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13 mai 2011 5 13 /05 /mai /2011 05:41

TGV_734.jpgTransports « On a avancé sur plusieurs points. » Au lendemain de sa rencontre à Paris au ministère des Transports, Georges Labazée, président du conseil général des Pyrénées-Atlantiques, estime ne pas rentrer bredouille (notre édition du 11 mai). « On a eu confirmation du débat public sur la desserte par une ligne ferroviaire à grande vitesse du Béarn et de la Bigorre pour fin 2012, début 2013 », indique-t-il. Ce point figurait, on s'en souvient, sur le protocole négocié par son prédécesseur, Jean Castaings, avec la ministre de l'Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, Nathalie Kosciusko-Morizet.

Pau-Oloron : actualisation acquise

L'avancée la plus réelle concerne l'actualisation obtenue de la contribution de l'État au financement de la nouvelle voie Pau-Oloron, contrepartie au financement de 79,88 millions d'euros par le département de la LGV entre Tours et Bordeaux. Les 60 M€ promis seront calés sur cette valeur en mai 2011, pour être actualisés ensuite jusqu'à la réalisation des travaux, selon un coefficient défini.

Les discussions se prolongent sur les conditions financières de la rétrocession à l'État de la route RD1 (Urt-Bayonne) que l'État doit ensuite englober dans la concession aux Autoroutes du Sud de la France (ASF) sans que cette société n'alourdisse le péage.

Plus difficile encore s'annonce la négociation sur la gratuité du passage sur la rocade de Saint-Jean-de-Luz, acceptée par principe par l'État dans le protocole. « Les ASF ne veulent pas en entendre parler. Ils ne veulent pas créer de précédent », relate Georges Labazée. Tout juste les ASF consentiraient à examiner les conditions d'un abonnement à prix réduit.

La République des Pyrénées

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