estiment les socialistes par ailleurs largement majoritaires. Une politique de la chaise vide jugée « intolérable » dans l’entourage de Martin Malvy.

Autres griefs adressés à l’opposition : la décision de s’abstenir sur deux décisions jugées importantes pour l’avenir des midi pyrénéens : l’augmentation du nombre d’infirmières formées qui répond à la pénurie cruciale de personnels dans le domaine de la santé et l’instauration de l’éco-chèque : un « coup de pousse » financier, utile aux foyers qui souhaitent entamer des travaux visant à l’économie d’énergie.

La droite quoiqu’ultra minoritaire n’est pas en reste et attaque désormais Malvy sur deux dossiers : la situation financière de la Confédération Pyrénéenne du Tourisme et sur le projet ed barrage à Charlas." Toulouse 7 News du 290610

Partager cet article
Repost0
30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 06:02

L’ensemble des conseillers régionaux s’est réuni lundi 28 juin, à l’Hôtel de Région, pour l’Assemblée plénière du Conseil régional Midi-Pyrénées.

Les élus régionaux ont débattu de la réforme territoriale, alors que l’examen du projet de loi débutait au Sénat ce même lundi.

A l’ordre du jour : réforme territoriale, ordinateur pour les lycéens, lutte contre les paradis fiscaux, éco-chèque et prêt de la Banque européenne d’investissement.

A l’ordre du jour également :

  • la mise en place d’une aide régionale à l’acquisition d’ordinateur pour les lycéens entrant en seconde,
  • les dispositions relatives aux règles de transparence demandées par la Région à ses partenaires financiers et bancaires, en particulier au regard de leur activité dans les paradis fiscaux,
  • la création d’un éco-chèque pour les particuliers,
  • et le financement de projets de développement durable et de transport à travers un prêt de la Banque Européenne d’Investissement

Pour revoir l’Assemblée en vidéo cliquer ici.

Partager cet article
Repost0
29 juin 2010 2 29 /06 /juin /2010 07:49

brigitte-barege-43.jpg"Et on commence ce journal avec de la politique. En effet, Brigitte Barèges demande à Martin Malvy de réduire les dépenses du conseil régional. Elle évoque notamment le budget alloué aux cocktails mais aussi les salaires des conseillers régionaux. Nous avons demandé à la chef de l'opposition si le Président de Région devait appliquer le plan de rigueur." Toulouse Infos du 280610

 

 

  

 

Partager cet article
Repost0
29 juin 2010 2 29 /06 /juin /2010 07:29

region-01.jpg"Les indemnités des élus font débat au conseil régional

L'argent a fâché, hier, au conseil régional. Emmenée par Brigitte Barèges (UMP), la députée-maire de Montauban, l'opposition a déposé une motion visant à diminuer de 20 % les indemnités des conseillers régionaux, et de 50 % les frais de réception de la collectivité. Elle estime qu'en temps de crise, « la rigueur doit prévaloir dans les finances publiques et les élus doivent être exemplaires ». Et suggère de reverser les sommes économisées dans un fonds de solidarité à destination des entreprises en difficulté. Une proposition très mal accueillie par le président Martin Malvy (PS).

« Malsain et démagogique »
« C'est malsain, démagogique et populiste, surtout venant de la championne de France du cumul des mandats. Les indemnités des élus sont encadrées par la loi, pourquoi la députée Brigitte Barèges ne demande-elle pas à ses collègues de l'UMP de légiférer ? », a-t-il réagi. « Les élus ne volent pas leurs indemnités. Beaucoup doivent jongler entre leur mandat et leur activité professionnelle », plaide encore Martin Malvy.
Il y a toutefois des versements qui font consensus. Les élus ont décidé de créer un éco-chèque logement, pouvant aller jusqu'à 500 €, pour les ménages modestes qui décideraient d'entreprendre des travaux d'isolation, ou d'installer un chauffe-eau solaire. Le dispositif entrera en vigueur le 1er octobre prochain.

Hélène Ménal
Chiffres

En Midi-Pyrénées, un conseiller régional de base touche une indemnité de 1 947 € net, un vice-président de 2 617 € net. Le barème est fixé en fonction de critères démographiques." 20 Minutes Toulouse du 290610

Partager cet article
Repost0