Ambiance de folie à la concorde avant l'arrivéee de Nicolas Sarkozy à la Concorde
UMP 31 DU CANTON DE FRONTON
Quand cela concerne le voisin, ce n'est pas grave
Mais quand cela vous touche, c'est le drame ...
Ambiance de folie à la concorde avant l'arrivéee de Nicolas Sarkozy à la Concorde
Aidez Nicolas Sarkozy à construire la France forte, convainquez votre entourage en partageant massivement cette vidéo !
Rendez-vous dans quelques jours pour le prochain numéro.
Nous vous remercions pour votre engagement et vous disons à très bientôt.
Jean Luc Moudenc
Laurence Arribagé
A Bompas, près de Perpignan, ce samedi 14 avril, Nicolas Sarkozy a rendu un hommage appuyé aux harkis et aux rapatriés sur ces terres des Pyrénées Orientales, après un déplacement en tant que Président de la République, au cours duquel il a reconnu officiellement la « responsabilité historique » de la France dans « l'abandon des harkis » à la fin de la guerre d'Algérie, en 1962.
Harkis : une reconnaissance historique
C’est une immense communauté de près de 500 000 personnes en France qui attendait ce geste fort et ces mots depuis maintenant 50 ans. « La France se devait de protéger les harkis de l'histoire, elle ne l'a pas fait. La France porte cette responsabilité devant l'histoire, c'est cette responsabilité que je suis venu reconnaître ici à Perpignan » a-t-il affirmé. « La France doit, comme elle l'a toujours fait, regarder son histoire en face et assumer les erreurs qu'elle a pu commettre. En l'occurrence, rien ne peut expliquer, rien ne peut excuser l'abandon de ceux qui avaient fait le choix de la France », avait déclaré quelques heures plus tôt le chef de l'Etat.
En réunion publique devant des milliers de sympathisants, il a rappelé cette « injustice » envers tous ceux qui avaient défendu la France les armes à la main » et a appelé au pardon et à la réconciliation. Les Pieds noirs n’ont pas été oubliés : Nicolas Sarkozy a rappelé combien ils avaient souffert, « déracinés », parce qu’ils avaient « laissé là-bas une partie de leur cœur et de leur famille ».
Terrorisme : avec Nicolas Sarkozy, la démocratie française se défend
Le Président de la République candidat a, ensuite, détaillé avec force les mesures phares de son programme, sa vision d’une France forte, les valeurs qui fondent son engagement.
Evoquant la terrible tragédie de Toulouse et de Montauban au cours de laquelle 3 enfants, un père, enseignant, et 3 militaires ont été froidement abattus, Nicolas Sarkozy a rappelé que ces événements « devaient nous amener à réfléchir ». « La France est restée unie. Elle n’a pas acceptée l’amalgame. »
« La France est une démocratie et la liberté d’opinion fait partie de nos principes mais il y a des opinions qui sont des menaces, qui ne sont donc pas des opinions. Les démocraties doivent se défendre, faire respecter la sécurité. Et parce qu’elles sont des démocraties, elles ne doivent pas accepter tout et n’importe quoi ».
C’est pourquoi le Président de la République a rappelé, alors que le Conseil des ministres a adopté ce mercredi le projet de loi contenant les nouvelles mesures destinées à lutter contre le terrorisme, les mesures immédiates qu’il avait décidées après le drame.
D’abord, la consultation habituelle de sites internet qui font l’apologie du terrorisme ou qui appellent à la haine et à la violence sera réprimée et punie pénalement, « de la même façon que lorsqu’on consulte des sites pédophiles, on est considéré comme un complice des pédophiles ».
Toute personne se rendant à l’étranger pour y suivre des travaux d’endoctrinement à des idéologies conduisant au terrorisme sera, de la même manière, punie pénalement. La propagation de ces idéologies extrémistes sera réprimée par un délit figurant dans le code pénal. Enfin, une mesure permettra de hâter les expulsions des extrémistes et d’interdire de séjour « tous ceux qui ont tenu des propos infamants contre la France ou contre les valeurs de la République ».
Défendant fermement le ministre de l’intérieur qui avait, quelques jours auparavant, interdit l’entrée sur le territoire, à des prédicateurs extrémistes, Nicolas Sarkozy a affirmé que « la République est suffisamment forte pour défendre son idéal et ses valeurs et j’assume pleinement les décisions du ministre de l’intérieur qui a interdit la venue sur notre territoire parce qu’ils défendaient des idées qui ne sont pas celles de la République française. C’est la France forte ! »
Refuser le droit de vote des étrangers : « Si on veut le droit de vote, on devient un citoyen français ! »
« Et la France forte, elle dit de la même façon qu’un étranger ne vote pas aux élections françaises ! » a-t-il poursuivi, condamnant la volonté du candidat socialiste d’accorder le droit de vote aux étrangers aux élections locales. « Si on veut le droit de vote, on devient un citoyen français ! »
« Je sais que je rassemble toutes les familles de la majorité mais je garde le même discours ! » a-t-il affirmé, montrant la constance de ses idées et de ses engagements.
Immigration : « la France doit continuer à accueillir mais, avec la même force, je veux vous dire qu’on ne peut pas accueillir uniquement parce que nos prestations sociales sont plus généreuses que les autres ! »
Nicolas Sarkozy a fermement défendu la principale proposition de son projet pour une immigration maîtrisée : la division de moitié du nombre d’étrangers acceptés sur le territoire français.
Aujourd’hui, notre pays accueille 180 000 immigrés par an, contre 120 000 au début des années 1990. Pour Nicolas Sarkozy, l’immigration est un atout et une richesse mais l’embolie de notre système d’intégration, d’une part, et le déséquilibre de notre protection sociale d’autre part impose de la réduire de moitié pour qu’elle reste compatible avec nos capacités d’accueil, avec la situation de notre économie comme celle de l’école.
« Dire cela, c’est défendre scrupuleusement les principes de la République. Refuser de le dire c’est d’abord être lâche, c’est aussi ne pas comprendre ces principes » a-t-il défendu.
« Si on accueille trop de monde, on ne peut plus bien accueillir ceux que l’on veut accueillir ! »
Dans cette perspective, Nicolas Sarkozy veut mettre fin au regroupement familial automatique. Notre système d’intégration ne fonctionne plus. Il faut le réformer. « Le regroupement familial est un droit mais il ne veut rien dire si on n’a pas un logement décent pour recevoir sa famille, un salaire décent si on veut la faire vivre, et cela n’a pas de sens si l’on ne maîtrise pas la langue de ce pays, le français et les valeurs de la République. C’est un geste d’intégration absolu et social ! » a-t-il soutenu. Le respect des conditions au regroupement familial (un travail, un logement décent, les obligations d’intégration comme l’engagement à apprendre le français) devra donc être apprécié au cas par cas, dans la durée.
Le Président de la République candidat a, par ailleurs, défendu la couverture maladie universelle (CMU) : « Je ne remettrai pas en cause la CMU, l’aide médicale d’urgence. Elle restera ouverte à tous. C’est l’honneur de la République française. »
Cette ouverture s’accompagnera, si les Français lui accordent leur confiance, de l’instauration d’une carte vitale biométrique pour lutter contre les fraudes inadmissibles.
Autre proposition de Nicolas Sarkozy : le conditionnement de l’accès à la protection sociale pour les étrangers. Actuellement, en effet, les étrangers résidant régulièrement en France bénéficient des mêmes droits sociaux que les Français : minimum vieillesse (20 000 étrangers en bénéficient) et RSA (165 000 étrangers en bénéficient).
Nicolas Sarkozy propose que désormais soit instauré pour le RSA comme le minimum vieillesse des conditions de présence (10 ans) et d'activité (5ans) sur le territoire français.
« Nos principes doivent être respectés par tout le monde, nos principes d’ouverture et de droits, d’autorité et de fermeté ».
Le droit pour tous à la formation professionnelle
Nicolas Sarkozy est également revenu sur l’une de ses propositions phare : le droit à la formation professionnelle.
Rappelant sa rencontre avec une ouvrière de Lejaby, Arlette, « 57 ans 37 ans dans le textile » qui avait manifesté son inquiétude convaincue qu’il n’y aurait pas « d’après » Lejaby, Nicolas Sarkozy a opposé le droit à la formation, et aujourd’hui, en restant dans la ville qui lui était chère, Yssingeaux, Arlette et les autres ouvrières de Lejaby ont suivi une formation, et sont passées du textile à la maroquinerie. « Parce qu’on n’est pas fichue à 57 ans ! » a affirmé le chef de l’Etat.
Education : une priorité pour un second quinquennat
Réaffirmant qu’il ferait de l’éducation une priorité d’un second quinquennat si les Français lui renouvellent leur confiance, Nicolas Sarkozy a notamment réitéré sa volonté d’aider les enfants en grande difficulté scolaire, évalué à près de 100 000 en France. « Je propose que tous les maires et tous les directeurs d’école président un conseil qui détectera tout de suite dans chaque école, entre la maternelle et le primaire, les problèmes d’un enfant. » « Pour chaque enfant, l’Etat débloquera une enveloppe de 2 000 euros » pour le soutenir avec des spécialistes.
La France est face à un choix historique : « seul un pays qui rembourse ses dettes est un pays indépendant ».
« Nous sommes rentrés dans un nouveau monde. Regardez ce qui se passe en Espagne, pays de 42 millions d’habitants, qui était montré comme l’un des exemples de réussite de l’Europe : 7 ans de gouvernement socialiste où les réformes qui devaient être faites n’ont pas été faites. Aujourd’hui, l’Espagne emprunte pour rembourser sa dette à un taux deux fois plus élevé que la France. Pourquoi ? Parce que l’Espagne avait promis d’être à 6% de déficit en 2012, elle est à 8%. La France, elle, avait promis d’être à 5,7 de déficit, elle est à 5,2. Seul un pays qui rembourse ses dettes est un pays indépendant » a-t-il une nouvelle fois défendu alors que le candidat socialiste s’apprête, s’il est élu, à faire exactement l’inverse : multiplier les dépenses non financées, sans aucune économie et grever inéluctablement le portefeuille des ménages et la croissance.
Gestion de la crise : « vos épargnes ont été préservées. Je vous l’avais promis ».
Nicolas Sarkozy a réaffirmé, ce jour, combien il avait toujours eu au cœur l’amour de son pays, l’ambition de le faire grandir et de le rendre plus fort, avec force et ténacité : « Pendant 5 ans, j’ai consacré toute mon énergie à protéger les Français. Lorsqu’il y a eu la crise des banques, je vous ai promis qu’aucun d’entre vous ne perdrait son épargne, le fruit du travail parfois de toute une vie. Si j’avais laissé les banques faire faillite, elles auraient fait faillite avec votre argent ».
VIDEOS TEMOIGNAGES
Aujourd'hui, 14 avril, avec Nicolas Sarkozy la responsabilité historique de la France dans l'abandon des harkis est reconnue
Le témoignage d'un harki
Nicolas Sarkozy rencontre des Harkis et leur famille
La France Forte
Nicolas Sarkozy s’est rendu, ce samedi 14 avril, sur le campus numérique du Groupe Ionis, campus sur lequel il avait été précédé par sa porte-parole Nathalie Kosciusko Morizet, ancienne secrétaire d’Etat à l’économie numérique.
Il a eu l’occasion d’échanger avec les étudiants du campus regroupant l’EPITA, Epitech, SUP’Internet, e-artsup, ETNA, la Web@academie et Melty Network , sur les difficultés rencontrées par les jeunes.
Tractage sur le marché de Grenade avec Pierre Recobre, Pascale Binet, Thierry Faye, Jean-Luc Mazaud, Bertrand Meric, Christian Cartan, Gautier Lopez, Francis Lascoux et Geneviève de Cazaux. Tous vous donnent rendez-vous le dimanche 15 avril 2012 à partir de 10h sur le marché de Saint Jory et le jeudi 19 sur le marché de Fronton. Voir l'album photos
La France avance, notre pays change et se modernise. Qu’en est-il près chez vous ?
Des investissements massifs dans 3 pôles de compétitivité
Au niveau national, l’Etat a accordé 1,5 milliard d’euros aux 71 pôles de compétitivité pour la période 2009-2011.
L’Etat réalise des investissements massifs dans 3 pôles en Haute-Garonne, dont 1 mondial :
1,4 million d’euros de soutien de l’Etat pour 3 pôles d’excellence rurale
Les pôles d'excellence rurale sont des projets favorisant le développement des territoires ruraux qui reçoivent à ce titre un financement de la part de l'État.
Il en existe 3 dans le département :
79,3 millions d'euros injectés par le Plan de Relance dans la région pour les infrastructures et le logement
Au plus fort de la crise, Nicolas Sarkozy a décidé de relancer fortement l’investissement public afin de soutenir des secteurs majeurs de l’économie, limiter la récession et préserver l’emploi.
En Midi-Pyrénées, 79,3 millions d'euros ont été engagés pour réaliser de nombreux travaux au plus près de chez vous, parmi lesquels :
724 millions d'euros engagés pour la rénovation urbaine
Le Plan National de Rénovation Urbaine (PNRU), c’est 12 milliards d’euros de subventions sur 10 ans pour améliorer le lieu de vie de 4 millions d’habitants dans 500 quartiers populaires. Il mobilise 45 000 emplois dans les travaux publics sur ses chantiers. D’ores et déjà, les résultats sont visibles.
En Haute-Garonne, 724 millions d’euros ont été mobilisés pour la rénovation urbaine : 449 millions pour les quartiers de La Reynerie et Bellefontaine, 189 millions pour les quartiers de Bagatelle et Faourette, et 86 millions pour le quartier d’Empalot, à Toulouse.
8 déplacements de Nicolas Sarkozy en Haute-Garonne depuis 2007
Peu après son élection, Nicolas Sarkozy s’est rendu le 18 mai 2007 à Toulouse afin de visiter le siège d’Airbus, filiale d’EADS et fleuron de l’industrie aéronautique mondiale.
Le 13 janvier 2011, c’est depuis Toulouse que Nicolas Sarkozy a présenté ses vœux aux forces économiques. Sur le site d’Airbus, qui venait de signer une commande historique (180 A320 pour la compagnie Indigo) il a notamment visité un A380 en cours d’assemblage. Puis Nicolas Sarkozy a présenté sa feuille de route pour soutenir l’emploi, la compétitivité des entreprises et l’esprit d’entreprise. Pour découvrir son bilan dans le domaine industriel, cliquez ici : http://www.lafranceforte.fr/bilan/travail-et-industrie
Plus récemment, Nicolas Sarkozy a célébré à Toulouse le 22 novembre 2011 le 50e anniversaire du CNES. Le CNES a été créé le 19 décembre 1961 sous l''impulsion du Général de Gaulle, avec pour mission de placer la France parmi les grandes puissances spatiales aux côtés de l''URSS et des Etats-Unis. L’objectif a été atteint le 26 novembre 1965 avec le lancement de la fusée DIAMANT A depuis la base algérienne d''Hammaguir, et la mise en orbite du satellite ASTERIX. Aujourd’hui, le CNES est doté de 2,1 milliards d'euros de budget. Il emploie 2500 salariés, dont 70% sont localisés à Toulouse. Nicolas Sarkozy a présenté les grands axes de sa politique spatiale, et rappelé que le budget spatial français (hors programme de défense) a augmenté de 16% depuis 2007 en dépit la crise, alors qu’il avait stagné auparavant. En outre le spatial bénéficie de 500 millions d''euros de crédits issus du programme des investissements d’avenir (250 millions pour les lanceurs, 250 millions pour les satellites).
En mars 2012, Nicolas Sarkozy s’est rendu à Toulouse et Montauban pour rendre l’hommage de la Nation entière aux victimes des tueries de Toulouse et de Montauban.
Déjà 1,2 milliard d’euros d'investissements d'avenir dans votre région
Pour que la France puisse sortir plus forte de la crise, Nicolas Sarkozy a lancé en 2009 un grand programme d’investissements d’avenir. Doté de 35 milliards d’euros au niveau national, ce programme permet de financer les projets qui créeront la croissance et les emplois de demain.
Dans la région Midi Pyrénées, 1,2 milliard d’euros ont déjà été engagés pour les investissements d’avenir. L’institut de recherche technologique AESE à Toulouse, spécialisé dans la recherche en aérospatial, en aéronautique, et les systèmes embarqués, bénéficie de 145 millions d’euros. Le laboratoire IAST en sciences sociales, qui étudie notamment les motifs individuels de l'action, la mise en réseau des individus, les politiques publiques, les états-nations, la gouvernance et les marchés, a reçu 25 millions d’euros.
x2 : Le nombre d'entreprises créées a doublé entre 2008 et 2010 en Haute-Garonne
Dans le seul département de Haute-Garonne, plus de 55 400 entreprises ont été créées depuis 2007. 14 522 entreprises ont été créées en 2010, alors que moins de 4 650 entreprises seulement étaient créées chaque année en moyenne entre 1997 et 2002. Ces bons résultats s'expliquent notamment par le succès du statut de l'autoentrepreneur, créé par Nicolas Sarkozy et qui offre un cadre social et fiscal avantageux à ceux qui choisissent d'entreprendre. 22 545 autoentreprises ont ainsi été créées en Haute-Garonne en 3 ans.
1 établissement de réinsertion scolaire ouvert à la rentrée 2010
Pour éviter que les élèves perturbateurs ne nuisent au bon déroulement de la classe et à la vie de l’établissement, Nicolas Sarkozy a mis en place un nouveau type d’établissement scolaire : l’établissement de réinsertion scolaire (ERS). Il en existe aujourd’hui 17 au niveau national. Il y en aura 20 à la rentrée 2012. Les ERS accueillent un nombre restreint d'élèves difficiles âgés de 13 à 16 ans, auxquels ils offrent un encadrement et un enseignement qui promeuvent le respect de l'autorité, le goût de l'effort, de l'apprentissage, du sport et l'initiation aux métiers. Les élèves des ERS ont ensuite vocation à retourner dans le système éducatif traditionnel.
En Haute-Garonne, 1 ERS a ouvert ses portes à Bagnères-de-Luchon à la rentrée 2010.
350 millions d’euros alloués au campus de Toulouse
L’Etat a investi massivement en faveur du campus de Toulouse grâce à l’opération Campus : 350 millions d’euros pour améliorer la vie de 75 000 étudiants et de leurs 3 500 enseignants et chercheurs. Le projet prévoit notamment la création de 57 000 m² de nouvelles surfaces et la réhabilitation de 216 000 m².
Dès son élection, Nicolas Sarkozy a engagé une réforme vitale, attendue depuis plus de 30 ans : celle de l’autonomie des universités. Celle-ci s’est accompagnée d’une augmentation substantielle du budget des universités (+ 5 milliards d’euros sur la durée du quinquennat). Dans la Haute-Garonne, les universités de Toulouse 1,2 et 3 sont autonomes. Depuis 2007, 39 milliards d’euros ont été consacrés à l’enseignement supérieur, soit une dépense par étudiant de plus de 10 100 euros par an contre 8 600 euros en 2006.
La FRANCE FORTE en Haute-Garonne, c'est aussi…
- 2 plateformes d’accompagnement et de répit à Toulouse et Valentine, et 5 centres mémoire de ressources et de recherche ouverts dans le département, notamment à Muret et Saint Gaudens, grâce au Plan Alzheimer lancé par Nicolas Sarkozy
- +33% en 3 ans d'exploitations pratiquant l'agriculture biologique dans le département
- Déjà 539 millions d'euros engagés par le plan Hôpital pour réaliser 1,3 milliard d'euros de travaux de modernisation des hôpitaux de la région, notamment 18 millions d’euros pour la création d’un institut fédératif de biologie au centre hospitalier régional universitaire de Toulouse
- 37 271 bénéficiaires du Revenu de Solidarité Active (RSA). Avec le RSA, la reprise d’une activité devient réellement plus avantageuse que le maintien dans les revenus de l’assistance (20% de revenu en plus en moyenne)
- 9 694 bénéficiaires du minimum vieillesse et 16 117 bénéficiaires de l'allocation adulte handicapé qui auront vu leurs prestations revalorisées de 25% en 5 ans
- 21 projets financés et labellisés par le Plan cancer II, notamment au centre hospitalier universitaire de Toulouse
- 18 guichets uniques Pôle Emploi, issus de la fusion entre l'ANPE et les Assedic, qui accompagnent et indemnisent plus efficacement les demandeurs d'emploi
- 1 école de la deuxième chance (E2C) à Toulouse. Avec le soutien de l’Etat, elle donne une seconde chance aux jeunes sortis du système scolaire sans aucun diplôme
- Déjà 5 maisons de santé pluridisciplinaires dans la région, et 30 en projet
- En Midi-Pyrénées, déjà 4 bourses médicales attribuées à des étudiants en médecine en contrepartie de leur installation dans une zone où l'on manque de médecins
La France Forte
La campagne présidentielle que nous sommes en train de vivre est un rendez-vous historique pour notre pays. Dans une semaine maintenant, un choix crucial se pose aux Français : feront-ils le choix de la dépense publique à outrance, de l’assistanat et du matraquage fiscal des classes moyennes incarné par François Hollande ? Ou alors préfèreront-ils le choix du courage, du rassemblement et de l’ambition pour la France incarné par Nicolas Sarkozy ?
Ce choix est si crucial pour l’avenir de notre pays qu’il mérite que, cette semaine, nous jetions toutes nos forces dans la campagne. Car rien n’est joué. Ne nous laissons pas intoxiquer par des enquêtes d’opinion, le seul sondage qui vaille, c’est celui des urnes. Ne nous laissons pas déstabiliser par les pronostics partisans d’un petit monde médiatique, qui a choisi François Hollande depuis des mois, et tente de nous démotiver en laissant croire que l’élection est déjà faite.
Au contraire, la majorité silencieuse refuse que l’on parle à sa place, qu’on lui impose des idées qui ne sont pas les siennes, qu’on lui suggère un favori qu’elle n’a pas choisi. C’est à nous de mobiliser cette masse populaire et frondeuse autour de Nicolas Sarkozy. C’est à nous de convaincre le tiers des Français qui ne sait pas encore pour qui voter, ces près de 25% de nos concitoyens qui ne savent même pas s’ils vont aller voter. C’est dire si l’immense majorité silencieuse reste à mettre en mouvement dans cette dernière ligne droite.
Dans cette élection qui s'annonce si serrée, chaque voix, chaque initiative, chaque symbole, fera la différence. Voilà pourquoi je vous demande, chaque jour qui nous sépare du vote, de vous engager sans compter pour Nicolas Sarkozy. Voilà pourquoi je demande à tous ceux qui le peuvent de venir entourer Nicolas Sarkozy dans un grand rassemblement ce dimanche 15 avril à 14 heures, place de la Concorde à Paris. La place de la Concorde est un haut lieu de notre famille politique : souvenez-vous de la grande manifestation spontanée de soutien au général de Gaulle le 30 mai 1968, souvenez vous de la liesse populaire qui y a régné pour les victoires de 1995 ou de 2007. Une fois encore, ce 15 avril, la place de la Concorde a rendez-vous avec notre Histoire !
C’est ainsi que nous placerons Nicolas Sarkozy dans les meilleures conditions pour arriver en tête au soir du 1er tour. La victoire de Nicolas Sarkozy ne tient qu’à vous, l’avenir de la France ne tient qu’à vous, mobilisez-vous !
UMP
Parce qu’il a tissé avec l’île et ses habitants, un lien particulier de fidélité et d’affection, Nicolas Sarkozy, qui a affecté plus de 30 visites en Corse depuis 2002, est revenu sur l’île, ce vendredi 13 avril, cette fois en tant que candidat.
« Je viens vous parler de l’avenir de la Corse au sein de notre République » a-t-il déclaré en ouverture de son allocution.
Sécurité : Les malfaiteurs qui se livrent à la violence sont « étrangers à la culture et à la société qu’ils prétendent incarner »
C’est en premier lieu de sécurité que Nicolas Sarkozy a voulu parler, aujourd’hui. Il a fermement condamné les événements récents inadmissibles qui se sont déroulés sur l’île : tentative d’attentat contre la sous-préfecture de Corte, assassinat par engin explosif au cœur d’Ajaccio, deux homicides près d’Aleria… « C’est une honte » a-t-il déclaré. Les malfaiteurs qui se livrent à ces actes « sont étrangers à la culture et à la société qu’ils prétendent incarner. Ils sont totalement étrangers à ce qui fait l’âme de la Corse » a soutenu avec vigueur le Président de la République.
Nicolas Sarkozy en a pris l’engagement, il ne laissera pas « dériver la Corse dans un nouveau cycle de violence alors même que nous avons effectué des efforts considérables, depuis dix ans, pour lutter contre ce fléau ». Rappelant les 111 attentats au seul premier semestre 2002 lorsqu’il était devenu Ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy a rappelé son action sans relâche pour inverser la tendance et réprimer ces accès de violence : « le nombre d’homicides a été divisé par 4 en 10 ans ». Le Président de la République a, à cet effet, rendu hommage au professionnalisme et au dévouement des forces de sécurité pour leur action sur le terrain depuis toutes ces années.
« L’avenir de la Corse, nous allons le construire ensemble ».
Abordant sa vision pour l’île, Nicolas Sarkozy a affirmé que « la première exigence, c’est de poursuivre l’investissement en faveur des projets qui créent les richesses économiques et les emplois de demain ».
Le candidat a évoqué son bilan riche d’actions en faveur de la Corse et de ses habitants, rappelant les moyens engagés pour l’Université, pour les agriculteurs et en faveur de l’économie numérique comme pour le rapprochement des détenus de leurs familles. Il est ainsi également revenu sur le financement du programme exceptionnel d’investissement (PEI). L’effort de l’État pour l’investissement a ainsi atteint 165 millions d’euros par an : ce programme, qui s’ajoute aux financements du contrat de projet et aux financements européens, a permis de financer 400 opérations.
Le rattrapage économique de la Corse n’est cependant pas terminé, a-t-il soutenu.
Première proposition : un nouveau programme exceptionnel d’investissement
Le Président de la République candidat a promis : « si vous me faites à nouveau confiance, je veillerai à ce qu’une nouvelle convention du PEI soit signée dès cette année, pour engager 400 millions d’euros d’ici 2017 ». « Il faut que, demain, tous les Corses puissent ressentir les effets de ce véritable choc de croissance qu’est le PEI. L’objectif, c’est que ces emplois bénéficient d’abord aux entreprises et aux salariés de Corse. »
Deuxième proposition : une nouvelle impulsion à la formation
En plus des moyens engagés pour l’Université de Corse et pour le futur pôle méditerranéen de formation aux métiers du développement durable dans le bâtiment, Nicolas Sarkozy propose que « 10% de la dernière tranche du PEI, soit 40 millions d’euros soient consacrés à un programme exceptionnel de formation ».
Nicolas Sarkozy a salué, dans cette même perspective d’encouragement de l’activité économique, la proposition de création d’un CDI pour les travailleurs saisonniers employés en Corse et s’est déclaré ouvert à la discussion avec les partenaires sociaux et l’UNEDIC.
La France Forte
La France aujourd’hui engagée pour le retour à l’équilibre de ses comptes publics
« Quand un pays a des dettes, il doit les rembourser, quand un pays a des déficits, il doit les réduire. C'est ce que nous faisons. Ce qui donne de la force aux marchés et à la spéculation, c'est lorsqu’un pays ne rembourse pas ses dettes, ne tient pas ses engagements, et se lance dans une stratégie de dépenses inconsidérées » a affirmé ce vendredi matin Nicolas Sarkozy, invité de la chaîne d’information continue I-Télé.
Pour Nicolas Sarkozy, le seul moyen de ne pas dépendre des marchés publics, c’est de rembourser notre déficit et de revenir à l’équilibre de nos comptes publics. La France, à travers Nicolas Sarkozy, s’est engagée à revenir à 3% de déficit en 2013 avant d’atteindre l’équilibre dès 2016. Grâce à la politique mise en œuvre et à la gestion actuelles des comptes, la France honore sa parole et avance sur le chemin de l’équilibre, seule condition d’un pays maître de lui-même.
« Nous avions prévu d’être à 5,7 points de déficit en 2011, nous sommes à 5,2, nous faisons mieux. Regardez ce qui se passe en Espagne, c'est très intéressant. L’Espagne avait promis, en 2011, d’être à 6 % de déficit, elle est à 8 » a-t-il indiqué.
Cette politique de retour à l’équilibre ne saurait être remise en cause sauf par le candidat socialiste qui la repousse à 2017 et engage de lourdes dépenses en parallèle. Décaler ce calendrier ne serait-ce que d’un an à 2017, n’est pas possible : cela conduirait à augmenter la dette publique de la France de 35 milliards d’euros.
Pour Nicolas Sarkozy, « Monsieur Hollande, en promettant d’augmenter les dépenses et en ne s’engageant sur aucune économie, crée les conditions d’un problème de confiance ».
L’élection présidentielle : un « choix historique »
Nicolas Sarkozy a également réaffirmé qu’il ne restait pas à regarder les sondages car seuls les Français voteraient et qu’ils ne se laisseraient pas dicter leurs choix par les sondeurs : « ce ne sont pas les sondages qui font l’élection, ce sont les Français » a-t-il rappelé. « J’attire votre attention sur le fait qu’il y a deux mois, on m’a dit : « Mais pourquoi vous êtes candidat ? C’est fait, c'est plié ». Deux mois après, tous les sondages me mettent en tête au premier tour. Dimanche, dans une dizaine de jours, un peu moins, il y aura le premier tour, on s’attaquera aux 15 jours, jusqu’au second tour, et vous verrez, il y aura de grandes surprises. » a promis le Président de la République candidat qui croit à la prise de parole de toute cette majorité silencieuse qui ne se reconnaît pas toujours dans ce que dit le système médiatique.
Le choix pour Nicolas Sarkozy est historique : « est-ce que l’on tire les conséquences de la crise ou est-ce que l’on fait comme si le monde l’existait pas, et comme s’il n’y avait pas eu de crise ? » « Nous sortons de quatre années de crise, l’Europe est convalescente », a-t-il poursuivi. Or, a-t-il relevé : « Monsieur HOLLANDE s’inscrit dans la logique de 1981. Il dit : « Il n’y a pas assez de fonctionnaires, on va en embaucher 61 000 de plus ». Il dit : « Il n’y a pas de problème de coût du travail. On peut augmenter les cotisations ». Et il dit : « Je remettrai en cause la réforme des retraites, faite par Nicolas SARKOZY, parce qu’elle a été faite par Nicolas SARKOZY ».
« Je réponds : qui va payer ? C’est simple. Augmentation des cotisations pour les salariés, augmentation des cotisations pour les entreprises, donc le choix pour les Français, c'est un choix historique, qui se tiendra non pas en fonction de ce qu’ils ont fait dans le passé, comme décision politique, mais pour l’avenir » a-t-il affirmé.
Immigration : « François Hollande a prévu la régularisation de tous les sans-papiers, tous »
Abordant le thème de l’immigration, Nicolas Sarkozy, qui œuvre pour une immigration maîtrisée et propose aujourd’hui de diviser par deux le nombre d’étrangers acceptés sur le territoire pour les cinq prochaines années, a rappelé le contenu de l’accord électoral entre François Hollande et Eva Joly. Celui-ci prévoit en effet deux choses : « la régularisation de tous les sans-papiers, de tous, et deuxième chose, le droit de vote aux étrangers ». EN réponse à l’esquive du candidat socialiste sur ces questions, Nicolas Sarkozy a répondu « qu’il assume les choix qui sont les siens, et la parole qui est la sienne » avant d’assurer catégoriquement qu’il refusait le droit de vote des étrangers en France qui « favorise le communautarisme ».
« D'ailleurs, et je me demande bien pourquoi Monsieur HOLLANDE n’a pas voulu voter la loi d’interdiction du port de la burqa sur le territoire de la République, puisque le jour où nous l’avons présentée, il a courageusement considéré qu’il ne fallait pas participer au vote » a-t-il ajouté.
Usine Peugeot d’Aulnay : « je vais tout faire pour sauver cette usine »
Alors qu’il a reçu les salariés de PEUGEOT et les représentants syndicaux, « extrêmement raisonnables et crédibles » et « qui voulaient vraiment sauver leur emploi », Nicolas Sarkozy a annoncé qu’il allait s’entretenir avec le patron de PSA. Il a, par ailleurs, une nouvelle fois défendu le renforcement de la compétitivité française en allégeant les charges sur les salaires des salariés et sur les cotisations de l’entreprise : « Pourquoi ? Quand nous avons supprimé la taxe professionnelle, pour l’industrie automobile, savez-vous que la taxe professionnelle pesait 250 euros par voiture fabriquée en France. C’est bien beau de dire que les voitures doivent être fabriquées en France, mais si en France vous mettez sur la fabrication plus d’impôts qu’ailleurs, il y a de la délocalisation. C’est la raison pour laquelle, j’ai proposé et je le tiendrais de transférer une partie du financement de notre politique sociale du travail sur la consommation et donc sur les importations ».
Lors de l’émission, Nicolas Sarkozy a maintenu son offre de deux débats entre les deux tours de la présidentielle, alors que François HOLLANDE a récusé cette offre.
La France Forte
Chers Amis,
Nous voici dans la dernière ligne droite avant le premier tour de l’élection présidentielle. Tout conduit à penser que les Français vont aller à l’essentiel, organisant leur choix ultime entre les deux seules options réalistes politiquement : Nicolas SARKOZY / François HOLLANDE.
J’exprime ma gratitude et celle de notre Secrétaire départementale Laurence ARRIBAGE à tous ceux d’entre vous qui se sont déjà mobilisés d’une manière ou d’une autre.
L’heure est venue de « mettre le dernier coup de collier », de distribuer jusqu’au bout nos tracts, de parfaire notre présence dans les bureaux de vote, de réussir notre grande réunion publique du 18 avril autour de François FILLON, Alain JUPPE et François BAROIN.
Mais nous avons encore une tâche capitale à accomplir : parler autour de nous, convaincre, emporter le suffrage de ceux qui demeurent tentés par la dispersion ou sont en proie à l’indécision.
Nicolas SARKOZY doit arriver le plus nettement possible en tête le soir du 22 avril, afin de créer une dynamique de victoire pour le 6 mai !
A l’appui de notre argumentation, nous Haut-Garonnais, pouvons citer un exemple: la façon dont le Président SARKOZY a géré le drame de Toulouse.
Si nous nous sommes, à raison, refusés à exploiter politiquement cette sanglante tragédie, il n’en reste pas moins qu’elle a été très révélatrice.
Il fallait prendre des décisions rapides, fortes, graves, et parvenir à la maîtrise rapide du tueur pour éviter d’autres crimes.
Nicolas SARKOZY ne s’est ni dérobé, ni cantonné dans le registre de la compassion : il a été à la hauteur et présent sur le terrain ; il s’est investi immédiatement et à fond. La République était défiée : il a su lui donner le dernier mot, faisant prévaloir une logique d’union nationale sur la campagne électorale.
Son style direct et tranchant, si éloigné du protocole et des habitudes présidentielles françaises, en d’autres circonstances, a pu agacer jusque dans nos rangs : là, il a produit le meilleur.
Imaginez ce qui se serait passé si nous avions eu un Président plus classique -certains diraient « normal » , qui aurait pesé longuement le pour et le contre, écouté les uns puis les autres, calculé l’impact de telle ou telle décision avant de bouger d’un centimètre, se refusant à la moindre prise de risque politique, perdant un temps précieux en hésitations et tergiversations diverses et variées ?
Poser cette question, c’est y répondre !
Nous vivons une époque tourmentée, traversée de crises violentes et de soubresauts imprévisibles.
Et cela est vrai dans tous les domaines : l’économie, la finance, les relations internationales, la sécurité intérieure, …et même les éléments naturels !
Une crise peut surgir à tout moment, mettant en péril notre quotidien, voire nos existences.
A nous d’expliquer autour de nous que c’est dans ce monde là, et pour gouverner dans un tel contexte, que nous devons élire le Président qui, au cours des cinq années à venir, tiendra le gouvernail de notre cher pays de France.
Voilà le véritable enjeu des 22 avril et 6 mai prochains !
Les Françaises et les Français doivent choisir le meilleur capitaine pour barrer le vaisseau « France » au milieu d’une mer démontée, celui dont le caractère se révèle au contact des éléments déchainés et sait les dominer.
Il s’agit certes d’avoir de l’expérience, mais pas seulement : c’est une question de caractère surtout. A l’aune de ce critère essentiel, l’évidence saute aux yeux de tous. Même ceux qui n’aiment pas notre candidat ou se disent déçus par lui avouent le reconnaître : « il n’y a pas photo », comme on dit.
Nicolas SARKOZY est le Président dont la France a besoin pour aujourd’hui et pour les cinq années qui viennent.
Quant à notre adversaire, il a beau avoir appris avec talent son rôle, à la manière d’un acteur madré, avoir minci et teint ses cheveux, retouché son portrait en affiche : c’est bien beau et peut séduire, mais rien de cela ne confère ni du caractère, pas plus que de l’expérience. A vouloir singer une illustre référence, on n’a qu’une mauvaise copie.
Au fond, socialisme mis à part, il ferait peut-être un bon Président si l’époque coulait comme un fleuve tranquille, si les richesses abondaient au point que la question centrale serait comment faire pour les prélever puis les distribuer.
Candidat au style du passé, adepte des bonnes intentions et des leçons de morale ressassées à l’envi, il est en décalage avec les défis du monde d’aujourd’hui.
La campagne électorale dure maintenant depuis de longs mois. Les Français ont eu tout le temps d’observer les candidats et de s’amuser à répondre aux sondages comme on joue avec un jeu dont on sait bien qu’il ne vaut pas bulletin de vote. Excellents connaisseurs de la chose politique en général, et de l’élection présidentielle en particulier, ils sentent bien qu’approche l’heure de faire le choix de la raison.
L’antisarkozysme a atteint des sommets mais nul n’est dupe : un rejet personnel ne fait pas un projet politique et, encore moins, ne construit l’avenir d’un pays et d’un peuple !
Et même s’ils ont des reproches à formuler envers la Présidence qui s’achève ce qui a été fait ou pas, la manière de présider - ils savent, au fond d’eux-mêmes, que Nicolas SARKOZY est le seul candidat crédible, représentatif et responsable, qui soit doté de la dimension adaptée, tout à la fois, à la fonction suprême et à l’époque où nous vivons.
Tout comme ils ont bien conscience que le quinquennat n’a pu objectivement tenir toutes ses promesses à cause de la crise internationale d’ampleur inédite qui en a cassé l’élan.
Nous voulons une France forte, qui aille de l’avant, qui sache, tout à la fois, préserver le meilleur de ses traditions et préparer l’avenir par sa capacité d’innovation ; qui soit fière d’elle-même tout en étant le moteur de l’indispensable construction européenne ; qui soit protectrice de ses citoyens, les plus fragiles et les plus démunis surtout, tout en promouvant les valeurs de responsabilité ; qui soit volontaire tout en maitrisant enfin les excès de la dépense publique et son cortège de déficits ; qui renoue avec la croissance, seule apte à recréer des emplois et produire du pouvoir d’achat. Les vieilles recettes du socialisme d’hier, qu’aucun parti socialiste ailleurs en Europe n’applique plus, ne peuvent relever tous ces défis. Loin du courage dont notre pays a besoin, elles entretiennent un discours de facilité, dont l’Histoire témoigne qu’il fourvoie toujours les peuples quand les temps sont difficiles. Faire croire aux Français, pour capter leurs suffrages, qu’il n’y aura aucun effort à faire, qu’on peut être le seul pays à revenir à la retraite à 60 ans, que toujours plus de dépense publique est possible, qu’il suffit de faire payer les « riches », que des emplois subventionnés viendront à bout du chômage des jeunes, tout cela procure peut-être une petite musique agréable à entendre mais certainement pas une vraie politique, sérieuse et d’avenir.
Nicolas SARKOZY doit être réélu car c’est un vrai Président qu’il faut pour la France pas un joueur de flûte pour nous bercer avec ce qu’on aimerait peut-être entendre ! Nos compatriotes, pour une part significative d’entre eux, fixent leur vote au dernier moment, dans les derniers jours, ce qui explique l’élément de surprise qui s’est souvent produit au soir du premier tour, que les sondages n’avaient pas vu venir. Notre devoir, notre responsabilité, c’est de créer cet évènement, par notre force de conviction, pour que notre candidat se détache dès le premier tour de l’élection présidentielle.
Réélu, il sera revenu de loin, vainqueur d’une épreuve qui aura patiné son caractère, davantage humanisé par ce parcours d’obstacles qu’il aura surmonté. Il ne sera que plus pertinent dans ses décisions. Enfin, l’impossibilité constitutionnelle de se représenter en 2017 lui confèrera une hauteur de vue supplémentaire, lui ôtant toute préoccupation électoraliste pour se concentrer plus que jamais sur l’intérêt supérieur de notre pays, sans considération personnelle, avec pour unique critère l’avenir de la France et des Français.
C’est en cela que, tout en restant lui-même, il sera « différent », pour reprendre sa propre expression. A nous d’expliquer tout ce qui précède - et bien d’autres points encore ! Dans les jours à venir autour de nous. La victoire, je le crois, sera au bout du chemin. Le chemin de Nicolas SARKOZY et le nôtre aussi.
Le score final sera serré : c’est pourquoi toute voix que chacune et chacun de nous pourra déplacer pèsera lourd, au final, dans la balance de l’élection.
Je compte sur vous et je vous sollicite expressément !
Bien amicalement,
Jean-Luc MOUDENC
UMP31