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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 21:03

presidentielle-116.jpgEn meeting, ce vendredi 27 avril, à Dijon, Nicolas Sarkozy s’est exprimé sur sa vision de la France forte qu’il souhaite bâtir : une France qui place le travail et sa reconnaissance au cœur de son projet de société, une France qui préserve la famille parce qu’elle est l’une de ses institutions fondamentales, une France qui protège ses frontières avec une politique d’immigration maîtrisée et non ouverte à tous vents et avec une réciprocité dans ses accords commerciaux pour protéger ses emplois et ses entreprises.

Le Président de la République candidat a mis en exergue son expérience et les qualités fondamentales qu’il faut posséder lorsqu’on prétend à la plus haute des positions : celle de l’autorité et de l’esprit de décision sans lesquels il n’affleure aucune solution, celle du sang-froid aussi autant que de la compétence.

L’esquive d’un adversaire qui craint le débat

Condamnant le refus du candidat socialiste de se mettre en danger, d’affirmer des propositions claires, en débattant plusieurs fois alors que 56% des Français le réclament, Nicolas Sarkozy a affirmé : « si j’ai accepté ces débats, c’est parce que je me disais que les Français ont droit à la confrontation, à la vérité des projets, des personnalités. En face, je n’ai eu que l’esquive, la feinte, l’hypocrisie ».

Le Président de la République candidat a taclé le flou persistant de toutes les propositions de son adversaire rappelant la question d’un journaliste la veille lors de l’émission des paroles et des actes, sur France 2 : « Y-a-t- il oui ou non trop d’immigration ? » et la réponse de François Hollande : « On va faire une commission, on va y réfléchir » !

« Il est incapable de répondre à la moindre question. C’est un manque de respect profond pour les Français » a-t-il ajouté, énumérant outre l’immigration, le flou sur ce que ferait exactement le candidat socialiste pour les 15,5 millions de retraités, sur l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne ou sur la légalisation du cannabis.

Il n’y a, selon Nicolas Sarkozy, qu’une seule promesse que François Hollande tiendra : « Il a promis d’augmenter les cotisations payées par les salariés et celles payées par les entreprises. Il tiendra promesse ».

Préserver l’une des institutions fondamentales de notre société : la famille

« Je ne laisserai pas démolir la politique familiale et la famille en France » a fermement affirmé Nicolas Sarkozy déterminé à se battre jusqu’au bout pour y parvenir.

La gauche a annoncé vouloir supprimer le quotient familial avant de se reprendre et d’annoncer qu’il serait un instrument de redistribution « sous plafond » : « on sait ce que cela veut dire. Le plafond sera tellement bas que plus personne n’y aura accès » a déclaré Nicolas Sarkozy avant d’ajouter : « La politique familiale n’est pas une politique sociale, c’est une politique qui doit encourager à la natalité ! »

« La vie ce n’est pas une marchandise » a poursuivi le Président, « la vie est sacrée non pas au sens spirituel mais si elle l’est pour certains, mais parce qu’elle est unique, que c’est un mystère : il y a un mystère de la naissance et un mystère de la mort et la vie doit être respectée ».

Bien sûr, « la famille a changé dans sa composition, il y a la complexité de la vie moderne » a admis Nicolas Sarkozy « mais ce n’est pas parce que la composition de la famille a changé qu’on aime moins la famille ». « Je ne peux pas accepter que l’on remette en cause cette institution fondamentale qu’est la famille ».

« Je veux jouer avec vous carte sur table ».

« Je veux que chacun d’entre vous puisse avoir les éléments du choix parce que vous avez à choisir celui qui va conduire le pays, la 5ème puissance mondiale, pour les 5 années qui viennent » a affirmé le Président pour que chacun ait bien conscience de la gravité de ce choix.

Pour être Président de la République, Nicolas Sarkozy a affirmé, avec l’expérience qui est la sienne qu’ « il faut être capable de prendre des décisions, de s’y tenir, d’être un homme libre et non l’otage de Mme Joly et de M. Mélenchon ».

« Je suis devant vous avec 35 années de vie politique, je suis le responsable qui a le plus débattu et affronté Jean-Marie Le Pen et voilà que depuis lundi le déchainement du système médiatique qui ne comprends rien à la France, vient dire « Nous vous interdisons M. Sarkozy de parler à 6,5 millions de Français ». Personne ne m’empêchera de parler au peuple de France, à tout le peuple de France, de respecter des gens qui souffrent. » a poursuivi le Président de la République candidat qui comprend et entend le vote de crise dans lequel 6,5 personnes se sont réfugiés le 22 avril dernier.

Faire respecter nos frontières

Limmigration n’est pas un sujet tabou selon Nicolas Sarkozy.

« La France a toujours été un pays ouvert et cela continuera mais quand on accueille trop de monde, on arrive plus à les intégrer » a affirmé Nicolas Sarkozy qui propose de diviser par deux le nombre de personnes accueillies en France sur les cinq prochaines années en exigeant un examen de maîtrise du français et des valeurs de la République en amont ainsi que 10 ans de présence et 5 années de cotisation pour bénéficier du minimum vieillesse et du RSA.

Faire respecter ses frontières, c’est aussi faire valoir la réciprocité dans les accords commerciaux. Parce qu’aujourd’hui les marchés publics de l’Union européenne sont tous ouverts à la concurrence internationale, alors que ceux des autres pays ne le sont pas, Nicolas Sarkozy veut que l’Europe arrête d’être naïve ! Il veut protéger nos entreprises et nos emplois en réformant l’Europe grâce à l’instauration d’une clause de réciprocité dans les marchés publics. Concrètement, il entend que l’Europe n’accepte pas de produits venant de pays qui ne respectent aucune des règles que nous imposons nous à nos agriculteurs et à nos entrepreneurs. C’est cela la justice, c’est cela agir. Et si, d’ici un an, l’Europe a refusé d’avancer et d’instaurer cette règle, alors la France l’appliquera seule à ses propres marchés publics pour préserver ses entreprises et ses producteurs.

Nicolas Sarkozy a une nouvelle défendu la couverture maladie universelle parce qu’en France, « on soigne quelqu’un quelle que soit sa nationalité, qu’il soit en situation légale ou illégale, c’est un être humain, je n’y toucherai pas car c’est un devoir pour la République française de soigner tous ceux qui sont à la porte de nos hôpitaux ! ».

Il a, en revanche, condamné le droit de vote des étrangers que propose le candidat socialiste : « les socialistes ont perdu le vote populaire, ils veulent maintenant le vote communautaire » !

Détermination, clarté, cohérence

C’est sa détermination à remporter la victoire que Nicolas Sarkozy a une nouvelle fois mis en exergue : « je ne me suis jamais engagé avec tant d'énergie, de conviction, de force ! ».

C’est aussi sa clarté dans les propositions qu’il défend, soutient et fait connaître aux Français, en opposition au flou persistant du candidat socialiste qui se réfugie dans le confort des pronostics quand toute prise de position peut lui faire perdre des voix.

C’est enfin la cohérence que Nicolas Sarkozy valorise : celle d’un pays qui avance dans le remboursement de sa dette car seul un pays qui n’a pas de déficit est un pays fort et indépendant.

Sous les applaudissements des Dijonnais soulevés par l’enthousiasme, Nicolas Sarkozy a appelé chacun à ne pas se laisser voler la victoire, le 6 mai prochain mais à s’unir et à se rassembler par amour pour notre patrie : « Je ne suis pas candidat pour moi, je suis candidat pour vous ! Je ne suis pas candidat pour mes amis, mais pour l’intérêt général parce que je ne veux pas que la France fasse le choix du passé mais celui de l’avenir ! Alors mes chers amis, le 6 mai, cela va dépendre de vous et de personne d’autre ! La France aura besoin de chacun de vous et de personne d’autre ! Je vous demande de vous lever, de vous rassembler, je vous demande de convaincre tous ceux qui ont besoin d’être convaincus, je vous demande de mobiliser l’immense armée du peuple de France ! Vive la République et vive la France ! »

La France Forte

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 20:15

Sarkozy 33Le 1er mai 2012 : Grand rassemblement au Trocadero à l'occasion de la fête du travail à 14 h 00

La France Forte

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 20:08

Sarkozy 33Monsieur le Président,

Vous avez bien voulu me faire part des préoccupations prioritaires des électeurs qui ont porté leur suffrage sur votre nom dimanche dernier, et je vous en remercie,

Dans cette élection historique pour notre pays, le débat a besoin de clarté, et c'est donc bien volontiers que je réponds à vos questions. Les deux projets qui se présentent à la décision des Français sont à ce point différents dans les mesures qu'ils comportent et les valeurs qui les sous-tendent, qu'il est fondamental que chaque Français soit pleinement éclairé avant de faire son choix.

 

Avec un taux de participation de près de 80%, les Français ont prouvé qu'ils étaient parfaitement conscients de l'importance des enjeux de ce scrutin. Avec plus de 30% des suffrages qui se sont portés sur des candidats dits protestataires, ils nous ont adressé un message d'inquiétude face à un monde en plein bouleversement.

Au terme de quatre années de crise d'une intensité sans précédent, nos concitoyens se demandent avec lucidité si la France est capable de conserver les grands équilibres de son modèle de société : des services publics de grande qualité, mais qui exigent une gestion rigoureuse des finances publiques ; un régime de protection sociale généreux, mais qui pèse exclusivement sur le coût du travail alors que la compétition internationale devient de plus en plus rude ; une société ouverte et accueillante, mais qui s'interroge sur la préservation de son identité face à des phénomènes migratoires de plus en plus difficiles à maîtriser.../...

L'INTEGRALITE DE LA LETTRE DE NICOLAS SARKOZY EST DISPONIBLE EN CLIQUANT ICI

La France Forte

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 14:35

Sport : Nicolas Sarkozy répond aux questions de Jacques Vendroux pour Radio France


Nicolas Sarkozy parle sport sur Radio France par FranceInfo

La France Forte

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 14:17

Nicolas Sarkozy était, ce vendredi 27 avril, l'invité de RTL


Nicolas Sarkozy, candidat UMP, vendredi sur RTL... par rtl-fr

 

La France Forte

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 05:49

Sarkozy 33A sept jours du second tour, sept rassemblements régionaux sont organisés en France pour lancer un appel à la mobilisation générale pour le grand rassemblement du 1 er mai, Place du Trocadéro.

L’intervention de Nicolas SARKOZY sera diffusée en direct lors de ces réunions publiques animées par des personnalités de la majorité :

- François FILLON à Woippy (Moselle) / Olympium de Woippy-Metz

- Jean-François COPÉ à Marcq-en-Baroeul (Nord) / Hippodrome

- Alain JUPPÉ à Lyon (Rhône) / Centre des Congrès

- Xavier BERTRAND à Olivet (Loiret) / Centre Culturel d'Yvremont

- Bruno LE MAIRE à Rennes (Ille-et-Vilaine) / Salle du Triangle

- Nadine MORANO à Limoges (Haute-Vienne) / Pavillon de Buxerolles

La France Forte

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 05:20

En attendant la confrontation des deux candidats le 2 mai prochain, étant donné le refus réitéré de François Hollande de débattre à plusieurs reprises avec Nicolas Sarkozy malgré les 56% des Français le réclamant, François Hollande puis Nicolas Sarkozy étaient successivement les invités de l’émission « Des paroles et des actes », ce jeudi 26 avril, sur France 2.

Le Président de la République candidat qui s’est dit « déterminé » dans cette campagne pour la victoire a déploré la dérobade persistante du candidat socialiste pour débattre avec lui devant les Français alors même qu’ « une campagne est une épreuve de vérité sur les projets et sur les personnalités ».

Tout au long de cette interview de 43 minutes, Nicolas Sarkozy a pu détailler ses positions sur la présomption de légitime défense pour les policiers, l’encadrement des loyers (proposé par le candidat socialiste) – « une stratégie déjà utilisée qui a conduit à la plus grave crise de pénurie des logements jamais connue dans notre pays » -, son refus de détruire la filière nucléaire française, la rétention de sureté contre les récidivistes dangereux mais également le droit à la formation pour tous qu’il souhaite mettre en place.

Le chef de l’Etat est, en outre, revenu sur l’impératif absolu de réduction de la dette et le retour à l’équilibre des comptes publics, qui sera avec lui une réalité en 2016, si les Français lui accordent leur confiance. « Vous pensez qu’on va trouver de la croissance en continuant à dépenser sans compter ? » a-t-il interrogé en réponse à la volonté du candidat socialiste de multiplier les dépenses et les engagements non financés… « Pour reprendre la maitrise de notre destin, il faut rembourser nos dettes parce que je ne veux pas pour mon pays la situation de l’Espagne, de la Grèce ! » a-t-il affirmé.

Il a, par ailleurs, réaffirmé sa volonté d’établir la réciprocité dans les échanges commerciaux européens afin que l’Europe n’accepte pas de produits venant de pays qui ne respectent aucune des règles que nous imposons nous à nos agriculteurs et à nos entrepreneurs. Et si, d’ici un an, l’Europe a refusé d’avancer et d’instaurer cette règle, alors la France l’appliquera seule à ses propres marchés publics pour préserver ses entreprises et ses producteurs. « On ne peut plus être le continent le plus ouvert au monde à la concurrence et en plus dire merci » a-t-il conclu.

Il a, enfin, soulevé la déconcertante incohérence du candidat socialiste qui clame chaque jour son refus du cumul des mandats tout en étant lui-même député et président du conseil général de la Corrèze ! C’est là une bien curieuse idée de l’exemplarité en politique ou même de la cohérence et donc de la crédibilité. « Je ne lui reproche pas ses positions, je lui reproche son incohérence » a-t-il affirmé, tout en soulignant qu’il estimait préférable que les parlementaires qui font la loi aient « les pieds sur le terrain ».

LES AUTRES VIDEOS DE SON INTERVENTION :

 

 

 

 

La France Forte

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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 19:19

presidentielle-115.jpgTrois débats pour faire connaître la vérité des projets

Afin que les Français connaissent le détail des projets et la personnalité des candidats et puissent faire leur choix en toute connaissance de cause, Nicolas Sarkozy a proposé, le soir du premier tour de l’élection présidentielle, que soient instaurés trois débats avant le second tour : « Les deux semaines qui viennent doivent permettre aux Français de faire un choix dans la clarté. Tout doit être débattu, sans hypocrisie, sans esquive, sans faux fuyant. C'est pourquoi je propose que trois débats soient organisés entre les deux candidats portant sur les questions économiques et sociales, sur les questions de société et sur les questions internationales ».

Une proposition que le candidat socialiste a immédiatement refusé, estimant qu’un seul débat suffisait.

Deux poids, deux mesures ?

Pas moins de 4 débats entre les socialistes pour les militants et sympathisants socialistes avaient pourtant été organisés et fortement médiatisés durant les primaires socialistes afin qu’un candidat – en l’occurrence François Hollande – soit désigné. Petit rappel.

Le premier débat, entre les 6 candidats à la primaire socialiste, diffusé le 15 septembre 2011 sur France 2, en partenariat avec Le Monde, a duré près de 3 heures. Au menu : présentation personnelle, programme économique et thème au choix (Arnaud Montebourg : le pouvoir d'achat ; Jean-Michel Baylet : sujets de société ; Ségolène Royal : les institutions de la République ; François Hollande : le nucléaire ; Manuel Valls : l'immigration ; Martine Aubry : le pouvoir d'achat.)
Le deuxième débat, de deux heures cette fois, diffusé sur I-Télé et LCP, a eu lieu le 28 septembre, sur la réponse à la crise, l'emploi, les retraites, les salaires et enfin la justice, la sécurité et l'immigration.

Une semaine plus tard, le 5 octobre, un troisième débat de 2h15, a été diffusé sur BFM TV, RMC Info et Public Sénat. Il a, quant à lui, porté sur la gouvernance, les retraites et la santé et enfin l'éducation et les services publics. Débat conclu par la question finale « Pourquoi vous ? ».

Enfin, le quatrième et dernier débat, entre François Hollande et Martine Aubry, sur l'économie, le social, l'Europe et les questions internationales comme la conception de la présidence pour la République, a duré, le 12 octobre dernier, pas moins de deux heures sur France 2.

Un rapide calcul établit donc à près de 10 heures la durée des débats entre socialistes et pour les socialistes afin de déterminer celui qui porterait leurs couleurs.

Proposition de 4 radios : la nouvelle dérobade de François Hollande

Quatre grandes radios généralistes - Europe 1, France Inter, RMC et RTL – ont, elles aussi, proposé, ce mardi 24 avril, l'organisation d'un débat en face à face un matin à une heure de grande écoute, qui permettrait de toucher près de 12 millions d'auditeurs.

Nicolas Sarkozy a accepté, le matin même, la proposition de ce second débat : « je ne fixe aucune condition : leur heure sera la mienne, leur temps de débat sera le mien et leurs sujets seront les miens » a-t-il déclaré, affirmant qu’il ne souhaitait qu’une seule chose : « que les Français aient les éléments du choix ».

« Les Français ont le droit à la vérité des projets, la vérité des personnalités et des engagements » a-t-il insisté.

Le candidat socialiste a, quant à lui, une nouvelle fois, préféré esquiver, en opposant la « règle », non écrite, en vigueur depuis 1974, voulant que les deux finalistes de l'élection participent à un seul débat télévisé entre les deux tours. Le candidat du changement s’avère donc être le chantre de la tradition et l’apôtre du conservatisme. On y reconnait bien là la triste stratégie relevée par Franz- Olivier Giesbert à l’issue de l’émission « Des paroles et des actes », le 12 avril dernier : celle du « planeur » qui s’en remet au confort des pronostics et au flou persistant de son projet pour garder toutes les chances d’être élu.

François Hollande, qui se targue d'être l'« Obama français », en réponse à son absence totale d'expérience gouvernementale, devrait pourtant prendre exemple sur son modèle : Barack Obama et John McCain ont, en effet, débattu à trois reprises durant la campagne présidentielle aux Etats-Unis en 2008.

« S’il faut quatre débats pour éclairer les socialistes, on doit pouvoir considérer qu’il en faut au moins deux pour éclairer les Français ! » a répondu Nicolas Sarkozy depuis Longjumeau, ce mardi 24 avril. « Je n’ai rien à cacher, je n’aime pas le mensonge, la dissimulation. Nous devons dire l’un et l’autre ce que nous ferons sur des sujets essentiels pour l’avenir des Français » a-t-il ajouté.

La partialité d’un temps de parole

Rappelons, en plus, s’il en était besoin, que ces 4 débats socialistes ont été organisés hors campagne présidentielle, donc en dehors de tout décompte du temps de parole ! Une belle largesse des médias dont on ne parle pas. Les compteurs de la présidentielle remis à zéro cachent, en ce sens, une incroyable distorsion, en plus d’avoir finalement préservé jusqu’au 22 avril dernier un combat à 9 candidats contre 1.

Plus qu’un devoir pour les candidats de détailler clairement leurs projets sans faux-semblant et sans esquive, ce serait, surtout, de la part de François Hollande, une marque de respect pour les Français devant lesquels il se présente. « Le débat, il ne pourra pas le fuir parce que le débat, les Français l’exigeront. C’est cela respecter le peuple de France » a déclaré Nicolas Sarkozy face à cette obstruction délibérée au libre choix des Français.

Internet

Parce que c’est surement en premier lieu sur Internet que se manifeste la majorité silencieuse que Nicolas Sarkozy appelle à se faire entendre, nous avons fait le choix d’y être fortement présents avec une campagne utile et ouverte qui parle des questions de fond qui intéressent les Français et se donne pour objectif d’aller convaincre nos concitoyens indécis, ou qui ne croient plus en la politique.

Les citoyens répondent présents, en masse, avec notamment plus de 717 000 amis de Nicolas Sarkozy sur Facebook, soit 8 fois plus que François Hollande.

C’est la raison pour laquelle c’est sur internet que nous avons voulu solliciter l’avis des Français en faveur ou contre l’instauration de trois débats avant le second tour de l’élection présidentielle. Un site internet www.3debats.fr a été lancé et recense déjà 80 000 votes en à peine plus de 24 heures, à 84,1% en faveur de ces trois débats.

M. Hollande, les Français le réclament, essuieront-ils un troisième refus ?

La France Forte

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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 19:11

presidentielle-114.jpgDiscours de Nicolas Sarkozy au Raincy

La France Forte

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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 07:07
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