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19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 12:09

Sarkozy 33Mes chers amis,

J'ai annoncé cette semaine ma candidature à l'élection présidentielle.

Pendant cette campagne qui commence, je veux aller à votre rencontre pour écouter, échanger et proposer.

Pendant cette campagne, je veux insuffler une énergie nouvelle à la France, cette France que nous aimons, pour laquelle je n'ai cessé d'agir, et que j'ai toujours cherché à protéger de la crise et de l'adversité.

Le seul sujet de cette campagne, c'est la France. Qu'allons nous faire pour elle en cette période faite de risques, de difficultés mais aussi d'opportunités et d'espoir ?

Un ancien monde a du mal à mourir. Un nouveau monde a du mal à naître. Et dans cet entre-deux, nous devons faire un choix. Nous pouvons choisir d'attendre et de subir, ou nous pouvons agir et prendre en main notre destin en relevant les défis du présent, en poursuivant le train des réformes dont notre pays a besoin.

C'est cette voie du courage que je vous propose aujourd'hui. Celle du travail, de l'effort et de la responsabilité. Celle d'une France forte.

Cette France, c'est avec vous que je veux la bâtir et la faire grandir.

Voilà pourquoi je veux parler avec les Français.

Voilà pourquoi j'ai décidé d'être candidat.

Vous pouvez compter sur ma détermination.

Avec toute ma fidélité, et mon amitié

 
 
 
 

Nicolas Sarkozy

Rejoignez la campagne sur www.lafranceforte.fr

 

 
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19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 10:03

TGV_1215.jpgMercredi, plus de 100 Montguyonnais et Saint-Martinois ont répondu à l'invitation de Lisea, le concessionnaire de la LGV. Le concepteur-constructeur Cosea a présenté le projet et détaillé les principaux impacts sur les deux communes traversées par 5,9 km (5,2 + 0,7) de lignes.

Quels impacts ?

Les travaux les plus spectaculaires vont s'étendre sur trois ans : 2012, construction des ouvrages ; 2013, les terrassements et 2014, couche de forme et sous-couche. Deux viaducs vont être édifiés pour franchir l'étang de la Goujonne et le Mouzon.

Pour respecter la réglementation contre le bruit, 1 285 mètres d'écran acoustique et 870 mètres de merlon seront réalisés. Durant les travaux, la circulation sera maintenue sur les routes départementales. En revanche, contre un itinéraire de substitution sera créé pour les voies communales n° 3 et 5.

La sécurité tant sur le chantier qu'à l'extérieur a été développée. Deux informations pratiques à noter concernant l'emploi : les candidatures doivent passer par Pôle emploi et des maçons sont recherchés.

Pour informer les riverains mais aussi ceux qui s'intéressent au projet, Lisea a créé un site Internet www.lgv-sea-tours-bordeaux.fr. On y trouvera notamment le suivi de l'avancée du chantier. Un périodique « Lisea Express » sera adressé aux riverains quatre fois par an. La prochaine édition est fixée à fin mars. Il est également envisagé de faire des réunions publiques d'information et des visites organisées de chantier. L'assemblée était composée de personnes souhaitant parfaire leur connaissance, mais aussi de propriétaires fonciers mécontents devant céder moyennant rétribution une partie de leur patrimoine situé sur l'emprise de la ligne.

La formule « manque de respect aux propriétaires fonciers » regroupe en fait des problèmes particuliers de natures diverses : piquetage mal positionné, déboisement allant au-delà de l'emprise, enclavement de parcelle, acte d'achat non passé alors que les travaux ne vont pas tarder à démarrer…

La société concessionnaire de la LGV Lisea a reçu les pétitionnaires à l'issue de la réunion.

Le Sud Ouest

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 11:54

jean françois copé-copie-1La candidature de Nicolas Sarkozy est porteuse d’espérance pour les Français. Dès son entrée en campagne, il a mis la France au cœur du débat. Nicolas Sarkozy est le seul à porter un projet ambitieux pour la France et les Français. Il est le seul à pouvoir sortir notre pays de la crise et à le faire entrer dans le XXIème siècle. Trois mots ont marqué à mon sens son entrée en campagne.

D’abord, la vérité. Nicolas Sarkozy se présente en vérité face aux Français et il leur dit toute la vérité. A l’opposé de la duplicité permanente de François Hollande. Oui, Nicolas Sarkozy a protégé les Français et la France est un des pays qui a le mieux résisté à la crise. Bien sûr, il reste du chemin à parcourir. Et c’est pour cela que nous avons besoin de la détermination, du courage et de l’aptitude de Nicolas Sarkozy à prendre des décisions, même quand elles sont impopulaires, pour réformer encore notre pays dans les 5 ans qui viennent.

Ensuite, l’ambition. La France de Nicolas Sarkozy, c’est une France forte, fidèle à son Histoire, à sa culture, à sa grandeur. La France ne restera forte que si elle poursuit les réformes structurelles qui modernisent notre pays : revalorisation du travail, réduction des dépenses, compétitivité de nos entreprises. C’est ce chemin de courage que propose Nicolas Sarkozy aux Français.

Enfin, le peuple. Nicolas Sarkozy veut remettre le peuple au centre du jeu, en particulier tous ces Français qui se sentent dépossédés de leur pouvoir. Parce que chaque Français a le droit de décider de son avenir, il veut leur donner les moyens de trancher en n’ayant pas peur d’avoir recours au référendum. Remettre le peuple au centre du jeu, c’est aussi rassembler autour de valeurs -travail, autorité, responsabilité- qui appartiennent à tous, pas seulement à la droite ou à la gauche. Ces valeurs sont le corolaire de la générosité.

La France est à la croisée des chemins. Pour conserver la maîtrise de son destin, elle a besoin d’un second quinquennat de Nicolas Sarkozy. Cette campagne sera dure : nos adversaires sont prêts à toutes les démagogies. Ils croient même avoir déjà gagné. Le peuple français est souverain, jamais il ne s’est laissé dicter ses choix. C’est à nous de le convaincre que nous portons la dynamique de changement et l’espérance pour la France. C’est à nous de lui démontrer que le seul à incarner le courage, le rassemblement et la générosité, c’est Nicolas Sarkozy.

Ce qui se joue dans les prochaines semaines, c’est l’avenir de notre pays.

À travers cette élection c’est l’avenir des enfants de France que nous construisons !

Mobilisons-nous pour une France forte, pour la victoire de Nicolas Sarkozy !

UMP

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 11:47

Sarkozy 33

Nicolas Sarkozy est candidat

Le compte à rebours a commencé,

La mobilisation doit être totale !

Soutenez personnellement Nicolas SARKOZY,

EN FAISANT UN DON ICI

 


Depuis hier, Nicolas SARKOZY est officiellement candidat au suffrage des Françaises et des Français pour l'élection présidentielle de 2012. Cette décision, que nous appelions de tous nos voeux, revêt bien sûr une signification toute particulière pour la France. Les semaines qui viennent vont être cruciales, et je sais pouvoir compter sur votre fidélité pour aider Nicolas SARKOZY dans cette bataille.

La campagne va être très courte. C’est donc dès aujourd’hui que, nous, les plus fidèles
amis et soutiens de Nicolas SARKOZY, devons
AGIR.

Oui,
Nicolas SARKOZY a besoin de vous et de toute votre aide afin de gagner l’élection
présidentielle. Pour cela vous pouvez faire un don
ICI aujourd’hui même. Vous savez qu’une campagne est faite de milliers d’actions : édition de documents, organisation de rencontres, mise en place de comités de soutien, déploiement de grandes réunions publiques, financement de nombreux moyens de communication...

Rassembler, organiser, expliquer, convaincre, riposter, financer, telles sont les missions qui nous
sont confiées et que nous devons mener aujourd’hui même.

Faisons mieux que de vouloir la victoire, agissons ensemble pour faire gagner Nicolas SARKOZY !

 

OUI, je souhaite la victoire de Nicolas SARKOZY

don 


Merci par avance de votre contribution pour agir et de votre engagement à nos côtés.

Très fidèlement,

Jean-François COPÉ

Secrétaire Général de l'UMP

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 09:49

Sarkozy 33Revivez le 1er meeting de campagne de Nicolas Sarkozy à Annecy


Discours de Nicolas Sarkozy lors de son premier... par NicolasSarkozy

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 09:43

groupe-22.jpgFaisant suite à la décision du président du Conseil Général du Lot-et-Garonne de renoncer au financement de la ligne LGV, le président de la Région Midi-Pyrénées, Martin Malvy lui a emboîté le pas, envisageant ouvertement une remise en cause de la participation de notre région au financement du tronçon LGV Tours-Bordeaux.

Les élus du groupe Osons Midi-Pyrénées, qui avaient permis, par leur vote, l’adoption du financement de la LGV, alors que Martin MALVY avait été lâché par sa majorité régionale, dénoncent fermement cette volte-face, qui au nom d’un sempiternel et caricatural discours anti-gouvernemental, constitue un chantage irresponsable et scandaleux sur le projet le plus important des dix prochaines années, pour le développement de Midi-Pyrénées.

Des gisements d'économie existent au sein des collectivités locales (frais de fonctionnement, de personnels, de réception, de communication...) pour privilégier les projets structurants indispensables au rayonnement économique de notre Région.

Osons Midi Pyrénées

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 08:58

la-voix-est-libre-02.jpgNicolas Sarkozy sera donc bien candidat à sa propre succession. Trois jours après cette annonce, l’émission "La voix est libre" essaie de mesurer les chances du président sortant : peut-il inverser la tendance des sondages, sur quels thèmes de campagne peut-il se réconcilier avec les Français ? Et sur le terrain de Midi-Pyrénées, quel écho peut désormais avoir la bataille pour l’Elysée ?

Nos invités :
- Aurélien Pradié, conseiller général du Lot et secrétaire national de l’UMP chargé de la jeunesse
- Monique Bultel-Herment, adjointe au maire PS de Rodez
Bonne réception.

La Voix est libre

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 08:36

TGV_1213.jpgPar Régis Godec, adjoint au maire de Toulouse en charge des écoquartiers et candidat Europe Ecologie Les Verts aux élections législatives sur la 4e circonscription de Haute-Garonne.  

Cette semaine a connu quelques coups de tonnerre retentissants, sur le dossier du financement de la ligne à grande vitesse qui devrait être mise en chantier à partir de 2014, et qui à terme pourrait relier Toulouse à Paris. Ce serpent de mer ne cesse de s’agiter depuis quelques mois. Il est probable que les échéances politiques à venir n’y soit pas étrangères.

Le privé avantagé

Le protocole d’accord sur le financement a été signé avec de très grandes difficultés et l’équilibre financier de ce projet reste très précaire. Les collectivités locales sont appelées à financer les études et les travaux à un niveau inédit en France, le tour de table des financeurs s’est même conclu en 2011 par une décision du gouvernement de contraindre une Région à participer au financement du projet à hauteur de 100 millions d’Euros alors que cette infrastructure n’est pas de sa compétence …

Le partenariat public privé mis en œuvre pour financer l’infrastructure est très favorable au concessionnaire Vinci qui pourtant ne finance que 30 % de l’investissement.

Bluff

Depuis des mois, l’on sent qu’une partie de poker menteur se joue sur ce dossier entre l’Etat et les collectivités locales et qu’aucun de ces acteurs ne souhaite pouvoir être mis en accusation de mettre en danger le projet. Le coût du projet a augmenté significativement au fil des études, et les montants de financement évoqués semblent hors de portée pour les finances des collectivités locales (Pour le tronçon Tours-Bordeaux uniquement : Région : 102 millions, Conseil Général 69 millions, Communauté Urbaine : 53 millions…).

Un seul projet peut répondre à tous ces enjeux, celui de la modernisation des voies existantes

 

Depuis quelques mois le jeu de bluff s’étoffe, et chaque fois que l’un des acteurs a évoqué sa crainte de ne pas pouvoir assumer sa mise, les autres se sont dressés sur leurs ergots, en les accusant de mettre en danger le projet… Ainsi le 16 décembre 2011, en clôture des assises du ferroviaire la ministre a fait savoir qu’elle jugeait utile de soumettre le projet à l’examen d’une commission indépendante pour juger de l’opportunité de rénover les voies existantes ou de financer des lignes grande vitesse dédiées au trafic unique des TGV. La riposte fût immédiate et les collectivités locales se sont régalées à demander au gouvernement de confirmer ses engagements dans le financement du projet.

A vrai dire, plus cette partie avance, plus j’ai l’impression que les grands perdants sont les voyageurs et les contribuables. Car pendant ces années passées à promettre l’arrivée de la LGV dans 8 ans à Toulouse, rien n’a été fait pour mettre en oeuvre le projet réellement finançable et qui permettrait des connexions rapides entre Paris – Bordeaux – Toulouse, mais permettrait également d’être prolongé vers Narbonne et l’Espagne. Un seul projet peut répondre à tous ces enjeux, celui de la modernisation des voies existantes… Le seul projet qui aurait des retombées sur les réseaux régionaux de transport et le fret ferroviaire et que les élus écologistes défendent depuis des années.

Dans quelques mois il se pourrait que le gouvernement change et que l’Assemblée nationale bascule à gauche. Il serait alors prudent de trouver un plan B qui éviterait l’affrontement et permettrait de sortir de cette impasse politique

 

Laisser le mauvais rôle à l’Etat

Les lignes bougent ces jours derniers car certaines collectivités locales signataires du protocole d’accord de financement annoncent leur incapacité à honorer leurs engagements. Lundi 13 février le département du Lot et Garonne annonçait qu’il ne pourrait tenir ses engagements , suivi le lendemain par le Conseil Général du Gers… Martin Malvy dans cette situation décide de faire l’étonné, et fait savoir que si le contrat de financement n’est pas honoré par tous les partenaires il se verrait dans l’obligation de retirer les crédits de la Région Midi-Pyrénées sur le projet.

En réalité cette évolution de stratégie ne doit certainement rien au hasard, et si les collectivités locales ont choisi de prendre le parti du volontarisme financier sur ce dossier, c’est avant-tout pour ne pas apparaître comme les fossoyeurs du projet et dans le but de laisser ce rôle au gouvernement. Seulement, dans quelques mois il se pourrait que le gouvernement change et que l’Assemblée nationale bascule à gauche. Il serait alors prudent de trouver un plan B qui éviterait l’affrontement et permettrait de sortir de cette impasse politique sans réclamer à la nouvelle majorité d’augmenter la participation gouvernementale et de contraindre les collectivités réticentes au « racket » institutionnalisé.

Ces grandes manœuvres se voient de loin, elles laissent perplexes sur la capacité de répondre aux défis du présent sur nos territoires avec des jeux aussi partisans et court-termistes… Nous avons perdu des années précieuses par ces postures vaines, espérons que l’on reparte rapidement vers un projet réaliste et ambitieux.

Carré d'Info

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 08:21

TGV_1212.jpgAprès celui du Lot-et-Garonne, le président du conseil général du Gers a confirmé sa volonté de ne pas participer au financement de la LGV. Selon lui, c'est un « chantier d'Etat ».

Le calendrier de la ligne ferroviaire à grande vitesse (LGV) au sud de Bordeaux pourrait-il être remis en cause après le refus des Conseils généraux du Lot-et-Garonne et du Gers de participer à son financement ?

Le président du conseil général du Lot-et-Garonne Pierre Camani (PS) a mis le feu aux poudres en déclarant lundi que, pour des raisons budgétaires, le département ne pouvait participer au financement des deux branches de la LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Hendaye, soit de 90 à 100 millions d'euros.

Mardi soir, le président du conseil général du Gers, Philippe Martin (PS) a, à son tour confirmé qu'il se retirait du financement des LGV Tours-Bordeaux et Bordeaux-Toulouse, reprenant l'argument qu'il s'agit d'un « chantier d'Etat » (Lire ci-contre).

Ces décisions interviennent à quelques jours d'un rendez-vous important. Le 29 février en effet, l'association TGV Sud Ouest, ont l'objectif est de défendre le dossier de l'arrivée du TGV en Midi-Pyrénées, se réunit à Toulouse en présence du PDG de la SNCF, Guillaume Pepy.

Hier, François Simon, membre d'Europe Ecologie les Verts au conseil régional de Midi-Pyrénées, a estimé qu'il fallait profiter de cette réunion pour travailler sur la modernisation des voies existantes. « C'est la seule solution pour que le TGV arrive enfin en gare de Toulouse-Matabiau. Un tel projet permettrait aux collectivités locales de dégager des marges financières et de se recentrer sur leurs domaines de compétences » a-t-il déclaré.

Pour sa part, le président de la Région Aquitaine Alain Rousset (PS), a estimé qu'il fallait « raison garder ».

« Le gouvernement a demandé à plusieurs collectivités locales de partager le financement de cette infrastructure. Il faut aujourd'hui que le gouvernement entende que ces collectivités locales sont dans une situation financière fiscale difficile », souligne Alain Rousset.

Il a également lancé un appel aux élus des grandes collectivités « à poursuivre ce qui pour l'Aquitaine et Midi-Pyrénées est le chantier du siècle, car il s'agit de l'avenir de nos région ».


« L'Etat nous fait les poches »

Président du conseil général du Gers, Philippe Martin (PS) a confirmé sa décision de ne pas participer au financement du tronçon Bordeaux-Toulouse de la LGV. Il s'explique.

Pourquoi refusez-vous de participer au financement de la LGV ?

L'Etat ne peut pas continuer à faire les poches des collectivités locales pour financer des chantiers qui sont de son ressort. C'est le cas pour la LGV. C'est aussi le cas pour la RN 21 sur laquelle rien n'a été fait depuis trente ans. On demande de financer avec les impôts des habitants du Gers un montant de 8 millions d'euros pour une partie des tronçons Tours-Bordeaux et Bordeaux-Toulouse de la LGV alors que pas un centimètre de cette future ligne à grande vitesse ne traverse le Gers. On va sortir 42 millions d'euros pour améliorer la RN 124, une route nationale de la responsabilité de l'Etat qui, depuis 2004, a accumulé les dettes envers le département du Gers. Il doit 37 millions d'euros au titre des transferts sociaux non compensés et, en 2011, il vient encore de réduire ces dotations de 6,6 millions d'euros. La situation de quasi asphyxie budgétaire dans laquelle le gouvernement plonge les collectivités locales est insupportable.

Que répondez-vous à ceux qui vous reprochent de mettre en péril l'avenir de la LGV ?

Qu'ils se moquent du monde. Savez-vous ce que représente la part demandée au conseil général du Gers sur le montant total des travaux, estimé à environ 13 ou 14 milliards d'euros ? Nos 8 millions ne représentent que 0,05 % du montant total. Ma décision de ne pas financer la LGV n'est pas nouvelle. Le 28 janvier dernier, lors du débat d'orientation budgétaire, j'avais annoncé que le poids des financements des chantiers d'Etat par les collectivités locales devenait difficile à supporter. En 2012, nous devions verser 350 000 € pour la LGV. Nous ne le ferons pas. Je signale quand même que d'autres départements, comme le Lot, ont constamment refusé de participer au financement de la LGV.

RÉACTIONS DES LECTEURS

Reponse du groupe UMP au Conseil Régional (par Elisabeth Pouchelon - 16/02/2012 10:29)

Faisant suite à la décision du président du Conseil Général du Lot et Garonne de renoncer au financement de la ligne LGV, le président de la Région Midi-Pyrénées, Martin Malvy lui a emboîté le pas, envisageant ouvertement une remise en cause de la participation de la région au financement du tronçon LGV Tours-Bordeaux.
Le groupe Osons Midi-Pyrénées, qui avait permis par son vote, l'adoption du financement de la LGV, alors que Martin MALVY avait été lâché par sa majorité régionale, dénonce fermement cette volte-face, qui au nom d’un sempiternel et caricatural discours anti-gouvernemental, constitue un chantage irresponsable et scandaleux sur le projet le plus important des dix prochaines années, pour le développement de Midi-Pyrénées.
Des gisements d'économie existent au sein des collectivités locales (frais de fonctionnement, de personnels, de réception, de communication...) pour privilégier les projets structurants indispensables au rayonnement économique de notre Région.
Elisabeth Pouchelon conseillère régionale UMP
candidate aux élections législatives sur la 9° circonscription de la Haute Garonne

La Dépêche du Midi

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16 février 2012 4 16 /02 /février /2012 18:16
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