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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 18:50

moudenc 16Vendredi 1er juin à 18 h 30 au café Le Florida (Place du Capitole, Toulouse) débat public JEAN-LUC MOUDENC (UMP) - FRANCOIS SIMON (EE-Les Verts / PS) dans le cadre de leurs candidatures sur la 3e circonscription de Haute-Garonne aux élections législatives.

Débat organisé par Radio Campus FM et Voix du Midi Toulouse.

Nombre de place limitées. Merci de réserver auprès de la rédaction de Voix du Midi au 05 61 99 44 47 ou par mail: voixdumidi@wanadoo.fr

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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 10:12

legislative 002Selon Jean Luc Moudenc, « le PS veut la totalité du fromage » parlementaire. Les conservateurs voudraient donc « empêcher un Grand-Chelem de la gauche ».

Aujourd’hui l’UMP 31 a présenté officiellement ses candidats aux élections législatives dans les circonscriptions de Toulouse. Ils ont pointé du doigt l’inactivité des députés socialistes élus dans leurs circonscriptions pendant ces cinq dernières années. Ils ont maintenant 3 semaines pour parvenir à prendre leur place.

Sur la photo : Martine Rieu-Griffe, Bertrand Serp, Corinne Viasson-Ponte, Jean-Luc Moudenc, Elisabeth Pouchelon, Sacha Briand, Jocelyne Vidal et Gregoire Carneiro. Nicolas Bonleux et Dominique Faure n’ont pas pu assister.

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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 10:02

moudenc-19.jpgLe Président de l’UMP 31, Jean Luc Moudenc, brigue un mandat de député dans la 3ème circonscription de Haute-Garonne. Au lendemain de la victoire de François Hollande, la campagne s’annonce difficile dans un département ancré à gauche. Mais Jean Luc Moudenc compte sur la division de ses adversaires pour tirer son épingle du jeu.


 

« Empêcher le grand chelem du Parti Socialiste », tel est l’objectif principal de Jean Luc Moudenc, qui se dit « choqué d’entendre cette expression » de la bouche de ses adversaires. Le candidat a décidé de mener la bataille dans la 3ème circonscription, où il habite depuis 20 ans avec sa famille. Face à lui, François Simon se présente au nom des verts, soutenu par le PS. Mais alors qu’il ne devait pas y a avoir de candidat socialiste, en vertu de l’accord entre les écologistes et le parti présidentiel, le maire de Balma, Alain Fillola est entré en dissidence la semaine dernière.

Deux adversaires pour le prix d’un, Jean Luc Moudenc s’en « réjouit ». « Ils introduisent la division au sein de la gauche. Elle ne peut que nous profiter » déclare-t-il. Pourtant, selon un sondage révélé par la Dépêche du Midi, le candidat UMP est donné perdant face à Alain Fillola au second tour. Quant au commanditaire dudit sondage, le plus grand flou règne. Le journal a mentionné la mairie de Toulouse, mais Pierre Cohen a démenti fermement, « depuis que je suis maire de Toulouse, la Ville n’a jamais commandé de sondage d’opinion sur les intentions de vote pour quelque élection que ce soit. Je n’ai jamais confondu mes convictions politiques et l’institution que je représente ». Jean Luc Moudenc compte bien tirer cette affaire au clair, « si c’est vrai, ce n’est qu’un exemple parmi d’autres que les socialistes se croient tout permis quand ils ont tous les pouvoirs » remarque-t-il.

Loin de ces polémiques, le candidat UMP a un programme à défendre pour sa circonscription, un territoire en « plein développement » selon ses termes. Parmi les points importants de son projet, figure le problème des transports, et notamment du prolongement de la ligne B du métro jusqu’à Labège. Jean Luc Moudenc défendra « un autre tracé, car celui qui est en cours fait l’impasse sur la zone d’Astrium, en plein essor ». Il met également l’accent sur la revalorisation du patrimoine culturel de la circonscription, comme la prison Saint Michel, et le château Riquet. Cela pourrait avoir « un fort impact touristique » avance-t-il.

L’occasion surtout de fustiger le maire de Toulouse, également député sortant, sur ce point. « Il n’a rien fait. Il n’y a pas de projet municipal pour la prison Saint Michel » affirme-t-il.

Jean Luc Moudenc en tant que chef de file de l’opposition municipale, prépare-t-il déjà le terrain en vue d’atteindre la mairie en 2014 ? C’est en tout cas la thèse défendue par son adversaire Alain Fillola. Lui-même reconnait, qu’ « en votant pour moi, il y aura une signification municipale ».

Toulouse Infos

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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 09:34
Diebold-Stephane.jpgL'UMP exclut un membre dissident de son conseil national en Haute-Garonne

L'UMP a prononcé l'exclusion provisoire de Stéphane Diébold, un membre de son conseil national qui a présenté une candidature dissidente dans la quatrième circonscription de la Haute-Garonne, a indiqué le parti mardi à Toulouse.

 Vidéo

 

Toutes les vidéos

Stéphane Diebold, fils de Jean Diebold, député RPR puis UMP à trois reprises jusqu'à sa mort en 2007, a décidé de se présenter malgré l'investiture de Bertrand Serp par l'UMP.

Il s'agit d'une "faute grave" de la part de quelqu'un qui "en tant que membre du conseil national de l'UMP (sorte de parlement du parti) (devrait) respecter, plus que tout autre adhérent, les décisions statutaires prises par le mouvement", lui a écrit le secrétaire général, Jean-François Copé, dans un courrier rendu public par l'UMP locale.

 

Réintégration si renoncement

 

Le président départemental et ancien maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc a indiqué que M. Diebold pourrait être réintégré rapidement s'il renonçait à déposer officiellement sa candidature ou s'il soutenait le candidat de l'UMP entre les deux tours.

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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 05:01

legislative-004.jpgLe parti d’opposition ne veut pas être "fanny" en Haute-Garonne. C’est le message que Jean-Luc Moudenc, l’ex-maire de Toulouse et patron de l’UMP 31, serine à longueur de déclarations depuis le 6 mai dernier. Prêt à contrer ce qu’il appelle "l’hégémonie" du PS.

"C’est un enjeu démocratique, la République ne peut pas être annexée par un seul parti politique", affirme-t-il, conscient que la droite de Haute-Garonne, qui n’a plus un seul député depuis cinq ans, pourrait à nouveau être emportée par une vague rose à la suite de l’élection de François Hollande.

"Un scrutin différent de celui de la présidentielle"
D’autant que le nouveau président de la République affiche des scores pouvant donner la migraine à la droite locale : 58,78 % en Haute-Garonne et 62,54 % à Toulouse. Pourtant, l’UMP 31 estime avoir des chances de disputer le leadership socialiste sur 4 des 10 circonscriptions (3e, 9e, 5e et 10e), là où les dissidences entre candidats socialistes ont vu le jour (comme nous l’écrivions dans notre édition du 14 mai 2012).

Mardi, les candidats ont rodé devant la presse leurs thèmes de campagne : les transports, la solitude dans les campagnes, la LGV et même la continuité de l’apprentissage de la langue française dans les écoles, comme le suggère le maire de Castelginest Grégoire Carneiro, candidat dans la 5e circonscription face à la socialiste Françoise Imbert. « C’est un scrutin différent de celui de la présidentielle, il y aura moins de dispersion de voix avec une mobilisation plus importante du centre », pronostique Sacha Briand, qui se présente face à Catherine Lemorton dans la 1re circonscription. Verdict le 17 juin au soir….

Métro

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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 05:00

legislative-003.jpgQu'on se le dise. « Empêcher le grand chelem socialiste » est l'objectif des dix candidats UMP de Haute-Garonne aux élections législatives. Sacha Briand (1re circonscription), Nicolas Bonleux (2e), Jean-Luc Moudenc (3e), Bertrand Serp (4e), Grégoire Carneiro (5e), Jocelyne Vidal (6e), Corinne Viansson-Ponté (7e), Martine Rieu-Griffe (8e), Élisabeth Pouchelon (9e) et Dominique Faure (10e) ont lancé officiellement leur campagne hier matin à Toulouse.

Outre les spécificités de chacune de leur circonscription, souvent à cheval entre des problèmes urbains et ruraux, les candidats ont affirmé leur volonté de maintenir un pouvoir d'opposition dans les différentes institutions élues de la République. « C'est un véritable enjeu pour la démocratie », a insisté Jean-Luc Moudenc, candidat et ancien maire UMP de Toulouse, « la République ne doit pas être annexée par un seul parti politique et ses amis. C'est la première fois que l'on verrait ça depuis la chute du Second Empire. La question centrale de cette élection est de savoir si oui ou non un seul parti doit contrôler la totalité des pouvoirs. »

Les candidats craignent en effet qu'avec la majorité des trois-cinquièmes à l'Assemblée nationale, les députés PS puissent modifier la constitution. « Si on change la loi fondamentale, on change des choses fondamentales à commencer par la possibilité de vote et d'éligibilité pour les étrangers - ce à quoi nous sommes contre. »

Selon l'UMP de Haute-Garonne, il y a également « un problème de pluralisme dans le département. Il faut accrocher des sièges pour faire entendre une voix différente ».

Par ailleurs, le bureau haut garonnais de l'UMP a confirmé l'exclusion provisoire du parti de Stéphane Diebold qui a présenté sa candidature dans la 4e circonscription alors que le parti avait investi officiellement Bertrand Serp.

La Dépêche du Midi

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 17:51

legislative-002.jpgA 3 jours de la clôture des candidatures pour les élections législatives des 10 et 17 juin, Jean-Luc Moudenc, président de l’UMP 31, a présenté les candidats de son parti dans les 10 circonscriptions de la Haute-Garonne.

« Les élections ne seront pas faciles, compte tenu du résultat de l’élection présidentielle, mais le combat doit être mené et nous pouvons décrocher des succès ». En dévoilant la liste définitive des candidats de l’UMP, Jean-Luc Moudenc, président de l’UMP 31, s’est montré combatif ce matin. En 2007, au lendemain de la victoire de Nicolas Sarkozy, aucun député UMP n’avait été élu en Haute-Garonne. Cinq ans plus tard, les 10 circonscriptions du département ont majoritairement voté pour François Hollande. Le combat politique s’annonce donc en effet difficile pour l’UMP.

Mais pour Jean-Luc Moudenc, il est important « que la gauche n’ait pas tous les pouvoirs. Il est sain qu’il y ait une opposition suffisamment forte et nombreuse. La République n’est pas l’annexe d’un seul parti. Notre objectif pour le département est d’empêcher le grand chelem. La question n’est plus de savoir si l’on est pour ou contre Sarkozy. Le débat doit se faire projet contre projet, car le programme de la gauche n’est pas pertinent en matière d’économie et nous allons le dire. »

Les candidats de l’UMP sont pour l’essentiel « nouveaux en politique. Issus de la société civile, ils représentent le « renouveau » face à des députés sortants au bilan bien maigre. » Huit des dix candidats étaient présents ce matin à Toulouse et ont tour à tour présenté leurs ambitions.

Elisabeth Pouchelon, candidate dans la 9è circonscription, s’est dite « inquiète de la poussée du Front National dans [sa] circonscription (14,13% NDLR). Une progression qui devrait aussi inquiéter le PS. »

Grégoire Carneiro, candidat dans la 5è circonscription, s’est opposé « au vote des étrangers aux élections locales. Je constate que dans ma commune de Castelginest, les demandes dans le sens du communautarisme sont grandissantes. Je me demande parfois si dans quelques années le français sera encore la première langue enseignée à l’école. »

Pour finir, Jean-Luc Moudenc a évoqué la récente candidature, face à lui, d’Alain Fillola, en soulignant que cette candidature dissidente était le signe d’une « division qui ne peut que profiter » à l’UMP.

Mais l'UMP a également fait face à la candidature dissidente de Stéphane Diebold, membre du bureau national, qui s'est présenté face à Bertrand Serp, candidat du parti sur la 4e circonscription. Une lettre du 14 mai, signée du secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, indique l'exclusion provisoire du candidat dissident.

Les candidats dans les 10 circonscriptions :

1- Sacha Briand (le suppléant ne sera présenté que le mardi 22 mai)
2- Nicolas Bonleux (Bavino Paludetto)
3- Jean-Luc Moudenc (Laurence Arribagé)
4- Bertrand Serp (Stéphanie Rivares)
5- Grégoire Carneiro (Sabrina Suze)
6- Jocelyne Vidal (Étienne Cardeilhac)
7- Corinne Viansson-Ponte (Guillaume Brouquières)
8- Martine Rieu-Griffe (Virgile Torres)
9- Elisabeth Pouchelon (Xavier Spanghero)
10- Dominique Faure (Patrick de Perignon)

 

Objectif News

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 06:54

Le maire de Balma, Alain Fillola, s’est finalement déclaré candidat dans la 3ème circonscription de Toulouse malgré le pacte national signé avec Europe Ecologie Les Verts il y a 6 mois. Cette dissidence touche directement la candidature de l’écologiste François Simon. Son camarade et candidat dans la 4ème circonscription, Régis Godec, regrette cette décision: « La victoire de la gauche n’a été possible que grâce à ce rassemblement, et je considère que la candidature d’Alain Fillola fragilise les conditions de ce rassemblement. » De son côté, François Simon continue sa campagne: Le « seul combat est de battre le candidat UMP ».

Face à cette situation, la droite prend de l’élan. Voici les mots de Jean Luc Moudenc

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 05:26

tract_ensemble_choisissons_la_france.jpgDécouvrez notre nouveau tract pour les élections législatives des 10 et 17 juin 2012.

Télécharger l'argumentaire - FORMAT pdf - 1003 ko
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12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 17:35

« Il y a eu la fête à Tulle, la dégustation de corn flakes, l’épisode de l’appel téléphonique au fils, le retour à Paris avec deux avions privés, une fête place de la Bastille avec des drapeaux étrangers mais aucun drapeau tricolore… C’était dimanche soir. Nous respectons. Quatre jours ont passé et maintenant j’invite chacun à l’atterrissage car l’intérêt supérieur du pays est en jeu».

Jeudi matin et au sortir de la première réunion hebdomadaire du comité stratégique pour les législatives suivi du bureau politique, Jean-François Copé a tenu devant les médias à souligner la gravité des enjeux que notre pays traverse et juger les premiers pas de François Hollande. « Reculade sur le blocage du prix des carburants, reculade sur l'encadrement des salaires des dirigeants des entreprises publiques. Les quatre premiers jours de François Hollande sont lourds d’enseignements », lâche Jean-François Copé qui va être, avec l’ensemble des dirigeants de l’UMP, « particulièrement vigilant sur les quatre premières semaines de présidence de François Hollande qui sera confronté à des décisions engageant l’avenir de la France ».

« A l’OTAN, François Hollande va-t-il annoncer, comme il l’a promis, qu’il renonce unilatéralement à l’accord d’alliance sur la présence française en Afghanistan portant ainsi atteinte au principe d’alliance et à la sécurité de nos soldats ? Au Conseil Européen va-t-il choisir Berlin, la préservation de l’euro et du traité européen âprement négocié ou va-t-il choisir Athènes et la faillite en augmentant les dépenses, pompe à morphine extrêmement dangereuse pour notre économie ? Tous les leaders européens ont mis en garde François Hollande de ne pas remettre en cause le traité européen. François Hollande devra sortir de son "ni oui – ni non" et le choix qu’il fera sera très éclairant. L’heure est venue pour François Hollande de dire ce qu’il veut pour la France qui ne peut pas se payer le luxe d’aller dans la spirale des dépenses », poursuit Jean-François Copé qui partage cette analyse avec Hervé Novelli : « nous sommes déjà dans une épreuve de vérité. Ou il persiste et ce sera le clash avec nos partenaires européens. Ou il renonce et ce sera une premier pas en arrière avant beaucoup d’autres ».

Constatant que les réformes proposées par François Hollande n’ont pas l’adhésion de la majorité des Français, l’UMP a décidé de partir aux législatives avec un slogan, « Ensemble, choisissons la France » et un crédo fondamental : « tout faire pour que la France garde la maîtrise de son destin, son indépendance et sa souveraineté ».

Un crédo qui s’appuie sur cinq règles d’or :

  • Lutter contre l’abandon de fait, par les socialistes, de la règle d’or budgétaire, « première menace sur l’indépendance financière de la France », précise Jean-François Copé ;
  • Lutter contre le droit de vote des étrangers, porte ouverte à tous les communautarismes ;
  • Lutter contre le retour à la retraite à 60 ans pour une partie des Français, « ce qui est un contre-message terrible envers nos partenaires européens et va mettre en péril ,nos finances publiques », note Jean-François Copé ;
  • Lutter contre le matraquage fiscal programmé des classes moyennes avec la suppression du quotient familial, l’augmentation des cotisations sociales pour les salariés et les travailleurs indépendants;
  • Lutter contre la programmation de l’anéantissement de la filière nucléaire et l’abandon de notre indépendance énergétique motivés uniquement par un accord électoraliste entre les écologistes et les socialistes.

Ce credo fondamental que portera chacun des candidats UMP aux législatives s’inscrit également dans la droite ligne du projet de Nicolas Sarkozy et celui que l’UMP a porté en 2011 et 2012 dans le but de préparer et protéger l’avenir de nos enfants.

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