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8 août 2010 7 08 /08 /août /2010 08:24
La célèbre cathédrale inachevée signée Gaudi est menacée par le creusement d'un tunnel qui doit relier en 2012 Barcelone à la France. Ce qui ferait trembler l'édifice.
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5 août 2010 4 05 /08 /août /2010 07:12
bussereau-01.jpg"Dominique Bussereau cède sa place à la Région

Le secrétaire d'État aux Transports annonce sa démission de l'assemblée régionale où il siégeait dans l'opposition. Il est remplacé par Hervé Blanché.

Volus avez choisi de quitter le Conseil régional de Poitou-Charentes. Votre commentaire…

Dominique Bussereau. Je m'étais fixé trois missions quand ma formation politique m'avait demandé d'être candidat aux élections régionales. En premier lieu, j'ai essayé de mener le combat le plus ardemment possible, avec une pause liée à la tempête Xynthia, bien naturellement. Ensuite, nous devions « changer les têtes », c'est-à-dire mener à bien un renouvellement du personnel politique, ce que nous avons fait puisque sur les 51 candidats, nous avions deux sortants et 49 nouveaux. Sur les 16 élus, nous avions deux sortants et 14 trentenaires ou « quadras ». Enfin, je m'étais fixé l'objectif d'avoir un groupe de l'opposition qui soit bien organisé et qui prépare bien les dossiers.

Mais vous n'avez pas réuni l'opposition dans un seul groupe. Pourquoi ?

Pour des raisons techniques liées à l'organisation du Conseil régional, qui permettent d'avoir des moyens supplémentaires, il y a deux groupes. D'un côté, le Nouveau centre et de l'autre l'UMP, alliée aux chasseurs et aux Villiéristes. Mais tout le travail est coordonné dans un intergroupe, que je présidais jusqu'à ce que j'aie envoyé ma lettre de démission à Mme Royal quand j'ai considéré qu'il était suffisamment organisé. Ma démission a permis de faire entrer au Conseil régional un élu supplémentaire issu de Charente-Maritime.

Quelle leçon tirez-vous de votre expérience d'un exécutif dirigé par Ségolène Royal ?

C'est une présidence très autocratique. Si j'exerçais de la même manière la présidence de mon Conseil général, tous les élus me le reprocheraient et considéreraient à juste titre que ce n'est pas un fonctionnement habituel. En Charente-Maritime, si quinze mains se lèvent quand on aborde un sujet, il y a quinze élus qui prennent la parole. En Poitou-Charentes, Mme Royal donne arbitrairement la parole à un membre de la majorité et à un membre de l'opposition. Je n'apprécie pas le fait que l'opposition ait été obligée de quitter la séance lors de la dernière commission permanente pour exprimer son désaccord sur ce mode de fonctionnement.

Allez-vous aussi quitter le gouvernement ?

On verra ça au prochain remaniement, je n'exclus pas du tout cette hypothèse. Cela fait bientôt huit ans que j'appartiens au gouvernement, c'est un long cours. De temps en temps, cela fait du bien de se régénérer un peu, mais c'est une décision qui appartient au Premier ministre et au président de la République. Pour l'instant, je suis au gouvernement et je reste en éveil sur les dossiers dont j'ai la charge.

Avec la Ligne grande vitesse (LGV), vous pouvez penser que votre mission est aussi accomplie aux Transports…

Je suis content que le TGV Sud-Europe Atlantique soit lancé sur la section Tours-Bordeaux, mais j'ai aussi un « scoop » sur les Grands projets du Sud-Ouest (GPSO) vers l'Espagne et vers Toulouse. J'ai signé la décision sur le choix de tracé pour ce qui me concerne et j'attends maintenant la signature de Jean-Louis Borloo.

En 2011, vous allez concentrer vos efforts sur les cantonales ?

Nous avons déjà eu de nombreuses séances de travail là-dessus avec mon équipe de la majorité en Charente-Maritime. Nous avons déjà arrêté la liste des candidats destinés à reprendre des cantons qui sont détenus pas nos concurrents et je compte bien m'y consacrer à plein temps, dès la rentrée." Le Sud Ouest du 050810

 

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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 16:40

hers-01.JPGCi-dessous vous pourrez lire la lettre "la LGV et les risques majeurs" qui a été envoyée à l’attention de Mesdames, Messieurs :

 

le Président de la République, le Premier Ministre,

le Ministre de l’Intérieur, de l’Outre Mer et des collectivités territoriales,

le Ministre de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement Durable et de la Mer,

la Secrétaire d’Etat chargée de l’Ecologie, le Secrétaire d'État chargé des Transports,

le Ministre de la Culture et de la Communication,

le Ministre de l'Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche,

 

" LGV : L’étude du Laboratoire Régional des Ponts et Chaussées de Toulouse

 

Le glissement de terrain est, en France, le deuxième risque naturel après les inondations.

Dans le coteau sur lequel sont situés Pompignan et Saint Rustice,  RFF prévoit de réaliser un tunnel pour le TGV dans sa proposition « D ». Ce projet cumule deux risques :  le risque Mouvements de Terrain, risque de niveau rouge et le risque inondation.

 

Une analyse géologique a été réalisée par le Laboratoire Régional des Ponts et Chaussées de Toulouse. Elle met clairement en évidence « la modification du régime hydraulique naturel et les mouvements de terres ». Dans la proposition « D », RFF veut réaliser un tunnel dans la zone rouge dans laquelle « toute nouvelle construction devrait être interdite » et dans laquelle les « travaux comme la réalisation de construction, ouvrage ou aménagement de toute nature même provisoire, sont à proscrire pour ne pas augmenter le risque ou activer les mouvements »

 

Il convient donc d’appliquer, à fortiori dans cette zone à risques, le principe de précaution.

 

De plus, dans une lettre datée du 15 février 2010 et cosignée par Jean-Louis BORLOO et Chantal JOUANNO, le Ministre d’Etat et la secrétaire d’Etat chargée de l’Ecologie soulignent l’importance du Principe de Précaution inscrit dans la Constitution depuis 2005. Ils insistent notamment sur la continuité des décisions à prendre dans les situations où le risque est avéré.

 

Le Collectif Régional "Union Pour la Sauvegarde des Villages" dénonce les risques considérables que prend RFF avec le tracé « D », alors que le tracé « autoroute » proposé par le collectif est plus sécuritaire au niveau des Risques Majeurs.

 

Mr Thierry Fourcassier, Porte Parole du Collectif Régional, revient également sur « la modification du régime hydraulique » indiqué par le Laboratoire Régional des Ponts et Chaussées. «  Nous venons d’avoir un exemple des conséquences de cette modification la semaine derrière avec le forage du tunnel pour le TGV dans les Pyrénées Orientales. En ont découlé le tarissement de sources et des modifications de l’écoulement de l’eau. A Pompignan et Saint Rustice, la zone est déjà classée inondable et en risque mouvements de terrains. Les conséquences d’une modification de l’équilibre instable hydraulique pourraient être catastrophiques. Pourquoi aggraver ces risques avec la proposition « D » de RFF alors que la proposition « autoroute »  est bien plus sécuritaire ? Espérons que Jean Louis Borloo et Dominique Bussereau prennent la bonne décision. »

Thierry Fourcassier

Secrétaire et porte parole du collectif régional Union Pour la Sauvegarde des Villages

 

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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 16:27

TGVIl y a quelques semaines les différentes associations du Collectif "Union pour la Sauvegarde des Villages" ont envoyé une lettre aux différents ministres concernés de près où de loin par le tracé de la LGV Bordeaux Toulouse afin de faire valoir la tracé "Autoroute". Voici la réponse du Ministre Bruno Le Maire

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 06:57

TGV_230.jpg"Depuis plus de douze ans qu'on leur parle de la LGV, les Ruscadiens peuvent enfin, et c'est un euphémisme, se rendre compte de l'impact du tracé de la future ligne à grande vitesse, visible actuellement sur le terrain. La commune sera traversée sur 4,5 km dans un axe NE-SO.

Après cette phase de déforestation, voici venu le temps de l'archéologie préventive, étape indispensable avant le démarrage des travaux. Cette mission de service public, placée sous l'autorité du préfet et de la Direction régionale des affaires culturelles, sera confiée aux techniciens de l'Inrap qui sont chargés de « fouiller » le sol à la recherche de vestiges du « temps passé ».

La sauvegarde des archives du sol reste le maître mot de leur mission. À la suite des recherches, l'Inrap établira un diagnostic qui permettra de vérifier qu'aucune trace humaine n'a été relevée sur l'emprise de la LGV.

Si le diagnostic confirme la présence de vestiges significatifs, le préfet peut prescrire la modification du projet d'aménagement.

Mais le train est en marche, qui pourrait l'arrêter ? " Le Sud Ouest du 020810

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31 juillet 2010 6 31 /07 /juillet /2010 07:21

TGV_226.jpg"Depuis le passage, à 400 mètres de là, du tunnelier chargé d'ouvrir le passage sous terre de la ligne à grande vitesse (LGV) entre Barcelone et Perpignan, l'eau ne coule plus au mas Molas du Boulou (Pyrénées-Orientales). Cette eau fraîche, issue du ruissellement sur le massif des Albères ne permet plus d'arroser le verger et les pelouses d'Olav Knudsen, un retraité norvégien de 63 ans qui s'est lancé dans un bras de fer juridique avec TP Ferro, chargé d'exploiter la ligne TGV.

« C'est au moment où le tunnelier est arrivé dans le secteur de notre mas que l'eau s'est arrêtée de couler. Et elle n'est plus jamais revenue. C'est comme si le tunnel avait coupé la trajectoire de l'eau dans le sol » estime Olav Knudsen, furieux. « Il est bien clair que ce tunnel a traversé des failles du sol. Ces failles permettent à l'eau des sources de remonter jusqu'à la surface. Le problème c'est qu'on ne sait pas quand l'eau va revenir, si, toutefois elle revient un jour » diagnostique Henri Salvayre hydrogéologue qui était expert sur le chantier de la ligne LGV. « Dans ce dossier, nous n'avons aucune preuve de la relation de cause à effet entre la construction du tunnel et le tarissement de la source. Au niveau historique on ne sait même pas si la source coulait encore au moment des travaux » répond Arnaud Clarissou, responsable environnement de TP Ferro à Figueras (Espagne). Depuis le grand chantier transfrontalier, la commune du Boulou aurait perdu trois sources. « Et nous sommes inquiets pour l'avenir car on nous promet un nouveau chantier, celui du tunnel de la THT parallèle à ceux du TGV. Et nous redoutons qu'à terme ces creusements finissent par affecter le débit des eaux minérales qui alimentent notre station thermale. Pour nous ce serait une catastrophe économique » prévient Christian Olive, le maire. En attendant, « Olav de Florette » comme l'appelle ses voisins, a refusé l'aide de 14 000 € que lui octroyait TP Ferro pour réaliser un forage et retrouver de l'eau." La Dépêche du 280710

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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 10:01

Une réunion s'est déroulée le 24 juin dernier à Montauban sur le sujet suivant : L'environnement. Lire la suite

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24 juillet 2010 6 24 /07 /juillet /2010 14:07

"Mercredi après midi, une cinquantaine d'opposants à la LGV ont manifesté devant la mairie d'Ustaritz, pour soutenir les agriculteurs suite à la manifestation d'Urrugne.

Tous protestent contre la cicatrice que laisserait une nouvelle ligne sur leur territoire et refusent l'enquête entamée par la Chambre d'agriculture, pour recenser et hiérarchiser les endroits sensibles à l'intérieur du fuseau.

Ambiance très tendue

Après la mairie, les manifestants se sont dirigés vers la salle Lapurdi où avaient lieu, depuis la veille, des rendez-vous entre propriétaires fonciers et représentants de la chambre d'agriculture. Ils ont investi les lieux pour marquer leur mécontentement, dans une ambiance très tendue.

« Cette action en faveur de l'agriculture prend le relais de celle d'Urrugne, elle se poursuivra dans chaque village concerné. La solidarité intercom- munale est très forte », affirmait Didier Rouget, un représentant de l'association UDE (Ustaritz défendre l'environnement). " Le Sud Ouest du 230710

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24 juillet 2010 6 24 /07 /juillet /2010 14:00

TGV_225.jpg"Suite à la création de l'association Landes Graves Viticulture Environnement Aruan (LGVEA), le conseil d'administration a été constitué comme suit : président, Jean-Robert Thomas ; vice-président, Michel Lopez ; secrétaire, Nathalie Coulom ; secrétaire adjoint, Yves Barillon ; trésorière, Françoise Grevin ; trésorier adjoint, James Grevin ; membres du conseil d'administration : Guylène Sèze, Philippe Sèze, Paul Ragon.

Christian Tamarelle, maire de Saint-Médard-d'Eyrans et président de la Communauté de communes de Montesquieu (CCM) a accepté d'être le président d'honneur de l'association. Le syndicat viticole des Graves est adhérent de la LGVEA de par son président M. Haverlan. L'association compte, à ce jour, plus de 130 adhésions.

Lettre au préfet

Michel Lopez a déclaré que la LGVEA rejetait en bloc l'arrivée de la ligne à grande vitesse (LGV) : « Le Conseil général a déjà voté des fonds tandis que le Conseil régional diligeante une enquête complémentaire dont le cahier des charges est orienté dans le sens du projet », précise le vice-président de la LGVEA qui ajoute « nous devons réagir rapidement ».

Dans un premier temps, un courrier a été adressé au préfet en copies au ministre des Transport et auprésident de la République. Des rendez-vous sont demandés en préfecture et au Conseil général. Tracts et banderoles ne devraient pas tarder à apparaître en Aruan. « A la demande de nos adhérents, d'autres actions doivent être organisées dès la rentrée », souligne Michel Lopez qui précise « la rentrée sera chaude mais non violente ». Le Sud Ouest du 220710

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23 juillet 2010 5 23 /07 /juillet /2010 09:20
16 Jean Jacques BOLZANMission Locale de Haute-Garonne : Jean-Jacques BOLZAN dénonce une « situation scandaleuse et révoltante »

La chambre régionale des comptes vient de rendre un rapport particulièrement édifiant au sujet de la gestion de la Mission Locale de Haute-Garonne dont les ressources proviennent essentiellement du département (le Conseil général lui alloue une subvention de plus d’un 1 Million d’euros) : opacité budgétaire dans les comptes et les attributions de budget, utilisations financières frauduleuses, augmentation des charges salariales, favoritisme et largesses financières à l’égard de certains employés …. Jean-Jacques Bolzan, ancien maire de quartier de Saint Martin du Touch, secrétaire départemental du parti radical se dit « scandalisé » par une telle situation. « Il est important de la dénoncer et surtout de faire connaître ce rapport de la Chambre Régionale des Comptes au grand public. Nous traversons une période de crise et la moindre des choses serait que les organismes publics fassent preuve d’intégrité, de justesse et surtout de loyauté. D’autant plus que la Mission Locale a pour vocation d’aider les personnes en difficulté. Je demande donc au Président du Conseil Général, Monsieur Izard, d’intervenir personnellement pour assainir cette situation et surtout vérifier l’utilisation de la subvention qu’elle verse. Je rappelle que le Président de la Mission Locale n’est autre que le conseiller général du canton de Saint-Martory, le socialiste Joseph Lafuste.
Comment peut on être à la fois juge et partie ? Il est temps de s’interroger, il est temps de saisir le Procureur de la République. Monsieur Izard doit prendre et assumer ses responsabilités
» conclut Jean-Jacques Bolzan.

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